L’origine du virus SARS-Cov-2, qui entraîne la condition clinique dite Covid-19 qui chamboule la planète depuis trois mois, reste sujette à controverse. L’hypothèse la plus médiatisée aujourd’hui est qu’il s’agit d’un virus d’origine purement naturelle venant de la chauve-souris, puis passé (peut-être) au pangolin (qui mange des chauves-souris) puis à l’humain qui, dans sa version chinoise du moins, mange des pangolins voire même des chauves-souris.
Hypothèse qui reste à prouver car, contrairement à ce qui est généralement admis, il n’est pas du tout évident que le saut entre nous et le pangolin, ou la chauve-souris, ait eu lieu récemment. Ou lieu tout court.
En effet, si ce saut vers l’homme n’est pas récent, pourquoi aurions-nous assisté à cette soudaine émergence pandémique fin 2019? Et si, en plus, il n’est même pas certain que ce saut ait jamais eu lieu, alors les hypothèses gravitant autour d’un virus trafiqué, hypothèses partout déclarées mortes et enterrées sinon complotistes, reprennent d’intéressantes couleurs.
D’un SARS à l’autre.
Qu’est ce qui peut amener à penser que ce saut entre l’animal et l’humain ne soit pas si récent? Et bien une très intéressante étude australienne, par Sakshi Piplani, Puneet Kumar Singh, David A. Winkler, Nikolai Petrovsky publiée sur arXiv.org ce 13 mai intitulée:
Comparaison par modélisation des affinités de connexion entre protéines Spike (sur le virus) et ACE2 (dans le corps) au sein de plusieurs espèces: pertinence pour une origine possible du SARS-CoV-2.
In silico comparison of spike protein-ACE2 binding affinities across species; significance for the possible origin of the SARS-CoV-2 virus
https://arxiv.org/abs/2005.06199v1
Le principe de l’étude est de mesurer le degré d’affinité entre la protéine Spike située sur le virus, qui lui permet de s’accrocher aux cellules de l’hôte, et la protéine ACE2 qui est le principal point d’entrée du virus chez l’hôte. La logique voudrait que plus ce degré d’affinité est élevé, c’est-à-dire plus le virus est compatible, ou adapté, à son hôte, plus la relation est ancienne. A l’inverse, un degré faible indiquerait une apparition récente, le virus n’ayant pas encore eu le temps d’optimiser son système d’accroche.
La dernière partie de la synthèse de l’étude dit ceci:
Fait remarquable, la protéine Spike du SARS-CoV-2 avait le plus haute énergie de connexion (binding energy) pour la ACE2 humaine, plus élevée que pour toutes les autres espèces étudiées y compris la chauve-souris, la présumée source du virus.
Ceci indique que SARS-CoV-2 est un pathogène très bien adapté à l’humain. Des espèces étudiées, la meilleure compatibilité après l’humain allait au pangolin, ce qui s’explique le plus probablement par un processus d’évolution convergente.
La compatibilité du SARS-CoV-2 avec chien et chat était proche de celle pour les chauves-souris, toutes inférieures à celle avec l’humain, ce qui est cohérent avec les quelques cas observés de contagion auprès de ces animaux domestiques.
De manière générale, les données indiquent que SARS-CoV-2 est particulièrement bien adapté à l’infection humaine, ce qui pose la question de savoir si ceci relève d’un improbable événement naturel, ou si son origine est ailleurs.
Notably, SARSCoV2 spike protein had the highest overall binding energy for human ACE2, greater than all the other tested species including bat, the postulated source of the virus. This indicates that SARSCoV2 is a highly adapted human pathogen. Of the species studied, the next highest binding affinity after human was pangolin, which is most likely explained by a process of convergent evolution. Binding of SARSCoV2 for dog and cat ACE2 was similar to affinity for bat ACE2, all being lower than for human ACE2, and is consistent with only occasional observations of infections of these domestic animals. Overall, the data indicates that SARSCoV2 is uniquely adapted to infect humans, raising questions as to whether it arose in nature by a rare chance event or whether its origins lie elsewhere.
https://arxiv.org/abs/2005.06199v1
Un virus particulièrement bien adapté à l’humain.
Donc oui, vous avez bien lu: selon ces chercheurs (et il faut rappeler ici que cette étude est en prépresse (1) et n’a pas encore été validée par des pairs), le virus du Covid-19 est particulièrement bien adapté à l’humain, mieux qu’à la chauve-souris ou au pangolin, ce qui indiquerait soit un coup de chance, soit une manipulation.
La parenté entre SARS-CoV-2 et la lignée SARS-Cov, que l’on retrouve chez l’humain, la chauve-souris et la civette, est confirmée, les deux variantes ayant 72% de leur génome en commun. SARS-Cov-2 est donc bien un dérivé du SARS-Cov, ce dernier étant apparu en 2002. Il avait alors touché 8 000 personnes dans 13 pays, et tué 770 personnes, soit un taux de mortalité de 9%..
Il est donc plus létal que le Covid-19, qui touche nettement plus de monde mais est moins mortel (taux de mortalité de 0,5%). En chiffres absolus, bien sûr, le Covid-19 est bien plus mortel que le Sras de 2002 vu qu’il touche une partie conséquente de la population, avec à ce jour de l’ordre de 320 000 décès de par le monde.
L’étude indique également que l’adaptation du SARS-CoV-2 au singe (macaque) est moins bonne que pour l’humain, et que si le virus du Sras est bien présent dans les chauves-souris, cela reste à prouver pour le virus du Covid-19. Ceci est cohérent avec le fait (selon l’étude) que le SARS-CoV-2 est moins bien adapté à la chauve-souris qu’à l’humain:
Même si SARS-CoV-2 vient de la chauve-souris, il a dû ensuite adapter sa protéine Spike pour optimiser sa connexion avec l’ACE2 humain. Il n’y a pour l’instant aucune explication du comment, quand et où ceci pourrait avoir eu lieu.
Even if SARS-CoV-2 did originally arise from a bat precursor it must later have adapted its spike protein to optimise its binding to human ACE2. There is no current explanation for how, when or where this might have happened
https://arxiv.org/ftp/arxiv/papers/2005/2005.06199.pdf
Contrairement au Sras où la filiation entre chauve-souris, civette et humain a été démontrée, avec virus existant au sein des trois espèces, dans le cas du virus du Covid-19 il ne semble exister tel quel que chez l’humain. Il n’a pas été retrouvé dans le pangolin (qui est infecté par un cousin du virus, le pangolin-CoV avec qui il partage 90% de son génome), et chez la chauve-souris il existe sous la forme d’un autre proche cousin, le BatCoV RaTG1, les deux partageant un même génome à 96%.
Faute d’hôte originel, faute d’hôte intermédiaire, l’origine du SARS-CoV-2 reste inconnue. On sait par contre qu’à Wuhan existe un laboratoire spécialisé dans le Coronavirus, qui manipule le BatCoV de la chauve-souris, et que seule la découverte d’hôtes naturels, ou tout autre phénomène non encore identifié, pourrait réfuter l’hypothèse la plus probable par défaut: celle d’un nouveau virus spécifique à l’humain, créé au P4 de Wuhan d’où il se serait échappé. Ou libéré.
Pain béni pour les complotistes me direz-vous. Sans doute, mais il est parfois intéressant de suivre des chemins que la bonne morale réprouve, surtout en cette période où l’absurde s’impose à nous jour après jour depuis deux mois. Alors allons-y, et sans attestation dérogatoire ni masque, svp!
Retour sur une étude maudite.
Mi-avril je publiais un article basé sur la toute récente déclaration du fameux Prof. Luc Montagnier, célèbre pour son Nobel de médecine en 2008 pour la découverte du Vih dit “virus du Sida”, mais depuis lors considéré comme sénile ou pestiféré du fait de ses prises de position “hérétiques” sur la mémoire de l’eau et sur les vaccins.
Pour mémoire, Montagnier avait déclaré en avril que le SARS-CoV-2 était un virus artificiel mélangeant du Coronavirus classique et des éléments du Vih. Il basait son argument sur une étude effectivement publiée en prépresse sur le serveur ResearchGate, par lui-même et Jean-Claude Perez, mathématicien à la retraite, pionnier de la “bio-informatique” et auteur de l’ouvrage “Le Supra-code de l’ADN” (2) paru en 1997.
L’objet de mon article intitulé “Luc Montagnier, le Vih et l’origine du Covid-19” (3) était de retracer l’origine de l’affirmation de Montagnier sur sa capacité à “guérir” les malades du Covid-19 en les soumettant à un champ d’ondes interférentielles (lire: quantiques) susceptible de détruire la partie “Vih” du SARS-CoV-2, transformant alors ce dernier en “simple” Coronavirus, du genre de ceux qui nous filent des rhumes.
Mais la clé de l’accusation selon laquelle le Covid-19 serait dû à un virus artificiel vient, elle, du travail de Perez présenté dans cette étude intitulée:
Génomes COVID-19, SARS et Coronavirus de Chauves-souris, séquences exogènes ARN inattendues.
COVID-19, SARS and Bats Coronaviruses Genomes Unexpected Exogeneous RNA Sequences
https://www.researchgate.net/publication/340924772_COVID-19_SARS_and_Bats_Coronaviruses_Genomes_Unexpected_Exogeneous_RNA_Sequences
On trouve ceci dans l’introduction:
Cet article démontre comment 16 fragments d'”éléments d’information exogènes” (Env Pol et gène Integrase), issus de plusieurs lignes, aussi diversifiées que récentes, des rétrovirus VIH1, VIH2 et SIV (le Vih du singe, ndt) semblent très probablement présents dans le génome du (virus du) Covid-19. Parmi ces “empreintes digitales”, 12 seraient concentrées dans une toute petite partie du génome Covid-19 d’une longueur de moins de 900 bases, soit moins de 3% de la taille totale du génome. De plus, ces “empreintes” se situent dans 2 gènes fonctionnels du Covid-19: le orflab et le gène S ou Spike.
This article demonstrates how 16 « Exogeneous Informative Elements » fragments (Env Pol and Integrase genes) from different strains, both diversified and very recent, of the HIV1, HIV2 and SIV retroviruses most likely are present into the genome of COVID-19. Among these fingerprints, 12 of them would be concentrated in a very small region of the genome COVID-19 of length less than 900bases, i.e. less than 3% of the total length of this genome. In addition, these footprints are positioned in 2 functional genes of COVID-19: the orf1ab and S spike genes
https://www.researchgate.net/publication/340924772_COVID-19_SARS_and_Bats_Coronaviruses_Genomes_Unexpected_Exogeneous_RNA_Sequences
Et c’est bien évidemment là où ça pique, si je puis dire: on retrouve ici le gène Spike, associé à la protéine Spike qui permet au virus de s’accrocher à son hôte via la protéine ACE2. Cette même protéine Spike que l’étude australienne, présentée ci-avant, trouve bizarrement efficace dans sa capacité à infecter les cellules humaines. Tellement plus efficace chez l’humain que chez ses supposés hôtes traditionnels (chauve-souris et pangolin) que l’origine purement naturelle du virus est mise en doute.
Réfutation de l’hypothèse artificielle.
Cette publication, datée d’avril, a bien entendu attiré l’attention. Un magazine grand public, Le Point, y consacra un dossier le 18 avril où on lit ceci:
Passons au fond de l’affaire. Faut-il croire le mathématicien quand il attribue six fragments du Sars-CoV-2 à différentes souches de virus VIH ? Précisons d’abord qu’il s’agit de fragments minuscules, composés d’une vingtaine de bases (une sorte d’alphabet de 4 lettres qui permettent d’écrire le grand livre de notre génome) sur les quelque 30 000 qui composent le génome entier du coronavirus. Pour le chercheur Éric Leroy : « Trouver de minuscules fragments génomiques identiques à des séquences d’autres virus est très classique. Un génome, c’est extrêmement grand. La comparaison de séquences génomiques pour identifier un virus est habituelle et systématique. On utilise pour cela des algorithmes qui comparent les séquences d’un génome donné, ici, le Sars-CoV-2, à toutes les séquences des génomes du monde vivant connus. Plus on s’intéresse à des séquences courtes, plus on trouvera des séquences analogues à celles d’espèces virales de plus en plus éloignées. On pourrait même trouver des analogies avec de très courtes séquences génomiques de mammifères et de plantes. »
https://www.lepoint.fr/sante/le-virus-du-sars-cov-2-a-t-il-ete-cree-par-l-homme-tous-les-elements-pour-en-juger-18-04-2020-2371937_40.php
Et l’article se termine donc sur une fin de non recevoir:
Alors, à chacun de se faire une opinion. La nôtre est arrêtée : faire confiance à la communauté scientifique dans la mesure où le génome du Sars-CoV-2 a été, depuis le début de la pandémie, décrypté à de multiples reprises par des milliers de chercheurs du monde entier et que jamais aucun laboratoire sérieux et crédible n’y a détecté des segments significatifs du VIH ou d’un autre virus. À ce niveau-là, un complot scientifique est impossible. Un Prix Nobel qui s’est récemment fourvoyé dans pas mal d’affaires peu crédibles n’est pas une caution suffisante face à l’entière communauté scientifique.
Quant à l’extraordinaire coïncidence de voir une épidémie démarrer à proximité d’un laboratoire P4, Jean-Michel Claverie avance une explication : « Le laboratoire de Wuhan est spécialisé dans l’étude des coronavirus. On peut imaginer qu’un de ses agents ait été infecté par une chauve-souris dans la nature, ou même dans le laboratoire. Il aurait rapporté le virus au laboratoire, puis dans sa famille. Il peut y avoir eu une erreur de ce type. Cela arrive. Mais très certainement pas un bricolage délibéré du virus. »
https://www.lepoint.fr/sante/le-virus-du-sars-cov-2-a-t-il-ete-cree-par-l-homme-tous-les-elements-pour-en-juger-18-04-2020-2371937_40.php
Ceci fut publié avant la publication australienne qui pose, d’une autre façon, la question de l’origine du virus. J’ignore ce que les experts interrogés par Le Point diraient aujourd’hui s’ils avaient connaissance de ces nouvelles données – et pour autant, bien sûr, que ces données soient correctes, ce qui à mon niveau est évidemment impossible à dire.
Le scénario SARS-CoV-2 artificiel en résumé:
- Fin 2019, un Coronavirus baptisé SARS-CoV-2 surgit à Wuhan, à proximité d’un laboratoire de haute sécurité spécialisé dans les Coronavirus, et notamment ceux des chauves-souris.
- La pangolin, un animal qui mange (parfois) des chauves-souris et est mangé (parfois) par les Chinois qui l’achètent sur le marché animalier de Wuhan, est considéré comme l’hôte intermédiaire entre la chauve-souris et l’humain.
- Aucune validation scientifique de ceci ne semble exister: le SARS-Cov-2 n’existe pas, en tant que tel, chez les chauves-souris ni chez le pangolin, qui sont infectés par des coronavirus cousins mais non identiques.
- En avril 2020, Perez et Montagnier prétendent démontrer que SARS-CoV-2 présente d’inexplicables similitudes avec le VIH, et ce en particulier au niveau des protéines Spike qui permettent au virus d’accrocher les protéines ACE2 de leurs hôtes – condition essentielle à leur capacité infectieuse.
- En mai, une étude australienne prétend démontrer que l’efficacité de la protéine Spike du nouveau SARS-CoV-2 est optimale dans le contexte humain, et supérieure à sa capacité dans son supposé milieu naturel, celui des chauves-souris et des pangolins.
Si l’on en croit ce déroulé, une conclusion s’impose: le SARS-CoV-2 est un avatar de Coronavirus classique de chauve-souris, avatar dont la capacité d’adaptation à l’humain a été optimisée par, notamment, la modification génétique de sa protéine Spike. Modification réalisée, peut-être, à partir d’extraits du génome du Vih, un virus réputé efficace dans sa capacité à infecter les cellules humaines.
Tout ceci se passant à Wuhan, au pied du fameux laboratoire P4, on ne peut ignorer la conclusion complémentaire d’un accident ayant laissé échapper un virus artificiel, développé spécifiquement pour être efficace chez l’humain. C’est en tout cas nettement plus probable que l’histoire, racontée dans Le Point, d’un laborantin qui se serait fait mordre par une chauve-souris, vu que le SARS-CoV-2 n’existe apparemment pas tel quel chez les chauves-souris, et qu’il aurait donc fallu que ce virus mute quelque part, et un peu miraculeusement, entre la chauve-souris, le labo et le grand public.
Il est bien sûr possible que rien de ceci ne soit vrai, et la vérité bien plus prosaïque mais il existe un faisceau d’indices, comme on dit, en faveur de l’hypothèse d’un virus artificiel particulièrement bien adapté à l’humain et s’étant échappé du P4 de Wuhan.
Un virus artificiel, pourquoi et pour qui ?
Poussant la chose jusqu’au bout, un virus échappé ou libéré? Et un virus pour quoi faire?
Il est courant, en matière de vaccins, d’utiliser des morceaux de virus vivant comme “moteur” afin d’initier une réaction immunitaire. C’est typiquement le cas du BCG et il est plausible que le P4 de Wuhan travaillait sur un tel vaccin, soit contre un type de Coronavirus type SARS ou MERS, soit pourquoi pas contre le Vih.
Un bout de Coronavirus pour initier une réaction immunitaire, associé à un bout de Vih pour faciliter la pénétration cellulaire, une combinaison qui pourrait peut-être marcher mais, si c’était effectivement l’idée, ce n’était pas prêt et la “charge explosive” de la chose pas encore démilitarisée. Il est donc tout à fait plausible que, suite à un incident mal géré au sein du labo, ce virus artificiel se soit échappé avec les conséquences que l’on sait.
On peut également considérer, pour la forme, l’hypothèse d’une libération volontaire mais on voit quand même mal les Chinois lâcher un virus dangereux en plein centre de leur propre pays, qui plus est à deux pas du labo ayant créé la bête. Le régime de Xi Jinping est sans doute ignoble à plusieurs titres, mais pas complètement débile pour autant.
On peut, par contre, tout à fait considérer l’hypothèse de l’arme biologique, un virus artificiel à base de Coronavirus avec éventuellement des éléments de Vih, accidentellement échappé du P4 de Wuhan. L’imagination meurtrière des psychopathes qui peuplent les Etats-Majors du monde entier n’a pas de limites.
Voyons si l’étude australienne attire l’attention, voyons si ses conclusions sont réfutées ou pas, et voyons si les pays touchés par le Covid-19 développent un argument accusatoire envers la Chine basé sur des conclusions scientifiques probantes. “Des choses se sont passées qu’on ne sait pas” disait Macron à ce sujet (5), et pour une fois ce n’est pas une connerie.
Ajouté le 16 septembre 2020:
La virologiste chinoise Li-Meng Yan déclare, sur le Tucker Carlson show de la Fox, que le Sars-CoV-2 est une création artificielle du P4 de Wuhan, délibérément lâché à la face du monde. Une critique de sa position est disponible sur wikipédia: https://en.wikipedia.org/wiki/Li-Meng_Yan
Liens et sources:
(1) https://zerhubarbeblog.net/2020/05/06/covid-19-etude-des-luttes-ou-lutte-des-etudes/
(2) https://www.eyrolles.com/Sciences/Livre/le-supra-code-de-l-adn-9782872110179/
(3) https://zerhubarbeblog.net/2020/04/17/luc-montagnier-le-vih-et-lorigine-du-covid-19/
Dans le Washington Post, les bizarres effets du Covid-1ç sur les poumons. https://www.washingtonpost.com/health/more-evidence-emerges-on-why-covid-19-is-so-much-worse-than-the-flu/2020/05/21/e7814588-9ba5-11ea-a2b3-5c3f2d1586df_story.html?fbclid=IwAR1q0K4t4fWvOFxJSlQaf-PPjrKKXOXH5ynSUQnz6hyw34T8JLnPDV79Jds&utm_campaign=wp_main&utm_medium=social&utm_source=facebook
Bonjour, je suis cadre scientifique dans le domaine des vaccins depuis plus de vingt ans.J’ai trouvé 1 article de 2015 où déjà le labo P4 jouait aux apprentis sorciers en ayant fabriqué 1 chimère à partir d’un SARS-CoV backbone. A la fois Chinois et Américains (dont FDA) étaient impliqués. Ils jouaient déjà aux apprentis sorciers en 2015. D’où le risque potentiel d’1 fuite possible et non volontaire du labo P4 en Nov 2019. Voir: Menachery, nat med_21_1508-1513_2015 “A SAES-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence”.
pierre.cambron@gmail.com.
Merci pour cette info! C’est sans doute pourquoi Trump ne semble avoir aucun doute sur la culpabilité chinoise…
La Chine se dit ouverte à une coopération internationale sur l’origine du virus. Coopération ou enquête? https://www.ouest-france.fr/monde/chine/la-chine-se-dit-prete-une-cooperation-internationale-sur-l-origine-du-virus-6844404
La possibilité d’un virus artificiel est en fait largement partagée aux USA. https://theintercept.com/2020/05/19/coronavirus-pandemic-origin-trump-china/
Da,s le Guardian: https://www.theguardian.com/world/2020/apr/28/how-did-the-coronavirus-start-where-did-it-come-from-how-did-it-spread-humans-was-it-really-bats-pangolins-wuhan-animal-market
La Chine essaie-t-elle d’acheter le silence des nations touchées par le Covid? https://www.thedailybeast.com/chinas-trying-to-buy-the-worlds-silence-on-covid-19-dont-let-it
Selon le site de hackers 4Chan, le labo P4 de Wuhan, ainsi que l’OMS et la fondation de Bill Gates, auraient été piratés. Outre de nombreux mails, des documents dont au moins un parle de virus artificiel, un mélange de Coronavirus dont la protéine Spike aurait été modifiée avec des gènes du Vih… https://www.lebigdata.fr/covid-19-labo-p4-wuhan-fuite-donnees
Les pangolins sont insectivores et ne mangent a priori pas les chauves-souris. Le BCG n’est pas un virus. L’argument d’utiliser des séquences génomiques du VIH pour augmenter l’affinité de Spike pour ACE2 n’est pas convaincant. La gp120 du VIH se lie aux molécules CD4 pour pénétrer dans la cellule (avec différents corécepteurs en fonction du type cellulaire) et aucune de ces molécules n’est de la famille des ACE. Un travail sur des vaccins recombinant est plausible.
La recherche d’armes biologiques est une évidence…mais bon, une arme qui tuent pratiquement que des gens âgés et/ou des malades, le prototype nécessite quelques améliorations !
Bonjour,
BCG: Le vaccin bilié de Calmette et Guérin, le plus souvent dénommé vaccin BCGNote 1, est un vaccin contre la tuberculose. Il est préparé à partir d’une souche atténuée de bacille tuberculeux bovin (Mycobacterium bovis) vivant qui a perdu sa virulence sur l’homme par culture spéciale sur des milieux artificiels pendant des années. (wikipédia). Ok, bactérie, pas virus en effet. J’aurais du prendre l’exemple de la polio.
Si prototype d’arme biologique,soit pas au point soit visant à éliminer les inutiles économiques: les vieux et les malades.
Nikolai Petrovsky, co-auteur de l’étude australienne discutée dans cet article, interrogé sur Skynews: https://www.skynews.com.au/details/_6158843835001?fbclid=IwAR1WgkwjNmaq52NBwyL-QmTQHmQyf91uqKqPJ7zbq6BO1he-iPNYQJytr5o
Selon cette étude, la contagion disparaît après 11 jours, mais si on reste positif plus longtemps. https://www.bloomberg.com/news/articles/2020-05-24/covid-19-patients-not-infectious-after-11-days-singapore-study
USA-Chine: ca commence à chauffer… https://www.lepoint.fr/monde/coronavirus-comment-l-alerte-a-ete-etouffee-a-wuhan-en-decembre-2019–22-05-2020-2376543_24.php#xtor=CS2-239
Sur Médiapart, la folle histoire du P4 de Wuhan: https://www.mediapart.fr/journal/international/280520/la-folle-histoire-du-laboratoire-p4-de-wuhan?utm_source=twitter&utm_medium=social&utm_campaign=Sharing&xtor=CS3-67
Médiapart: pour le virologue Eric Leroy, une origine artificielle du SARS-CoV-2 est hors de question. https://www.mediapart.fr/journal/international/280520/le-mystere-du-sars-cov-2-n-est-pas-encore-perce?utm_source=global&utm_medium=social&utm_campaign=SharingApp&xtor=CS3-5
[…] (8) https://zerhubarbeblog.net/2020/05/23/les-origines-troubles-du-sars-cov-2-le-virus-du-covid-19/ […]
concernant la taille et la présence des séquences, celles-ci sont plutôt de 30 pb que 20 ce qui peut avoir une importance très grande puisque que la probabilité de retrouver une séquence est en progression géométrique. J’ai par ailleurs cherché ces séquences et on ne les trouves que rarement et pas toutes ensembles : http://quantique.alwaysdata.net/covid_19_fasta_txt.htm
Merci pour ces précisions. Vous en concluez quoi, que l’hypothèse ne tient pas ?
Un accident, selon le MI6 ? https://www.telegraph.co.uk/news/2020/06/03/exclusive-coronavirus-began-accident-disease-escaped-chinese/
Vu dans FranceSoir. http://www.francesoir.fr/covid19-un-virus-synthetique-hautement-pathogene-pour-letre-humain-creee-par-linstitut-de-virologie
Origine européenne de la récrudescence actuelle de cas à Pékin :https://mobile.reuters.com/article/amp/idUSKBN23Q04L
Immunité croisée ? https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/07/14/covid19-immunite-croisee-avec-les-autres-coronavirus-phenome-307546.html
Immunité conférée par cellules T au sein d’anciennes victimes du SRAS. https://medicalxpress.com/news/2020-07-scientists-uncover-sars-cov-specific-cell-immunity.html
https://phys.org/news/2020-08-protein-sars-cov-rapidly-cells.html
Italie: le Pr Tritto publie un livre visant à confirmer la thèse du virus artificiel. http://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-lorigine-du-virus-lanalyse-du-pr-tritto-confirme-celle-du-pr-montagnier?fbclid=IwAR1DczqbXQ4fKdU41ZJXlgijXIS2ptex2fC_YUKO0P0JyiiXi1ESQphhzXs
Les mutations plus contagieuses ? https://phys.org/news/2020-08-machine-learning-sars-cov-infectious.html
De nombreux animaux seraient sujet à infection au Sars-CoV-2. https://medicalxpress.com/news/2020-08-genomic-analysis-reveals-animal-species.html
[…] (3) https://zerhubarbeblog.net/2020/05/23/les-origines-troubles-du-sars-cov-2-le-virus-du-covid-19/ […]
Mise à jour de l’étude de Perez et Montagnier: génome partiellement synthétique. Experts, vos avis? https://zenodo.org/record/3724003#.X04u38gzaCg
La piste chinoise… https://www.lindependant.fr/amp/2020/09/12/le-coronavirus-a-ete-cree-dans-le-laboratoire-a-wuhan-une-virologue-chinoise-affirme-avoir-des-preuves-9066073.php?__twitter_impression=true
Suite aux allégations et au papier de la virologue chinoise Li-Meng Yen, voici la réponse de l’establishment: https://www.factcheck.org/2020/09/report-resurrects-baseless-claim-that-coronavirus-was-bioengineered/?fbclid=IwAR2X6O3-4OlyGvX6fjSatpeTuQuwq2tYCNt8aIfwFMcdMny7k4T8EswdU-8
Science ou censure ? https://www.bostonmagazine.com/news/2020/09/09/alina-chan-broad-institute-coronavirus/
A ceux et celles qui s’intéressent à l’histoire des armes biologiques en France, je conseillerais le livre d’Etienne Aucouturier qui raconte comment notre pays a élaboré, dans le plus grand secret, un programme de 1921 à 1944 puis de 1947 à 1972 et ce sous l’égide de l’Institut Pasteur. Dans la manière où l’agent pathogène, aujourd’hui, sélectionne le vivant et affecte une partie ciblée de l’humanité avec des conséquences économiques et politiques extraordinaires, on peut classer ce virus à l’origine incertaine parmi les armes biologiques. Au reste en Chine il a été traité comme telle. https://materiologiques.com/fr/histoire-des-sciences-et-des-techniques/237-la-guerre-biologique-aventures-francaises-9782373611182.html
Forbes: des chercheurs mettent en garde contre un risque accru d’infections au VIH du fait de certains vaccins covid. https://www.forbes.com/sites/roberthart/2020/10/20/researchers-warn-some-covid-19-vaccines-could-increase-risk-of-hiv-infection/#1c18511a3740
Le nouveau Coronavirus utiliserait une seconde clé pour infecter les cellules. https://www.cnews.fr/monde/2020-10-24/le-nouveau-coronavirus-utilise-une-seconde-cle-pour-sinfiltrer-dans-les-cellules?amp&__twitter_impression=true
[…] Laisser une réponse Les origines troubles du SARS-CoV-2, le virus du Covid-19. […]
CNRS: https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-question-de-lorigine-du-sars-cov-2-se-pose-serieusement?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1603821874
[…] Source : https://zerhubarbeblog.net/2020/05/23/les-origines-troubles-du-sars-cov-2-le-virus-du-covid-19/ […]
Le 5 novembre, l’Union nationale des associations citoyennes de santé (UNACS) a saisi le Conseil d’État pour sommer le ministre de la Santé, Olivier Véran, de s’expliquer sur l’origine de l’épidémie de Covid-19. L’avocat de l’association, Maître Emmanuel Ludot, revient sur cette affaire au JT de RT France.
#Covid19 #Wuhan #Veran
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Pour le Parisien, le dossier n’est pas clos. https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-le-virus-echappe-d-un-labo-pourquoi-la-these-n-est-pas-si-farfelue-08-11-2020-8407199.php
France Info: le doute reste permis. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-l-hypothese-d-un-virus-echappe-d-un-laboratoire-serait-elle-finalement-credible_4165391.html?fbclid=IwAR2JRhexbNTZEBbhcf2mV26aDkLB1cYeISl5Tk5iMwvKB0OwYF_Uw7NDxfM
Tout le monde se met à poser la question! https://www.ladepeche.fr/2020/11/08/covid-19-lhypothese-de-lechappement-accidentel-du-virus-dun-laboratoire-ne-peut-etre-ecartee-9189367.php?fbclid=IwAR0xlizXPx_WtDppF0tgkgODu_YZDIJ0vv6QxsSi8hmaRE1_-jfPt0xHkCE
Des gênes superposés qui faciliteraient l’infection au SarsèCoV-2: https://phys.org/news/2020-11-hidden-gene-covid-virus.html?fbclid=IwAR2OLtymThAwX3CqjTG85CcPPdm8K7NUuo5yBgLk6cg1gk1XkX1yef9egTc
Le virus circulerait en Italie dès septembre. https://www.tdg.ch/le-virus-du-covid-19-nest-pas-apparu-pour-la-premiere-fois-en-chine-563805056664
Un SARS-CoV-2 découvert dans des chauve-souris congelées au Cambodge? https://www.livescience.com/related-coronaviruses-cambodia-japan.html?utm_source=notification
Une récente étude de l’université de Pennsylvanie confirme l’optimalisation de la protéine Spike du virus Sars-Cov-2 pour s’accrocher aux cellules humaines. https://phys.org/news/2020-12-covid-infection-mutations.html?fbclid=IwAR2N3gMkFSYt7JdOnKJebWSpr7I_a92j7VZo9qFAG1VErnOgzCJvYZe-JwY
Intéressant. https://medicalxpress.com/news/2020-12-reveal-potential-weaknesses-sars-cov-infection.html
Dans Le Monde: https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/12/22/a-l-origine-de-la-pandemie-de-covid-19-un-virus-sars-cov-2-aux-sources-toujours-enigmatiques_6064168_1650684.html?utm_source=Facebook&utm_medium=PaidSocial&xtor=CS2-33281034-%5BFB%5D-%5Bteaser%5D-%5Bsponsoabo%5D&fbclid=IwAR3SFujev6TB2L5J17dkFMSfmeZcT5nPdTyFPpcg_NUkBy7ErTYW6yRnMHs
Questions sur le variant sud africain. https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-des-sciences/le-journal-des-sciences-du-mardi-05-janvier-2021?utm_medium=Social&utm_source=Facebook#Echobox=1609907218
La piste du vison chinois serait-elle finalement la bonne? https://reporterre.net/Les-elevages-de-visons-en-Chine-a-l-origine-du-Covid-19-Les-indices-s-accumulent?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=nl_hebdo&fbclid=IwAR07pCVs2KMp88ySA8AhheKtvKkybSzj1xdK0Z36RH0wPpLdjv4SpZJkz_U
[…] sur l’hypothèse d’un virus manipulé échappé du fameux labo P4 de Wuhan (voir « Les origines troubles du Sars-CoV-2 » (8)), une hypothèse basée sur l’absence d’un lien probant entre le probable foyer […]
Pour l’équipe de l’OMS, RAS. https://www.theguardian.com/world/2021/feb/09/wuhan-laboratory-leak-covid-origin-theory-unlikely-says-who-team?CMP=fb_gu&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR37rpZHnlwKfAGGQ4Lvwy6doJMxaxqUa4TRHrqPhH8Q_IITvm_62Ji0IGk#Echobox=1612878146
Le virus en France dès novembre 2019? Alors que les experts de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) sont actuellement à Wuhan pour enquêter sur les premiers signalements du Covid-19 en décembre 2019 , le virus circulait sans doute bien loin de la Chine un mois auparavant. Selon une étude, celui-ci était déjà présent en Europe en novembre 2019.
https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/le-covid-etait-present-en-france-des-novembre-2019-prouve-une-etude-1289191#xtor=CS1-26
Dans le Monde: Bien que le processus « collaboratif » d’investigation organisé par l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2020 ait été mis en place de manière à permettre un examen complet des origines de la pandémie, nous pensons que les limites structurelles de cette démarche ne permettent pas à la mission convoquée par l’OMS d’atteindre ses objectifs.
https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/03/04/nous-souhaitons-une-enquete-sur-les-origines-de-la-pandemie-de-covid-19-approfondie-et-credible_6071961_3232.html?fbclid=IwAR2sEYFTCAST4SwnuGt_RBBAz5yIerefHzkpLVzZdPVmcysRmNpjSWwW_HU
L’enquête sur les origines, dans le Monde: https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/12/22/a-l-origine-de-la-pandemie-de-covid-19-un-virus-sars-cov-2-aux-sources-toujours-enigmatiques_6064168_1650684.html?utm_source=Facebook&utm_medium=PaidSocial&xtor=CS2-33281034-%5BFB%5D-%5Bteaser%5D-%5Bsponsoabo%5D&fbclid=IwAR2tMO21XshBJ6pT8Ln1Gw9ztZ_jRHBt7-pe-cxhX72gamw2kO6Yp740TVk
Le mystère reste entier, voire s’épaissit…
“Depuis la pandémie de Covid-19, cette mine fascine tous ceux qui s’intéressent aux origines du virus. Plusieurs équipes de journalistes ont tenté de s’en approcher. Toutes ont été bloquées par des villageois avant d’arriver à la mine. Une journaliste chinoise, originaire de cette région montagneuse, s’y est rendue pour France Télévisions et a réussi à interroger un caféiculteur installé à proximité. “La mine est fermée en ce moment. Je ne sais pas pourquoi. C’est le gouvernement qui l’a fermée, assure-t-il. Et ils ont mis des caméras de vidéosurveillance partout autour du lieu. Si vous y allez, je vous préviens, ils vont vous filmer et vous prendre en photo. Personne ne peut rentrer. Ils ont installé un grand barrage devant la mine, et la route est barrée.” De fait, notre journaliste n’a pas pu accéder à cette mine. ”
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/enquete-le-virus-du-covid-19-sest-il-echappe-dun-laboratoire-de-wuhan_4330585.html?fbclid=IwAR0r4A-8BXxZDb2wm-T7E8-tCi2PZ5IFiW2QtPY764PiQcBqek_sX1cKcEg#xtor=CS2-765-%5Bfacebook%5D-
L’OMS veut une enquête à Wuhan. https://www.france24.com/fr/asie-pacifique/20210330-covid-19-l-oms-veut-une-enqu%C3%AAte-sur-l-hypoth%C3%A8se-d-une-fuite-depuis-un-laboratoire-chinois
Dans Le Monde, ce 30 avril: https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/30/origines-du-sars-cov-2-des-scientifiques-enjoignent-a-l-oms-d-eclaircir-les-zones-d-ombre_6078611_3244.html?fbclid=IwAR32OaesLk6UEH9v36GHIU3jU0fu7bGcBBRSBIEYA_toHdW2gPvX0nH26kU
C’est une hypothèse qui avait été balayée d’un revers de la main au début de la pandémie: impensable que le virus ait pu s’échapper d’un laboratoire sécurisé de Wuhan. Mais si cette cathédrale de certitudes était construite sur des sables mouvants? La piste du pangolin a été abandonnée, et on ne dispose d’aucune preuve tangible concernant l’origine zoonotique en milieu naturel ou en élevage. Au point que le directeur de l’OMS lui-même, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, s’est refusé à écarter la piste de l’accident de laboratoire après la remise du rapport de la première mission d’enquête de l’organisation en Chine le 30 mars dernier. Bien que l’équipe ait conclu qu’une fuite en laboratoire était l’hypothèse «la moins probable», il a déclaré que «des donnés et des études supplémentaires étaient nécessaires pour arriver à des conclusions plus robustes, potentiellement avec des missions supplémentaires impliquant des experts spécialisés, que je suis prêt à déployer».
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-la-piste-d-une-fuite-de-laboratoire-resurgit-20210503
Sur le blog de Laurent Mucchielli: Il existe deux grandes théories sur l’origine du SARS-CoV-2. La première est qu’il est passé naturellement des animaux sauvages aux humains. L’autre est que le virus était à l’étude dans un laboratoire, d’où il s’est échappé. S’il n’existe à ce jour aucune preuve directe de l’une ou l’autre théorie, l’ensemble des indices pointent clairement dans une direction spécifique.
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/100521/origine-du-coronavirus-avons-nous-ouvert-la-boite-de-pandore-wuhan
[…] (2) https://zerhubarbeblog.net/2020/05/23/les-origines-troubles-du-sars-cov-2-le-virus-du-covid-19/ […]
Covid-19 : comment l’hypothèse de l’accident de laboratoire, à l’origine du coronavirus, s’est étoffée en un an
Dans une lettre, des scientifiques appellent à reconsidérer la piste d’un accident de laboratoire comme source de la pandémie. Franceinfo revient sur l’origine et la façon dont cette hypothèse s’est développée.
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-comment-l-hypothese-de-l-accident-de-laboratoire-a-l-origine-du-coronavirus-s-est-etoffee-en-un-an_4623729.html?xtor=SEC-735-%5B17_05_2021_franceinfo_Comment_l_hypothese_de_l_accident_de_laboratoire__a_l_origine_du_coronavirus__s_est_etoffee_en_1_an%5D-%5B3629237%7C%7C6240898752181%5D-%5BComment_l_hypothese_de_l_accident_de_laboratoire__a_l_origine_du_coronavirus__s_est_etoffee_en_un_an%5D-%5B%5D-%5B6240898752181%5D-%5B%5D&fbclid=IwAR2oI35rK_v2_PGfWtETvSq5Ah5t-gnIC9S_RFNNiEs-1mgTUQcS65IsiLA
[…] (6) https://zerhubarbeblog.net/2020/05/23/les-origines-troubles-du-sars-cov-2-le-virus-du-covid-19/ […]
Le Pentagone est-il directement responsable d’un accident de laboratoire à Wuhan à l’origine de la pandémie du COVID-19? Poser cette question, c’est commencer à comprendre pourquoi les pays occidentaux ont réagi sur la défensive après l’éclatement de l’épidémie en Chine et la diffusion du virus dans le reste du monde? Il est certain que le Ministère de la Défense américain a financé, abondamment, une ONG, EcoHealth Alliance dont le président, Peter Daszak, était le principal interlocuteur scientifique du Professeur Shi Zhengli, responsable du P4 de Wuhan et soupçonnée d’être la première responsable de l’accident de laboratoire. Quelle part des financements américains (et en particulier venus du Pentagone) est allée au P4 de l’Institut de virologie de Wuhan? L’enquête ne fait que commencer.
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/06/22/le-pentagone-a-t-il-finance-le-laboratoire-p4-de-wuhan-directement-a-lorigine-du-covid-19/?fbclid=IwAR1hy7ai8TuDzHNuC8epqAj2mfpYLr3vVgyw-nKwuNuuly5c24tieNYltmI
[…] (4) https://zerhubarbeblog.net/2020/05/23/les-origines-troubles-du-sars-cov-2-le-virus-du-covid-19/ […]
Sharri Markson est une journaliste et auteure bien connue en Australie. Elle a publié un livre d’enquête sur l’origine du sars-cov-2, et un documentaire avec Sky News Australia, en accès libre ci-dessous: Que c’est-il vraiment passé à Wuhan?
Le documentaire interroge de nombreux officiels américains, y compris Donald Trump, Mike Pompeo (ex-patron de la CIA et ex-secrétaire d’Etat), John Ratcliffe (ex-directeur des services de renseignement US) mais aussi des dissidents chinois, des analystes militaires, des scientifiques et des journalistes.
Le documentaire est clairement à charge de la Chine, mais interroge également le fait que la CIA et les agences de renseignement US savaient très tôt, dès l’été 2019, qu’il y avait un problème à Wuhan, sans pour autant réagir.
Il interroge également le rôle de Anthony Fauci et du NIH (institut national de la santé US), ainsi que du Dr Peter Daszak, dans le financement de programmes de recherche sur le gain de fonction des coronavirus, notamment à Wuhan. On y retrouve aussi la fameuse étude australienne, par Nikolaï Petrovsky (voir https://zerhubarbeblog.net/…/les-origines-troubles-du…/) sur la très surprenante capacité de ce nouveau virus à infecter les cellules humaines.
L’origine artificielle du sars-cov-2 ne fait plus vraiment de doute. Il faut faire avec, mais outre l’aspect assez terrifiant d’apprentis-sorciers faisant joujou avec des virus mortels, le plus terrible est sans doute la manière dont l’élite gouvernante mondialisée a récupéré cette pandémie afin de mettre un couvercle sur nos principes civilisationnels.
Mensonges, propagande anxiogène, pseudo-science légitimant l’incarcération de masse et, désormais, la ségrégation sanitaire, nous montrent qui sont nos vrais ennemis: une certaine science dévoyée, des politiciens et technocrates corrompus, des pervers narcissiques avec dans leurs mains tous les pouvoirs de manipulation et de coercition “pour notre sécurité”.
https://youtu.be/oh2Sj_QpZOA
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Une série de podcasts sur l’origine du Sars-CoV-2: https://www.technologyreview.com/supertopic/curious-coincidence/?utm_medium=email&utm_source=engagement&utm_campaign=CURIOUS&utm_content=03.11.22_engsub&mc_cid=1f9b9ee9fc&mc_eid=16555b1858
Les resultats d’une commission d’étude américaine sur le Covid, récemment publiée dans le Lancet, laissent entendre qu’une origine artificielle accidentelle du Sars-CoV-2 n’est pas à exclure, une origine qui pourrait même être américaine.
Cette hypothèse est supportée par le président de la commission, l’économiste Jeffrey Sachs, qui appelle à l’ouverture des labos US ayant travaillé sur les coronavirus (souvent en collaboration avec Wuhan), pour enquête.
Grosse polémique, même si c’est un élément assez marginal d’un rapport par ailleurs très mainstream déplorant surtout le manque de préparation des États et la lenteur des réponses.
L’origine du virus est un enjeu autant scientifique que politique depuis le début de l’affaire. Plusieurs articles, études et ouvrages sont publiés, la conclusion générale étant qu’un échappement de laboratoire est l’hypothèse la plus probable, n’en déplaise aux tenants de la manipulation biologique qui ne veulent pas ternir leur image.
https://www.telegraph.co.uk/global-health/science-and-disease/backlash-major-covid-origins-report-suggests-virus-could-have/
Pour prévenir de futures pandémies, il est important de comprendre si le SRAS-CoV-2 s’est transmis directement des animaux à l’homme, ou indirectement lors d’un accident de laboratoire. Le génome du SRAS-CoV-2 contient un schéma particulier de sites de reconnaissance uniques par les endonucléases de restriction, permettant un désassemblage et un réassemblage efficaces du génome viral, caractéristique des virus synthétiques. Nous rapportons ici la probabilité d’observer un tel schéma chez des coronavirus sans antécédents de bio-ingénierie. Nous constatons que le SARS-CoV-2 est une anomalie, plus probablement un produit de l’assemblage de génomes synthétiques que de l’évolution naturelle. La carte de restriction du SARS-CoV-2 est cohérente avec de nombreux génomes synthétiques de coronavirus déjà signalés, répond à tous les critères requis pour un système de génétique inverse efficace, diffère de ses proches parents par un taux significativement plus élevé de mutations synonymes dans ces sites de reconnaissance d’apparence synthétique, et présente une empreinte synthétique peu susceptible d’avoir évolué à partir de ses proches parents. Nous signalons qu’il est très probable que le SARS-CoV-2 ait pu naître sous la forme d’un clone infectieux assemblé in vitro.
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2022.10.18.512756v1.article-info
#SARSCoV2 Une commission “Santé” du Sénat américain vient de publier un rapport d’enquête sur l’origine du Sars-Cov-2, le virus du Covid. Il renforce grandement l’hypothèse d’un virus “artificiel”, créé au laboratoire de Wuhan, qui se serait échappé vers octobre 2019.
Je cite ci-dessous un extrait traduit du rapport, qui dit en gros que l’évolution du Sars-Cov-2 est fondamentalement différente des autres zoonoses connues à base de coronavirus (Sras-1 et Mers), notamment du fait de l’absence de toutes traces d’évolution et d’infections animales intermédiaires entre l’origine probable (chauve-souris) et nous.
Le rapport note également l’historique de recherches sur le Google chinois de “symptômes de type grippal”, qui se concentrent à l’automne 2019 autour du laboratoire de Wuhan (voir image). Selon ce rapport, l’infection du marché aux animaux (origine officielle) serait due à des humains déjà infectés, et non l’inverse.
Un élément de plus, donc, en faveur de la théorie initialement “complotiss” de l’échappement d’un virus artificiel. Feu le Dr Montagnier et le biostaticticien Jean-Claude Perez avaient publiés là-dessus dès avril 2020, tout comme l’australien Nikolaï Petrovsky, mettant fortement en doute la thèse officielle d’un virus naturel.
Par la suite, l’enquête de Brice Perrier “Aux origines du mal” enfonçait le clou, ainsi que les révélations sur le rôle de Anthony Fauci et di NIH sur les recherches sur les gains de fonction des coronavirus.
Il n’y a plus guère de doute, en fait, sur la nature artificielle du Sars-Cov-2. Pourtant, aucune mesure ne semble être prise pour interdire ce genre de recherches, les responsables (essentiellement américains et chinois) restant dans le déni complet.
Extrait:
Cependant, il n’existe aucune preuve génétique publiée indiquant que le SRAS-CoV-2 circulait chez les animaux avant le début de la pandémie de COVID-19.45 De plus, les génomes des premiers cas de COVID-19 ne présentaient pas de preuve génétique, sous forme de mutations adaptatives, que le SRAS-CoV-2 avait récemment circulé chez une autre espèce animale que l’homme.
En outre, la similitude génétique entre les échantillons environnementaux et les échantillons viraux humains confirme la probabilité d’une contamination par des humains infectés, plutôt que par des animaux infectés. Il ne semble pas non plus qu’il y ait eu, depuis le début de la pandémie, de propagation subséquente du virus qui génère une transmission chez l’homme, ni aucune autre propagation indépendante du SARS-CoV-2, de l’animal ou des animaux hôtes intermédiaires à l’homme…
Ces faits représentent une rupture significative avec le précédent d’autres zoonoses impliquant des virus respiratoires, tels que le MERS et le SRAS. impliquant des virus respiratoires qui, comme le SRAS impliquant le CoV2 d’un animal vivant, se propagent principalement par les aérosols.
Les débordements relativement récents sur les marchés des zones urbaines sont également pertinents. Les débordements isolés de virus impliquant un petit nombre d’infections humaines ont moins de valeur de précédent, comme c’est le cas dans les zones rurales pour les virus qui se transmettent principalement par contact physique étroit, l’émergence du MERS et plusieurs épidémies ou qui sont des vecteurs de maladies aviaires.
Par conséquent, l’épidémie de SRAS, les influenzas ont une plus grande valeur de précédent que les virus comme le monkeypox, Zika, le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), ou Ebola, parce que les virus et les circonstances de leur émergence sont plus similaires à celle du SRAS-CoV-2.
Les premiers variants du SRAS-CoV-2 présentaient une faible diversité génétique et étaient étroitement liés les uns aux autres, ne différant que par deux nucléotides sur environ 29 900 nucléotides. Le fait que seuls deux variants précoces du virus aient été identifiés indique que le virus n’avait pas circulé à grande échelle ou pendant une longue période, et qu’il avait donc peu de chances de muter et de produire de nouvelles variantes virales.
Cela suggère également que le SRAS-CoV-2 n’a contaminé les humains qu’une ou deux fois sur une période d’environ deux semaines, et que ces une ou deux contaminations ont entraîné une transmission interhumaine soutenue. Il semble également que cette contagion réussie ne se soit produite qu’à Wuhan ou dans les régions avoisinantes.
Il est difficile de comprendre l’épidémiologie de l’épidémie, car il est peu probable que les premiers cas connus de COVID-19 soient les premiers humains réellement infectés par le SRAS-CoV-2. Les premiers cas de COVID19 identifiés, signalés par des représentants du gouvernement de la RPC, ont une date d’apparition des symptômes fixée au 8 décembre 2019.
La majorité des modèles épidémiologiques indiquent que le SRAS-CoV-2 s’est propagé chez l’homme entre la mi-octobre et le début ou la mi-novembre 2019. Ces premiers cas de Wuhan ont ensemencé le virus à Wuhan, le SRAS-CoV-2 se propageant d’une personne à l’autre après le ou les événements initiaux de propagation.
https://www.youtube.com/redirect?event=video_description&redir_token=QUFFLUhqbDFvdWZPTi0xUDFkeDdia1NKaE1BY0ZtSzJ5QXxBQ3Jtc0trRlRFQW9lWmkyLXNOSXlUVjBIbGVyVVFYbXB6Rl9uR05ma3owSnRTQ2FNVVBDbExuWFB6QkhSV0VXQjN4aXotRFBxWXJ0eDFfQlJRdFRGaS1RLWZZeHphVmViT1BfaDd6UXFTLU9iT1g3ZTBzTjdJTQ&q=https%3A%2F%2Fwww.help.senate.gov%2Fimo%2Fmedia%2Fdoc%2Freport_an_analysis_of_the_origins_of_covid-19_102722.pdf&v=EaJt5jC5gbY
[…] (3) https://zerhubarbeblog.net/2020/05/23/les-origines-troubles-du-sars-cov-2-le-virus-du-covid-19/ […]
Enquête sur le cover-up autour de l’origine artificielle du virus. https://youtu.be/nRyNXoMP6e0
#COVID19 #LabLeak Ainsi donc le fameux Wall Street Journal reprend ce matin, sur base de sources US officielles (à ne surtout pas confondre avec “exactes” ), la thèse de l’échappement du Sars-CoV-2 depuis le laboratoire de Wuhan, en Chine:
“Le département de l’énergie des États-Unis a conclu que la pandémie de Covid a très probablement été provoquée par une fuite de laboratoire, selon un rapport de renseignement classifié récemment fourni à la Maison Blanche et aux principaux membres du Congrès.
Le changement de cap du département de l’énergie, qui était auparavant indécis sur la façon dont le virus a émergé, est noté dans une mise à jour d’un document datant de 2021 par le bureau de la directrice du renseignement national Avril Haines.
Le nouveau rapport souligne comment différentes parties de la communauté du renseignement sont arrivées à des jugements disparates sur l’origine de la pandémie. Le département de l’énergie rejoint désormais le Federal Bureau of Investigation en affirmant que le virus s’est probablement propagé par le biais d’un accident survenu dans un laboratoire chinois. Quatre autres agences, ainsi qu’un groupe d’experts nationaux du renseignement, estiment toujours que le virus est probablement le résultat d’une transmission naturelle, et deux autres sont indécis.” (Lien en com).
Cette thèse est soutenue par les “complotistes ” depuis le début, et sur base d’analyses que la bien-pensance aime ridiculiser, jusqu’au jour où le boomerang lui revient à la gueule (en com, mon article de mai 2020 sur ce sujet).
Cela fait donc un bail que cette thèse est avérée, malgré le déni officiel, et pour comprendre la nouvelle posture des autorités US il faut la mettre dans le contexte actuel de la diabolisation de la Chine, qui non seulement confirme son alliance russe mais qui, surtout, cherche une sortie négociée au conflit en Ukraine, allant en cela à l’encontre des intérêts de l’Otan, du complexe militaro-industriel, et du moralisme hébété des euro-atlantistes applaudisseurs de massacres.
https://www.wsj.com/articles/covid-origin-china-lab-leak-807b7b0a