Le Nouveau Virus de l’Empereur

Le documentaire “Le Nouveau Virus de l’Empereur” cherche à déterminer, précisément et en des termes compréhensibles de tous, ce qu’est le VIH et comment il fut supposément identifié, et quels sont très exactement les arguments de ceux et celles qui prétendent que rien ne permet, en fait, de dire que le VIH existe ni que, s’il existe, il est responsable de la condition Sida. Condition qui, en tant que telle, n’est nullement remise en question.

Désormais sous-titré en français, ce documentaire est la suite du documentaire “House of Numbers” qui nous faisait faire un tour du monde sur la piste du VIH. les deux sont du même auteur, Brent Leung. Le titre est un clin d’oeil au conte d’Andersen “les habits neufs de l’Empereur“, qu’il peut être intéressant de se remettre en mémoire avant de regarder le film.

Ce blog contient un nombre important d’articles sur le VIH, cliquez ici pour une liste.

A propos Vincent Verschoore

Animateur de Ze Rhubarbe Blog depuis 2008.

7 réponses

  1. prostateinquiète

    ça-y-est, j’ai visionné l’intégralité de la vidéo ! Cela me laisse intrigué. J’apprécie l’interviewer, sa manière calme et directe de poser les questions, et simplement. C’est la limite du genre : on attend les commentaires de scientifiques chevronnés …s’ils ne jugent pas indignes de se plier à cet exercice.

    Ce qui est développé dans la vidéo ne me semble pas être nouveau ( cf ce texte : http://www.sidasante.com/science/dtlmep.htm) mais sa mise en forme vidéo rend le débat plus abordable . On peut rajouter que justement cette non-nouveauté est troublante : les défauts de démonstration pointés par la scientifique (Eleni Papadopulos-Eleopulos I presume !) n’ont toujours pas été corrigés ? Pourquoi ?

    Vers 00:43:55 /00:44:10 il nous est dit que bien peu de scientifiques font l’effort d’examiner les textes princeps …!

  2. Vincent Verschoore

    Cela n’a certes rien de nouveau! Mais les scientifiques et leurs mandataires (les labos) qui se font beaucoup de fric sur le dos du vih n’ont aucun intérêt à creuser la question. Et les pouvoirs publics en charge de ces questions sont trop corrompus.

  3. prostateinquiète

    Je reviens encore pour signaler un point très important que vous ne citez pas ( on ne peut tout aborder dans un article, un angle d’attaque, une ligne directrice sont nécessaires) : “L’accord n’est toutefois définitivement signé que le 4 décembre 1987 : la question de la priorité est résolue en qualifiant Gallo et Montagnier de « co-découvreurs » du virus du sida ; les Français renoncent aux redevances déjà encaissées par leurs adversaires américains ; les redevances associées sont partagées entre les instituts américains alors que, en Europe, elles reviennent intégralement à l’Institut Pasteur. Les deux parties se sont en outre mises d’accord sur une chronologie des découvertes, Gallo et Montagnier s’engageant à ne publier aucune déclaration qui contredirait ce canon.”

    Je répète : “Gallo et Montagnier s’engageant à ne publier aucune déclaration qui contredirait ce canon.”

    ça verrouille un tantinet les débats !

    Enfin j’ai vu que Brian Deer est entré dans l’arène : les opposants ont du souçi à se faire !

    1. Christophe

      Tout dépend du phénomène du SIDA auquel vous faites référence. Le SIDA actuel est une collection sauvage, hétéroclite et arbitraire de peu ou prou 30 maladies dites « indicatrices » du SIDA assorties d’un test de dépistage sérologique non spécifique, non sensible, non reproductible et non standardisé – positif – au « VIH ». Les gens ne meurent dont pas du SIDA mais des maladies qui déciment l’Humanité depuis toujours purement et simplement rebaptisées SIDA au motif qu’ils testeraient « positifs » et encore, quand ils sont seulement testés (!) à un test de dépistage frauduleux. Pour faire court : tuberculose – « VIH » (test négatif) = tuberculose mais tuberculose + « VIH » (test positif) = SIDA. Car la tuberculose est juste une pathologie inscrite sur la liste des 30 maladies dites ‘indicatrices » du SIDA. C’est de la manipulation de chiffres et rien d’autre. Quant au phénomène morbide qui a touché ma communauté en 1981, pour faire synthétique : drogues + médicaments dont antibiotiques et anti-inflammatoires stéroïdiens… et rien d’autre. Le test de dépistage n’a jamais été et ne peut pas scientifiquement prouver une infection au « VIH ». Mais dites plutôt « virus de l’immunodéficience humaine » au lieu de « virus du SIDA ».

  4. Christophe

    Qu’est-ce qui provoque le SIDA si le « VIH » (pas le virus du SIDA mais le virus de l’immunodéficience humaine) n’existe pas ? Tout dépend du phénomène du SIDA dont vous parlez car il en existe au moins 4 qui ne sont évidemment pas initiés par le même agent causal. Par exemple, en 2021, le SIDA est défini par une collection sauvage, hétéroclite et arbitraire de 30 (pour mémoire) pathologies dites « indicatrices » du SIDA associées à un dépistage sérologique positif au « VIH » (et encore, quand les gens sont testés…). Mais un test positif n’est pas la preuve d’une quelconque infection au « VIH ». Les gens ne meurent donc pas du SIDA ou ne sont pas malades du SIDA mais ils meurent ou bien sont malades des maladies qui les déciment depuis toujours, depuis l’aube de l’humanité, simplement rebaptisées SIDA au motif qu’ils testeraient (et encore quand ils sont testés…) positifs à un test frauduleux, non spécifique, non sensible, non reproductible et non standardisé et qui en aucune façon ne peut scientifiquement prouver le moins du monde la moindre infection au rétrovirus de l’immunodéficience humaine. Pour faire synthétique : tuberculose – « VIH » (test négatif) = tuberculose mais tuberculose + « VIH » (test positif) = SIDA. Pourquoi ? Car la tuberculose est une des 30 pathologies dites « indicatrices » du SIDA. C’est de la pure manipulation de chiffres. Maintenant le phénomène morbide apparu 40 ans plus tôt uniquement à partir du début des années 80, fin 70, uniquement aux USA, uniquement dans la communauté homosexuelle et uniquement chez des homosexuels drogués ne comprenait pas 30 maladies indicatrices du SIDA mais uniquement 2 : un Sarcome de Kaposi (présenté comme une pathologie cancéreuse) et une pneumonie à Pneumocystis carinii (rebaptisée depuis jirovecii) dont les causes sont exclusivement des erreurs de comportement : alimentaire (la malnutrition et la dénutrition sont les premières causes au monde de la déficience immunitaire depuis toujours), sexuels, pharmaceutiques et récréatifs. Si nous voulons entrer dans le détail de la genèse de cette maladie (le vrai SIDA, le SIDA originel) nous nous devons d’être précis et chronologique. D’abord nous avons des individus qui cumulent 2 tristes records : les drogues et la promiscuité. Les « poppers » inhalés détruisent les poumons et par conséquent le système immunitaire pulmonaire. La promiscuité (multiples rapports sexuels essentiellement non protégés avec multiples partenaires potentiellement infectés mais certainement pas avec le « VIH ») est responsable de la survenue de MST (maladies sexuellement transmissibles). Or les MST sont ensuite traitées avec des antibiotiques. Mais leur usage a été gravement détourné car les MST sont devenues dans la communauté homosexuelle absolument récurrentes et les antibiotiques sont ainsi littéralement « consommés » en continu afin de prévenir (empêcher, minimiser ou retarder) l’inévitable MST future. Or les antibiotiques détruisent avec la plus grande sûreté le système immunitaire intestinal, le pilier du système immunitaire. Autre : les drogues, inhalées ou ingérées, ont la faculté démontrée d’augmenter considérablement le potentiel cancérigène de presque tous les antibiotiques. A ce stade (et surtout après des années d’antibiothérapie quasi non-stop) les individus n’ont déjà guère plus d’immunité. Mais ce n’est pas fini : les drogues inhalées provoquent aussi inévitablement des maladies inflammatoires respiratoires et de la même manière les antibiotiques ingérés provoquent à leur tour inévitablement des maladies inflammatoires essentiellement intestinales mais aussi gastriques et rectales. Or toutes ces pathologies inflammatoires ont ensuite été corrigées avec des anti-inflammatoires gluco-cortico-stéroïdiens qui sont eux-mêmes hautement et puissamment immunosuppresseurs. C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. C’est enfin à ce stade final que survient le SIDA. Il est apparu dès 78, 79, 80 puis 81, à peine 2 ans maximum après l’approbation en 1976 par la FDA des anti-inflammatoires stéroïdiens par inhalateurs, qui n’était évidemment pas une coïncidence… La bonne nouvelle est que ce SIDA est parfaitement guérissable avec suppression intégrale du syndrome clinique, rapidement et facilement dès que l’on cesse l’exposition de l’organisme à tous les facteurs de stress oxydants décrits ci-dessus (et avant d’arriver à un état irréversible) comme l’a parfaitement prouvé la Doctoresse Catherine Kousmine, qui en 1988, à une époque sans tri-thérapie mais avec hélas la mortelle AZT (un génocide médical) a réussi à faire disparaitre la totalité du syndrome clinique du SIDA (SK inclus) rapidement et assez aisément avec essentiellement un protocole d’écologie alimentaire chez 8 de ses 9 malades homosexuels. Pour le reste, il y a aussi l’hécatombe du SIDA correspondant à l’administration de la mortelle AZT à dose massive (1,5 g par jour, un arrêt de mort sur ordonnance) ainsi délivré à titre d’exemple chez 600 000 américains qui n’avaient jamais exprimé le moindre syndrome CLINIQUE du SIDA AVANT la prise de médicaments comme l’AZT qui provoque un véritable SIDA iatrogène mais qui avait simplement reçu un résultat positif au test de dépistage sérologique criminel et frauduleux. Il y a aussi le phénomène des hémophiles pour lesquels si nous avions disposé avant l’épidémie du SIDA d’un test de dépistage du « VIH » nous aurions aussi vérifié qu’ils auraient évidemment testé – positifs – avant l’émergence du « VIH ». Ce qui aurait prouvé que la raison de leur séropositivité était induite essentiellement par les gamma-globulines des produits sanguins moins purifiés qu’aujourd’hui qu’ils recevaient et pas par un « VIH » fantôme. Et puis le cas de l’Afrique du Sud lié essentiellement à la tuberculose induite par le facteur important de l’industrie minière et au fait que le SIDA étant considéré comme causé par un virus, la tuberculose – maladie dite indicatrice du SIDA chez les séropositifs – n’est pas pris en charge par les exploitants miniers qui se moquent bien de la santé de leurs ouvriers. Que dire de plus ? Au début le SIDA était donc bel et bien le Sarcome de Kaposi (la plus fascinante manifestation du SIDA dixit un « expert » peu délicat). Mais 10 ans après son apparition, le Pr Gallo, co-découvreur avoue en conférence de presse sans que les journalistes reprennent ce qui aurait dû faire une bombe médiatique mondiale que le « VIH » n’est pas la cause NI directe NI indirecte du SK. Donc puisque le SIDA c’est le SK (et PCP, certes) ou que le SK est la manifestation du SIDA (qui stigmatisait rappelez-vous tellement les homosexuels malades) et que le « VIH » n’en est ni la cause directe ni même la cause indirecte, alors le « VIH » n’est pas la cause du SIDA. CQFD ! Comme par un curieux hasard, la même année (1994) une équipe américaine attribuera le SK à un autre virus connu, le HHV8 (attribution aussi fausse que la précédente avec le « VIH »). Autre, l’immuno-déficience est définie dans le SIDA par la destruction des LT4 mais le « VIH » ne détruit pas les LT4. La déplétion observée est causé par la migration des LT4 qui quittent sous l’effet d’un stress oxydatif la circulation sanguine (seul endroit où on peut les compter) pour se réfugier dans tous les organes dont la moelle osseuse. Sous l’effet du même stress oxydant, les LT4 modifient les récepteurs de leur membranes cellulaires pour se transformer en LT8… La chute brutale de la mortalité du SIDA n’a jamais été causée par l’activité des tri-T mais uniquement car leur utilisation s’est substituée à celle de la mortelle AZT ! Aujourd’hui on vous montre des publicités vantant la tri-T comme triomphante avec des jeunes initiés à ces nouvelles molécules depuis peu de temps donc pas encore avec les effets à long terme de ces médicaments à peine moins toxiques mais sachez que beaucoup de patients sous tri-T, pile au moment où leur LT4 remontent et où leur CV diminue sous l’action des médicaments (ne vous y trompez pas, la CV ne comptabilise nullement la quantité de « VIH » pas plus qu’un test positif prouve une infection « VIH ») se mettent alors à développer avec un grand paradoxe une maladie mortelle baptisée presque ironiquement « Syndrome de RES TAU RA TION immunitaire », un comble ! Les homosexuels séronégatifs se voient désormais invités à prendre la prophylaxie pré-exposition pour éviter une éventuelle contamination avec les mêmes molécules à peine moins dosées que celles administrées aux séropositifs. Les uns se croyant protégés et les autres se croyant plus contaminants, les rapports non protégés repartent à la hausse faisant exploser le taux de MST… Enfin les dissidents du « VIH » n’ont jamais perdu la guerre car ils auraient eu tort scientifiquement. NON. Ils ont perdu la guerre à cause des MILLIARDS dépensés pour imposer la théorie fausse « VIH » virale du SIDA et des armées de lobbyistes engagés pour les décrédibiliser… Aujourd’hui nous assistons exactement à la même propagande et à la même censure avec la nouvelle crise sanitaire COVID-19 et l’imposition de vaccins hautement toxiques et inefficaces et avec l’interdiction des traitements précoces pourtant capables de guérir quasi 100 % des cas de COVID… Rien de nouveau sous le soleil.

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