John Nichols, journaliste américain reconnu travaillant notamment pour The Nation, auteur de plusieurs livres sur les médias et la démocratie, vient de publier un ouvrage intitulé Coronavirus Criminals and Pandemic Profiteers, directement traduisible en “Criminels du Coronavirus et profiteurs de la pandémie”. Il y décrit comment les cercles proches du pouvoir US, au début sous Donald Trump puis sous Joe Biden, ainsi que les grands prédateurs comme Amazon et Pfizer, se sont goinfrés sur le dos de l’Etat et ont participé à une gestion contre-productive de la pandémie aux USA. Mauvaise gestion dont il estime le coût en vies autour de 300 000 morts “inutiles”, soit de l’ordre de 40% du total à ce jour.
On peut retrouver John Nichols interviewé sur Democracy Now! ici, mais laissons de côté les aspects spécifiques à la politique intérieure US. Nous sommes tous confrontés à la même problématique des grandes entreprises, et de leurs alliés au sein des cercles de pouvoir et des administrations, qui profitent massivement d’une situation où les normes habituelles de contrôle sont enterrées sous moult “états d’urgence”, et où le processus démocratique se voit mis de côté au nom de “l’efficience” car, bien sûr, nous sommes en guerre. Et qui dit guerre dit crimes de guerre.
Voyons ici quelques chefs d’inculpation associés à ces crimes de guerre, et à la vaccination Covid en particulier.
Le cas français.
La France, de par son régime présidentiel et son centralisme administratif hautement perméable à la corruption (1), est un exemple quasi caricatural de la manière dont un régime peut utiliser un choc, ici la pandémie, pour se transformer en quasi-dictature au service de ses propres intérêts et de ceux de ses amis / clients / futurs employeurs etc…
L’état d’urgence, éternellement reconductible selon des critères jamais clairement définis, est bien évidemment la première étape. Ensuite, la conduite secrète, ici au sein du “Conseil de défense”, qui permet d’imposer tout et n’importe quoi sans que les raisons réelles menant à ces décisions ne puissent être connues du public.
Une conduite “légitimée” par un “Conseil scientifique” que le régime nomme de lui-même, sans consultation avec le milieu scientifique, et peuplé de gens confits de conflits d’intérêts qui avaliseront à peu près n’importe quelle décision de l’autorité supérieure, même si on y trouve quelques bémols en lisant entre les lignes de leurs rapports (2).
L’exemple McKinsey.
Le parapluie est aussi constitué de cabinets de “conseil”, en l’occurrence le cabinet McKinsey, dont l’un des cadres supérieurs est le propre fils de la plus haute instance légale du pays, le Conseil constitutionnel, dont le boulot théorique est d’éviter les dérives anticonstitutionnelles du régime. On voit bien à quel point c’est raté, et même le journal Libération s’était posé la question mais pour lui, circulez il n’y a rien à voir (3).
Reste que McKinsey est actuellement sur la sellette face à un comité sénatorial chargé d’éclaircir le rôle du cabinet, depuis sa participation à l’élection de Macron jusqu’à la gestion de la politique vaccinale – au profit, pour le coup, de son autre grand client, Pfizer.
Qu’ont-ils fait dans le cadre de la campagne de vaccination, payés des millions chaque mois? A quoi ont servi les 500 000 euros payés par Macron pour organiser un “séminaire de réflexion sur le métier d’enseignant”? A quoi correspondait la prestation, pour 920 000 euros, pour la Caisse nationale d’assurance vieillesse?
Le bla-bla obséquieux et jargonisant servant de réponse aux cadres de McKinsey sort tout droit du manuel du parfait petit consultant. Un vrai sketch:
Vaccination Covid, les questions qui fâchent.
N’étant pas juriste ne ne sais pas ce qui, dans le vaste éventail de la corruption orchestrée en Macronie, relèverait du crime et ce qui relèverait “seulement” du lobbying et du clientélisme “traditionnel”. L’Histoire le dira peut-être un jour, mais ce qui nous concerne surtout dans cet article est le possible aspect criminel de la vaccination Covid elle-même.
Outre les aspects évidents de corruption et de domination du marché, et John Nichols insiste sur la politique de maximisation des profits de Pfizer & Cie menée sans égards aux besoins de toute une partie de la population mondiale n’ayant pas les moyens de payer ses vaccins, se posent au moins deux questions essentielles:
- La question du décalage entre le discours marketing autour du vaccin et la réalité de terrain en termes d’efficacité, ce qui relèverait de la communication mensongère et mènerait à la mise en œuvre de politiques au final contre-productives pour les populations, mais hautement rentables pour les fabricants et leurs représentants au sein des cercles de pouvoir.
- La question des effets secondaires, donc de la qualité des études cliniques, de la transparence, et de la réalité sur le terrain en termes de dommages pour la population.
Le mensonge vaccinal originel et son débunking.
Souvenez-vous de ces annonces de fin 2020 / début 2021: pour les quatre vaccins autorisés en Europe, des efficacité de plus de 95% et zéro risque. Par efficacité, pour un vaccin, on entend sa capacité à protéger de la contamination et de la transmission. C’est ce qui fut vendu au public, et c’est le narratif que les VRP de Big Pharma, genre Olivier Véran, modifient au fil du temps pour en arriver, aujourd’hui, à une communication qui reconnait qu’en effet cela protège “peu” mais, heureusement, ça protège quand même des formes graves… à condition d’en reprendre une dose tous les trois mois.
Ah, ce doux bruit de caisse enregistreuse…
Dans ces conditions on comprend que, pour une partie conséquente de la population se considérant peu à risque de formes graves, et a fortiori les enfants, ce genre de pseudo-vaccin n’a pas d’utilité. Il aura alors fallu la mise en place d’une véritable oppression, via le pass sanitaire puis le pass vaccinal, pour tenter de maintenir à flot les objectifs de vente de Pfizer & Cie.
Une oppression balayant sur son passage tous les contre-pouvoirs, et servant un agenda politique cherchant à cliver la population française entre le “camp du bien”, représenté par les “élites” et les clients LREM / LR et PS qui se partagent l’abreuvoir de la corruption, et le “camp des sous-citoyens” soi-disant sous bannière des “extrémistes” de gauche comme de droite. Une manipulation électoraliste grossière, mais dans laquelle cette partie de la population sous hypnose collective (3) marche au pas de l’oie.
L’aspect criminel de ce covido-fascisme est clair: obligation vaccinale de fait, sous la menace de relégation sociale ou d’impossibilité de travailler, de se faire soigner ou de voyager. Obligation de fait de se faire administrer une thérapie génique essentiellement inutile dont le risque réel, à long terme, reste inconnu. Ceci va notamment à l’encontre du fameux Code de Nuremberg, établi en 1947 suite aux exactions que l’on sait par les modèles des dirigeants actuels, et qui débute ainsi:
Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir: qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.
https://www.erasme.ulb.ac.be/fr/enseignement-recherche/comite-d-ethique/consensus-ethiques/le-code-de-nuremberg-1947
Cette réalité est démontrée par des études recevables, par exemple cette toute récente publication dans le Lancet, intitulée “Transmission du Sars-CoV-2 au sein d’une population vaccinée”, dont je vous propose cette traduction de l’abstract:
Les études sur l’efficacité des vaccins ont démontré de manière concluante l’avantage des vaccins COVID-19 dans la réduction de la maladie individuelle symptomatique et grave, entraînant une diminution des hospitalisations et des admissions en unité de soins intensifs.
Cependant, l’impact de la vaccination sur la transmissibilité du SARS-CoV-2 doit être élucidé. Une étude de cohorte prospective menée au Royaume-Uni par Anika Singanayagam et ses collègues concernant la transmission communautaire du SARS-CoV-2 chez les personnes vaccinées et non vaccinées fournit des informations importantes qui doivent être prises en compte dans la réévaluation des politiques de vaccination.
Cette étude a montré que l’impact de la vaccination sur la transmission communautaire des variants circulants du SRAS-CoV-2 semble ne pas être significativement différent de l’impact chez les personnes non vaccinées. La justification scientifique de la vaccination obligatoire aux Etats-Unis repose sur le principe que la vaccination empêche la transmission à d’autres personnes, ce qui entraîne une “pandémie de personnes non vaccinées”.
Pourtant, la démonstration d’infections par le COVID-19 chez des travailleurs de la santé (TS) entièrement vaccinés en Israël, qui peuvent à leur tour transmettre cette infection à leurs patients,5 exige une réévaluation des politiques de vaccination obligatoire conduisant au licenciement des TS non vaccinés aux Etats-Unis.
En effet, il existe de plus en plus de preuves que les titres viraux maximaux dans les voies aériennes supérieures des poumons et le virus cultivable sont similaires chez les personnes vaccinées et non vaccinées. Une enquête récente menée par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC, ndt) sur une épidémie de COVID-19 dans une prison du Texas a montré la présence égale du virus infectieux dans le nasopharynx des personnes vaccinées et non vaccinées.
De même, des chercheurs californiens n’ont observé aucune différence majeure entre les personnes vaccinées et non vaccinées en termes de charge virale du SARS-CoV-2 dans le nasopharynx, même chez les personnes présentant une infection asymptomatique avérée.
Ainsi, les données actuelles suggèrent que les politiques actuelles de vaccination obligatoire devraient être reconsidérées et que le statut vaccinal ne devrait pas remplacer les pratiques d’atténuation telles que le port du masque, la distance physique et les enquêtes de recherche des contacts, même au sein des populations hautement vaccinées.
https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(21)00768-4/fulltext?fbclid=IwAR37K-V0q2aXxxo-LnKAMJ8zYHNFA8p2pI1TPrKR2eFPTvG4AT_oGXusKvY
On peut également écouter cette récente vidéo par l’Ogre de Marseille, sur les vaccins face à Omicron:
Nous sommes donc face à une oppression servant un régime de corruption, où un narratif mensonger légitime une politique de ségrégation dont l’inutilité “sanitaire” est patente, mais qui sert des intérêts politiques et commerciaux aux frais de l’ensemble de la société.
Le trou noir des effets secondaires graves.
L’affaire Ventavia, du nom de ce sous-traitant de l’étude Pfizer dont une responsable a dénoncé certains manquements graves (5), fait partie des nombreux indices d’un problème que l’industrie pharmaceutique et ses bénéficiaires (régimes politiques, institutions de “santé” et médias) cherche à tout prix à cacher.
On y ajoutera les démissions inattendues au sein de la FDA, l’agence US qui autorise les médicaments, de la part de cadres qui savent, sans doute, que la fraude est avérée et qu’il faut quitter le navire tant qu’il est encore temps (6). On aura aussi noté la grande résistance de la FDA à publier, malgré une obligation judiciaire, les documents ayant mené à la décision d’autorisation de mise sur le marché du vaccin Pfizer (7).
Sur le terrain, et notamment sur le terrain de sport, on ne compte plus les athlètes souffrant d’essoufflement anormal pendant des semaines suite à la vaccination, et les vidéos d’effondrements souvent mortels font le tour du web. Dans quelle mesure ces cas sont-ils en lien causal avec la vaccination, that is the question mais prétendre d’office, comme le font les vaccinolâtres, qu’il n’y a pas de lien, n’est bien sûr pas crédible.
Ce blog a déjà examiné une cause possible de ces effets cardiaques: l’injection vaccinale passant par le sang (8). La majorité des pays ne pratiquent pas la méthode de l’aspiration (on aspire dans la seringue afin de s’assurer de ne pas être dans une veine, avant d’injecter). Le Danemark, qui impose désormais cette méthode, a fortement réduit ses taux de myocardites en comparaison avec les pays comparables qui ne le font pas. Pourquoi ne le font-ils pas, mystère.
L’évaluation du phénomène des effets secondaires graves dépend de la remontée d’information via les systèmes de pharmacovigilance. Il est connu que seulement une partie de ces informations remontent, et dans le cas du Covid il est clair que la pression en faveur du tout-vaccin fait que la majorité des “soignants” qui injectent, préfèrent ne pas déclarer d’effets secondaires indésirables afin de ne pas devenir la cible de l’ARS ou de l’ordre des médecins.
Un bénéfice-risque vaccinal négatif!
La base de pharmacovigilance américaine VAERS est la plus suivie vu le nombre massif d’injections, et l’intégration des enfants dans le plan vaccinal dès l’âge de cinq ans. Une étude portant sur l’analyse du VAERS et de données européennes est actuellement publiée sur le site de pre-print Researchgate. Intitulée “Risque de mortalité par vaccination Covid, par groupe d’âge”, en voici la traduction de l’abstract (merci Deepl):
Des estimations précises des taux d’événements indésirables graves et de décès induits par le vaccin COVID sont essentielles pour les analyses du rapport risques-avantages de la vaccination et des rappels contre le coronavirus SARS-CoV-2 dans différents groupes d’âge. Cependant, les études de surveillance existantes ne sont pas conçues pour estimer de manière fiable les taux d’événements potentiellement mortels ou de décès induits par le vaccin (VFR, pour vaccine-induced fatality rate, ndt).
Dans cette étude, la variation régionale des taux de vaccination a été utilisée pour prédire la mortalité toutes causes confondues et les décès non liés à la vaccination au cours de périodes ultérieures en utilisant deux ensembles de données indépendants et accessibles au public provenant des États-Unis et d’Europe (résolutions au niveau du mois et de la semaine, respectivement).
La vaccination présente une corrélation négative avec la mortalité 6 à 20 semaines après l’injection, tandis que la vaccination permet de prédire la mortalité toutes causes confondues 0 à 5 semaines après l’injection dans presque tous les groupes d’âge et selon un schéma temporel lié à l’âge qui correspond au déploiement du vaccin aux États-Unis. Les résultats des pentes de régression ajustées (p<0,05 FDR corrigé) suggèrent un VFR moyen national américain de 0,04 % et un VFR plus élevé avec l’âge (VFR=0,004 % chez les 0-17 ans augmentant à 0,06 % chez les >75 ans), et 146K à 187K décès américains associés à la vaccination entre février et août 2021.
Notamment, la vaccination des adultes a augmenté la mortalité ultérieure des jeunes non vaccinés (<18 ans, États-Unis ; <15 ans, Europe). La comparaison de notre estimation avec le VFR rapporté par les CDC (0,002%) suggère que les décès VAERS sont sous-déclarés par un facteur de 20, ce qui est cohérent avec le biais de sous-évaluation VAERS connu.
La comparaison de nos VFR stratifiés par âge avec les taux de létalité des infections à coronavirus (IFR) stratifiés par âge publiés suggère que les risques des vaccins COVID et des rappels l’emportent sur les avantages chez les enfants, les jeunes adultes et les adultes plus âgés présentant un faible risque professionnel ou une exposition antérieure au coronavirus. Nous discutons des implications pour les politiques de santé publique liées aux rappels, aux obligations vaccinales des écoles et des lieux de travail, et de l’urgente nécessité d’identifier, de développer et de diffuser des diagnostics et des traitements pour les lésions vaccinales qui affectent la vie.
https://www.researchgate.net/publication/355581860_COVID_vaccination_and_age-stratified_all-cause_mortality_risk
La nécessité d’un procès des criminels vaccinolâtres.
Il était évident, dès le départ, qu’attribuer un bénéfice-risque positif à une vaccination de gens peu à risques, c’est-à-dire 80% de la population en Europe, un peu plus aux USA du fait d’un style de vie source de comorbidités type diabète / obésité, sans connaître les effets à moyen et long terme de ces vaccins, relève de la propagande, de la publicité mensongère au seul profit de Big Pharma et de ses bénéficiaires. Une propagande criminelle, du même ordre que celle des cigarettiers faisant la promo de la clope au son de “c’est bon et sans danger”.
Ce rapport bénéfice-risque, pour les gens non à risques, est donc négatif, ce qui n’est que logique. Si, encore, il s’agissait d’un vrai vaccin empêchant la contamination / transmission on pourrait relever le seuil d’acceptabilité du risque, mais ce n’est même pas le cas.
Au vu de tout ceci j’espère qu’un jour les avocats, ceux et celles qui aujourd’hui s’indigent et combattent la dictature sanitaire, auront les moyens de faire juger et incarcérer tous ces criminels qui abusent de leurs pouvoirs politiques et administratifs, imposent un risque inacceptable aux populations, et se gavent sur le dos des finances publiques.
Sources et liens:
(1) https://reporterre.net/La-macronie-royaume-des-conflits-d-interets
(2) https://zerhubarbeblog.net/2021/08/31/le-pass-de-deux-du-conseil-scientifique/
(3) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/06/du-covid-a-la-formation-psychotique-des-masses/
(7) https://www.lebigdata.fr/covid-19-donnes-pfizer-fda
(8) https://zerhubarbeblog.net/2021/12/20/thromboses-et-myocardites-une-aspiration-vaccinale/
Comme en Angleterre et malgré le tropisme pro-pass de Nicola Sturgeon, affinité européenne oblige, l’Ecosse annonce aussi la fin de la plupart des restrictions dites sanitaires.
https://www.theguardian.com/world/2022/jan/18/nicola-sturgeon-announces-lifting-of-omicron-restrictions-in-scotland
Gérard Larcher veut une commission de contrôle du pass vaccinal… Un début de réalisation que le grand n’importe quoi totalitaire pourrait mal tourner pour lui? https://www.francesoir.fr/politique-france/gerard-larcher-controler-passe-vaccinal
Immunité naturelle face à la vax ARNm. https://ijr.com/cdc-study-natural-immunity-significantly-protection-covid/
Professeur Didier Raoult : « Les pays qui refusent l’hydroxychloroquine ont la mortalité la plus élevée »
https://www.entreprendre.fr/professeur-didier-raoult-les-pays-qui-refusent-lhydroxychloroquine-ont-la-mortalite-la-plus-elevee/?fbclid=IwAR2CF_R15ofpmw9CpvhsT56D3eOm9rkWA7ULzrfzJKCWke21bPisurYvkF4
Qui disait “La vérité c’ est le complotisme plus six mois” ? Je ne sais plus mais ça se vérifie tous les jours…. Malheureusement à en juger par ce que je vois autour de moi la “Vérité Officielle” reste la vérité pour 80 % des gens…
Kierzek, une voix saine face au délire des ségrégationnistes. https://youtu.be/DkKUrZtNlps
Face au délire covido-fasciste souhaitant instaurer une différenciation de soin entre “bons citoyens” et “sous-citoyens pas sympa avec Macron”, ce billet conséquent par Laurent Thines, professeur des universités et praticien hospitalier en neurochirurgie au CHRU de Besançon. https://blogs.mediapart.fr/laurent-thines/blog/210122/l-ethique-medicale-malade-du-covid-19-vers-une-banalisation-du-mal?fbclid=IwAR0-08_PpKoRXFeOzqRVzsL-JyWc8pQwI-Be5Ky2XdBUFOGaOHHSe6yZpWI
La sagesse populaire reconnaît qu’en matière d’entourloupes et de crapuleries, « plus c’est gros plus ça passe ». La crise pseudo-sanitaire valide cet adage d’une manière à la fois hautement pédagogique et désolante. Alors que le « narratif » officiel continue de se craqueler au point de ressembler à un vieux plat en porcelaine ébréché et fendu, les « autorités » et la « presse » continuent d’enfoncer avec l’énergie du désespoir le clou d’une doxa proprement délirante.
https://www.covidhub.ch/une-epidemie-de-mensonges-ou-les-informations-bidon-du-covid/
En France, la République est-elle prisonnière de Mc Kinsey, comme l’Etat l’a été en Afrique du Sud, selon la Commission Zondo, sous la présidence de Jabob Zuma ? Nous ne pensions pas qu’une grande démocratie comme la nôtre pouvait se retrouver dans la même situation qu’un Etat corrompu d’Afrique. Et pourtant, la force de Mc Kinsey est de savoir exploiter la faiblesse des élites locales. Et sous Macron, le cabinet américain est servi.
Il ne fait même qu’une bouchée de notre pays soudain rendu si petit par Emmanuel Macron et la clique qui l’entoure.
https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/01/24/en-france-la-republique-est-elle-prisonniere-de-mc-kinsey/
La question des effets secondaires négligée dans le débat sur la vaccination obligatoire, malgré des synthèses scientifiques et citoyennes portées à la connaissance du public !
https://www.kairospresse.be/la-question-des-effets-secondaires-negligee-dans-le-debat-sur-la-vaccination-obligatoire-malgre-des-syntheses-scientifiques-et-citoyennes-portees-a-la-connaissance-du-public/?fbclid=IwAR2LAueukOHVm1F5eAcmPxb2i2n9BZzxZC415LVpQKXRQ9o87Og5EG3KJrw
On Thursday 13th January 2022, at a hearing in the High Court[1] in London, evidence was presented showing a significant increase in the number of young male deaths following roll out of the Covid-19 vaccinations compared with the prior five-year average between 2015 and 2019. It is important to look at male deaths separately, given what is known about higher risks from myocarditis in young males.
Between 1st May to 24th December 2021 there were
402 registered deaths in 15–19-year-old males, 65 more than the 337 five-year average;
by contrast, 163 registered deaths in females, 12 less than the 175 five-year average; and
combining those, 565 deaths of males and females registered in total, 53 more than expected.
The Office for National Statistics has accepted that the increase in young male deaths is a statistically significant increase, with the mortality rate falling outside the expected confidence intervals from earlier years’ data.
https://www.hartgroup.org/open-letter-to-the-mhra-regarding-child-death-data/
Mais, c’est énorme, ça! Enfin, nous savons bien que ce “vaccin”, quoi qu’en disent les vaccinolâtres, est en fait une thérapie génique, donc un médicament, donc normalement hors de portée de toute obligation générale, mais quand c’est Delfraissy qui le dit, il se passe quoi ensuite?
“Il le dit lui-même, il ne devrait “pas dire ça”. Le vaccin contre le Covid “est une forme de vaccin-médicament”, a reconnu le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy, invité de franceinfo, mardi 25 janvier. “Il est comme les autres vaccins par certains côtés. C’est un vaccin, mais qui a un peu une forme de vaccin-médicament, puisqu’en fait, il protège contre les formes sévères et les formes graves.” “Ça, on ne l’a pas suffisamment dit”, a ajouté le professeur, spécialisé en immunologie.”
https://www.tf1info.fr/sante/covid-19-omicron-pandemie-le-vaccin-est-une-forme-de-medicament-reconnait-jean-francois-delfraissy-president-du-conseil-scientifique-2208136.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1643112966#xtor=CS5-113
Essais cliniques Pfizer : “le gouvernement n’a pas respecté le principe de précaution” – tableau de bord de Christine Cotton
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/essais-cliniques-pfizer-le-tableau-de-bord-de-christine-cotton
L’écrivain Mehdi Belhaj Kacem dézingue la corruption des institutions de santé.
LETTRE OUVERTE — Chères et chers membres de l’Académie Nationale de Médecine,
Votre réputation n’est plus à faire. C’est vous qui avez, il y a déjà plus d’un an, prescrit à la population de remettre son masque entre deux bouchées pendant les repas, ou de ne pas parler dans les transports en commun, derrière les mêmes masques, pour limiter la transmission du virus, et autres conseils frappés au sceau du bon sens et de la rationalité. Comme le dit un comique génial, récemment censuré sur YouTube, Sébastien Recchia : « Si ces gens sont médecins, moi, je suis spécialiste en fission nucléaire ».
Je ne doute pas une seconde que des expressions comme “conflits d’intérêt” ou “compte en banque offshore” soient totalement absentes de votre vocabulaire, et donc que vous soyez, déontologiquement, au-dessus de tout soupçon.
C’est donc en vertu de votre réputation, de votre compétence et de votre intégrité inattaquables que vous vous êtes fendus, tout récemment, d’un communiqué à l’adresse du personnel enseignant français, en particulier des directrices et directeurs d’école, intitulé sobrement : “Vaccination des enfants de 5-11 ans : ne plus hésiter”.
Le menteur compulsif qui nous tient lieu de ministre de la Santé a commencé à prêcher publiquement en ce sens : ça sent, comme on dit, le tir croisé. Pour vous appuyer dans vos louables efforts, vous pouvez d’ores et déjà compter sur le médecin et haut franc-maçon Gilbert Deray (dont le nom évoque étrangement Gilles de Rais…), l’un des plus visibles sur les plateaux télévisés, et aussi l’un des mieux payés par l’industrie pharmaceutique en France ; sa spécialité étant la néphrologie, on peut dire que le fait de quitter gaillardement son domaine de compétence est, dans le monde où nous vivons, un sport très à la mode.
Le plus grand penseur politique des cinquante dernières années, Guy Debord, qualifiait ce monde de “société du spectacle”, et disait qu’on y assistait à “la fin carnavalesque de la division du travail”.
“Un financier va chanter, un avocat va se faire indicateur de police, un boulanger va exposer ses préférences littéraires, un acteur va gouverner, un cuisinier va philosopher sur les moments de cuisson comme jalons dans l’histoire universelle. Chacun peut surgir dans le spectacle afin de s’adonner publiquement, ou parfois pour s’être livré secrètement, à une activité complètement autre que la spécialité par laquelle il s’était d’abord fait connaître.”
Au plus haut niveau, par exemple, on intronisera président de l’OMS (Organisation Mondiale du Sadisme) quelqu’un qui n’a jamais fait d’études de médecine, mais est plutôt connu, dans son pays, comme assassin, tortionnaire et dissimulateur d’épidémies de choléra.
Le principal bâilleur de fonds de la même Organisation, qui dirige nos vies depuis deux ans, un informaticien médiocre, mais multimilliardaire eugéniste, qui n’a jamais étudié la médecine non plus, sera baptisé “médecin du monde” par la chaîne télévisée qu’il finance tout aussi bien.
Enfin, un neurologue mythomane va vacciner de ses propres mains des femmes enceintes. Vous avez donc de qui tenir, vous qui n’êtes que les sous-fifres de ces gens-là.
Vous n’aurez jamais fait état, dans vos communiqués, des effets traumatisants et débilitants que deux années du port du masque auront provoqué sur nos enfants, diminuant considérablement leur taux d’oxygénation, et les mutilant d’une gamme presque infinie de capacités cognitives, ainsi que de leurs capacités de concentration.
Pire, vous aurez avalisé les mesures qui ont déterminé cet état de fait, et donc collaboré activement à la martyrisation de toute une génération de têtes blondes. Vous aurez parrainé ce tournant civilisationnel majeur, qui consiste à rendre des enfants responsables de leurs parents et grands-parents (“si tu ne fais pas ce qu’on te dit, tu mets en danger la vie de papi et mami”), lors même que, dans toutes les innombrables cultures anthropologiques connues à ce jour, c’était le contraire qui était censé fonctionner, et les parents et grands-parents être responsables de leurs enfants et petits-enfants.
J’avoue appartenir à cette vieille école, comme en témoigne la présente lettre, de façon sans doute déplorable à vos yeux “progressistes”.
Je suis un citoyen français, écrivain et philosophe, et père d’un merveilleux enfant de six ans. J’ai fait de très nombreuses interventions publiques depuis un an pour défendre l’avenir de ce dernier, et c’est donc plus que jamais à ce titre que je m’adresse à vous.
Soit dit en passant : par mon métier, j’ai l’amour de la belle langue, et la mère de mon fils est professeure d’italien, à ses heures poétesse. Je trouve que la moindre des choses, quand on rédige des communiqués prenant une responsabilité si grave concernant la vie de nos enfants, c’est tout de même d’écrire un français correct. Or, à vous lire, la chose laisse largement à désirer, comme j’en donnerai quelques exemples croquignolets.
Je commence par la fin de votre communiqué, car là s’y trouve l’essentiel, à savoir vos consignes au corps enseignant pour populariser la “vaccination” de masse de nos lardons. De toute façon, peu importe l’endroit par lequel on prend votre lettre : celle-ci consiste en un frichti psychédélique d’aberrations sémantiques, une insulte à chaque ligne de la rationalité discursive, un copier-coller aléatoire d’inconsistances logiques.
« Afin de prévenir les risques individuels et collectifs liés à l’imprévisible évolution de la pandémie, les Académies recommandent de hâter la vaccination des enfants âgés de 5 à 11 ans contre la Covid-19… » C’est une sorte d’oxymore modal, comme il en abonde tant depuis deux ans de délire “sanitaire” à crâne ouvert : si l’évolution de cette “pandémie” est imprévisible, comment faites-vous pour la “prévenir” ?
Toujours la “fin carnavalesque” de la division du travail : nous attendions des médecins, et nous avons en fait affaire à des diseuses de bonne aventure. Il faut “prévenir” une “pandémie” qui, de l’avis de nombreux spécialistes, est en train de s’éteindre partout. Au-delà des spécialistes, c’est l’écrasante majorité des gouvernements qui le pense, des pays de l’Est à l’Angleterre et à l’Espagne, des pays scandinaves à (au-delà de l’Europe) Israël, le pays le plus “vaccinoleptique” du monde : partout, les dictatoriales “mesures sanitaires” ont été levées, passe “sanitaire” ou “vaccinal” compris.
Les quelques pays qui font un baroud d’honneur (c’est-à-dire de déshonneur) en ce sens, se comptent en Europe sur le doigt d’une main : France, Italie, Allemagne, Autriche et Belgique.
Pourquoi donc, attendu ce tableau d’ensemble, se “hâter”, toutes affaires cessantes, de “vacciner” des enfants qui ont un taux de survie de 99,998 % à ce virus ?
Voici vos arguments : le variant Omicron atteint bien davantage les enfants que les autres (variants), même si ses symptômes sont ceux d’un simple rhume. Pourquoi donc, depuis que la vaccination existe, n’a-t-on donc pas vacciné les enfants contre le rhume ? Pourquoi la chose devient-elle tout à coup si urgente, et même frénétiquement nécessaire ? Mystère et boule de gomme.
Vous surenchérissez ensuite dans “l’art” de l’antiphrase : « Le bénéfice individuel doit être clairement expliqué aux parents : c’est un bénéfice direct incontestable par l’induction d’une immunité qui sera plus forte que celle induite par l’infection seule, ou qui la renforcera, et protègera les enfants en réduisant le risque de formes graves lié à de nouveaux variants, à court et moyen termes. »
Si la “vaccination” induit une immunité plus forte que celle garantie par l’infection seule, comment pouvez-vous savoir que celle-ci ressortira renforcée par l’injection ? Cette phrase est, encore une fois, une insulte à la logique modale la plus élémentaire. Puis, vous reprenez du service divinatoire : il y aura, c’est certain, de nouveaux variants, et la “vaccination”, qui n’a pas protégé les adultes et adolescents des variants surgis après les injections, y parviendra pourtant avec nos enfants, par on ne sait quel miracle performatif.
Bien plus : les meilleurs spécialistes du monde ont établi que lesdits nouveaux variants provenaient directement de la frénésie “vaccinale”. L’antiphrase est donc encore plus spectaculaire que sa simple forme signifiante immédiatement intelligible : vous conseillez, pour combattre les éventuels futurs variants, d’exercer la pratique même qui les provoque.
Vous devriez donc, à mon humble avis, retirer cette lettre de votre site, et vous adresser plutôt au personnel enseignant au titre suivant : vous réapprendre à vous exprimer dans un français correct, au sens de Boileau : “ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement”.
À l’inverse, et comme vous le démontrez à chaque ligne, quand on a vocation à justifier l’injustifiable, à argumenter l’intenable, ou à être un vulgaire camelot, on s’enlise dans un marécage sémantique putride, où se noient toutes les règles élémentaires de ce qu’un illustre collègue, Ludwig Wittgenstein, appelait la “grammaire logique”.
Vous n’en continuez pas moins sur cette prometteuse lancée, en nous disant “vouloir atteindre le plus rapidement possible une bonne couverture vaccinale”. Il est merveilleux de constater qu’un mot relevant plus du business model que de la santé, « couverture vaccinale », a remplacé le bon vieux mot qui désignait le bénéfice qui était attendu, naguère encore, d’un vaccin, à savoir l’immunité.
Car ces vaccins n’empêchent ni la transmission ni l’infection (comme il est de notoriété officielle, et comme chacun a pu les constater dans son entourage), et le Covid-19 ne menace pas les enfants. Pourquoi voudrait-on les « couvrir », si ce n’est pour écouler des marchandises achetées en excès démentiel avec nos impôts, et qu’on ne pourra bientôt plus administrer à des adultes, excédés par la multiplication de « doses de rappel » d’un produit qui n’a si manifestement servi jusqu’ici à rien ? Ce sont les pays les plus vaccinés, comme Israël, Gibraltar ou… la France, qui ont enregistré les plus hauts taux de contamination, les plus grands nombres d’hospitalisations, ainsi que les pics de mortalité les plus verticaux. “On ne change pas une équipe qui perd” : telle semble être la devise, depuis deux ans, de nos plus hautes autorités “sanitaires”.
Mais si, mais si, nous avancerez-vous en désespoir de cause, le vaccin a une utilité : celle de protéger les personnes à risque, lit-on à tout instant dans la presse oligarchique et subventionnée dont vous vous faites les vertueux relais, à moins que ce ne soit l’inverse. “Protéger les plus fragiles”, nous serine-t-on à longueur de temps pour promouvoir la panacée “vaccinale” universelle, et désormais à nos chères têtes blondes.
Demain, leur demandera-t-on de marcher avec une canne parce que leur grand-père boite ? De porter des lunettes parce que leur tonton est bigleux ? « Tu dois protéger papi et mami, tous deux triples vaccinés, donc censément protégés, en te vaccinant contre une maladie qui ne te concerne pas, et qui n’empêche personne d’être contaminé ou infecté. »
Autant leur dire de marcher sur la tête ; ou, de manière plus “crédible”, à quatre pattes, au prétexte que le virus circule à un mètre de hauteur du sol à peu près.
Vous envisagez ensuite plusieurs moyens « d’augmenter l’offre de vaccination (…) pour les enfants » (toujours le registre lexical du business) :
1° « en diversifiant les personnes autorisées à vacciner les enfants ».
Là, je dois admettre que vous faites preuve d’une certaine générosité. Ce ne seront plus seulement les soignants, médecins ou infirmières, qui profiteront de la manne vaccinale en étant surpayés à vacciner à tour de bras : une infirmière peut se “faire” près de 12 000 euros de plus-value par mois grâce à cette activité, et un médecin s’est publiquement vanté de s’être “fait” plus de 165 000 euros grâce à la “vaccination” depuis plus d’un an.
Mais il est hors de doute que toute cette mobilisation vise à une protection désintéressée de la santé publique. Il semblerait pourtant que cette “mobilisation totale”, comme le disait l’écrivain Ernest Jünger, ne suffise pas. À suivre votre “logique” jusqu’au bout, on pourrait convoquer à la rescousse les vétérinaires, les mécaniciens, les bouchers, les coiffeurs.
À ce compte, le plus simple est encore, bien sûr, de demander au personnel enseignant lui-même d’apprendre à jouer de la seringue, sans prendre les balourds détours phraséologiques de votre lettre.
Dans la foulée, pourquoi ne pas aussi rééduquer vos collègues de l’Ordre des médecins, en leur administrant la piqûre de rappel sémantique suivante, totalement oubliée par eux depuis deux ans : que le but premier d’un médecin, c’est tout de même de soigner, non de sommer les malades de rester chez eux en prenant du Doliprane, ou de faire la promotion de potions chimiques expérimentales.
2° « en allégeant les obstacles administratifs qui limitent l’accès des enfants à la vaccination ». Ach ! La lourdeur administrative ! Quelle entrave à l’efficacité ! Car oui, sans toutes ces lois, ces codes civils, ces codes de Nuremberg ou d’Helsinki, ces conventions d’Oviedo, ces déclarations des droits de l’homme, tout serait tellement plus simple. On organiserait une sortie scolaire au vaccinodrome de Skyrock, et hop ! La fête à la piquouze pour tous les enfants, avec confiseries et joujous gratuits à la clé. Il est même permis d’interpréter cette phrase faussement anodine en un sens politiquement plus radical : ces enfants, pour lesquels la notion de « consentement libre et éclairé » n’a pas de sens, doivent aussi bien être soustraits au consentement de leurs parents.
L’État sait mieux que ces abusifs géniteurs ce qui est bon pour leurs rejetons. Les Académies, comme la vôtre, qui pourvoient les conseils appuyant ces États bienveillants, et qui ont donné tant de preuves de leur rationalisme, de leur intégrité et de leur efficacité depuis deux ans, ne font qu’appuyer ce changement de paradigme civilisationnel, à côté de quoi les plus délirantes mesures prises par les pires régimes totalitaires du vingtième siècle sont de la petite bière. Nos remuants moutards doivent être matés sans ménagement, en étant de plus en plus soustraits à l’autorité de leurs parents, et livrés pieds et poings liés à la gestion des États, des Académies et des Multinationales bienfaisants.
3° « en favorisant les prises de rendez-vous de vaccination pour les enfants scolarisés ». Cela veut dire, par exemple, en les convoquant chez la directrice, où les attendrait l’institutrice ou la dame de la cantine une seringue à la main ? Vous parlez plus loin d’”équipes mobiles” : pourquoi ne pas dès lors inventer un nouveau jeu, sur le mode de la chasse à courre, où ce seraient les professeurs de sport qui cavaleraient derrière les enfants rétifs à l’injection-miracle ? Pourquoi ne pas organiser des rodéos vaccinaux, où l’on attraperait nos gosses récalcitrants au lasso ? Comme on disait en mai 68 : “l’imagination au pouvoir”, que diable !
4° « en organisant des séances de vaccination à l’école par des équipes mobiles, en concertation avec la médecine scolaire ». Si la médecine scolaire est de la partie, alors, c’est rassurant, et nous pouvons enfin respirer un bon coup (votre lettre a tout de même quelque chose de suffocant). Car la médecine scolaire est censée être correctement informée du caractère encore expérimental de ces thérapies géniques, qui n’ont reçu qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché, suite à des essais cliniques dont il a été démontré (le “Pfizergate”) qu’ils ont été truqués.
Vous évitez, dans cette lettre d’anthologie, de faire état des plus de 40 000 morts officiellement enregistrés à ce jour dans la seule Europe suite aux injections de masse, comme des plus de 3 000 000 d’effets indésirables, dont la moitié très grave ; mais vous mettez cependant en avant, toujours munis de votre cartomancie, la “rareté des effets indésirables post-vaccinaux” sur nos enfants.
5° « en “allant vers” les enfants porteurs de comorbidités et non vaccinés pour convaincre les parents de la nécessité de les vacciner face au risque de formes graves ». Là encore, votre maniement du français m’est tout à fait opaque. Pourquoi mettre “allant vers” entre guillemets, et en italiques ? Peut-être faites-vous là usage de quelque langage initiatique. Serait-ce trop vous demander que de m’en livrer quelques clés ? Car sinon, prise dans sa littéralité, la phrase est encore une fois une pure aberration sémantique : c’est en se jetant sur les enfants très fragiles que les enseignants vont convaincre les parents ?
Avec vous, il y a décidément besoin d’explication de texte, voire d’exégètes spécialisés… On ne peut en tout cas pas vous reprocher votre manque d’inventivité. Depuis deux ans, la psychose covidiste a installé toute une Novlangue qui foule aux pieds tout ce qui nous tenait lieu jusque-là de rationalité clinique : “porteur asymptomatique”, “comorbidités”, “cas contact”… c’est à chaque ligne que vous enrichissez ce qui constituera un jour le Dictionnaire des idées covidistes, qui aura son Flaubert, ou son Léon Bloy.
6° « en utilisant tous les moyens d’information et de communication dévolus à l’éducation pour la santé afin de convaincre et rassurer les parents hésitants ». Ici, je sais bien que vous demander d’économiser l’usage des périphrases relèverait du vœu pieux, comme de vous conseiller d’aller plus droitement au but : “mettez en place tous les moyens de propagande dont vous disposez, pour convaincre les parents sceptiques d’utiliser sur leurs enfants un produit qui s’est déjà avéré inefficace, et souvent dangereux, sur eux-mêmes”. Ici, vous êtes en parfaite affinité avec la stratégie communicationnelle de notre président, qui a pourvu les médias grand public de trois milliards d’euros depuis son investiture ; argent qu’il eût été malvenu d’utiliser pour construire des hôpitaux, ou pourvoir de nouveaux lits ceux qui existent déjà. Le même a payé presque aussi grassement, pour la gestion de la prétendue “crise”, un cabinet d’affaires connu pour sa responsabilité dans la mort de plus de 500 000 américains.
7° « Les bénéfices collectifs de la vaccination des enfants doivent aussi être rappelés dans plusieurs domaines (scolaire, familial, état psychique, social, …), ainsi que le renforcement de l’immunité collective, nécessaire pour réduire la propagation des virus et limiter la possible émergence de nouveaux variants. » Cette phrase synthétise à merveille tout votre sérieux. Car, comme l’écrasante majorité d’entre vous se tient dans un confortable anonymat, il est impossible de vous demander publiquement quels sont vos domaines exacts de compétence. Cette phrase vous trahit, et nous les fait deviner en un éclair : vous êtes en vérité toutes et tous dentistes, au sens moyenâgeux du terme, tel notre ministre de la Santé, qui a quitté depuis deux ans sa spécialité neurologiste pour l’extraction de gencives signifiantes.
Car nous les avons vus, en deux ans, les “bénéfices” incommensurables du type d’instructions que vous nous avez délivrées sans compter : sur le plan “scolaire”, un sabotage presque total de l’éducation de nos enfants ; sur le plan “familial”, une sorte d’instauration de la guerre civile domestique (par exemple, “booster” les taux de divorce en statufiant sur le fait que l’autorisation d’un seul des parents est suffisante pour faire de l’enfant un cobaye) ; sur le pan de “l’état psychique”, une exponentiation vertigineuse des troubles psychiatriques, dépressifs et suicidaires chez nos adolescents et chez nos enfants ; sur le plan social, une aimable atmosphère de délation, de persécution et de pulsions génocidaires à l’encontre des non-vaccinés, qui rappellent les heures les plus glorieuses de notre longue histoire.
8° Je finis par mentionner ce qui constitue peut-être la perle de votre prosopopée informe, et qui prend une forme tout anodine, entre parenthèses : “La rareté des effets indésirables post-vaccinaux doit être mise en balance avec l’existence de formes sévères (PIMS, myocardite, Covid long) dont la fréquence risque d’augmenter avec la recrudescence des cas symptomatiques actuellement observés chez l’enfant.” Passe encore que vous vouliez faire accroire que c’est le virus lui-même qui provoque chez des enfants en bonne santé des PIMS et des Covids longs. Mais la myocardite ? Toute personne correctement informée sait que c’est avec la “vaccination” de masse qu’a commencé la flambée de myocardites (et de péricardites) chez d’innombrables jeunes gens et adolescents en parfaite santé. Et donc vous couronnez votre lamentable laïus par un mensonge patenté où, comme très souvent depuis deux ans, on inverse la relation de cause à effet (le sociologue Baudrillard parlait de façon prémonitoire de “précession des effets sur les causes”).
Je serais donc vous, je prévoirais de plaider, à l’avenir, la débilité mentale précoce, plutôt que de vous voir acculés à avouer le mensonge délibéré ; car il est impossible d’ignorer cet effet secondaire massif auprès de nos jeunes gens et adolescents. Promouvoir cette injection en pleine connaissance de connaissance sera donc, quand viendra l’heure des comptes, considéré comme sciemment criminel. La plaidoirie de la déficience intellectuelle aggravée, à laquelle votre prose invertébrée fournit de très solides arguments, est la seule à pouvoir vous tirer d’affaire. Prenez donc les devants, dès maintenant, et présentez sans plus attendre, dans votre future lettre publique, vos excuses à la population, pour deux années de mensonges patentés, et à jets continus.
Je finis cette lettre sur un appel d’offres public : j’aimerais savoir qui se cache, depuis deux ans, derrière tous ces entérinements “scientifiques” des mesures gouvernementales. Comme je l’ai dit plus haut, l’écrasante majorité d’entre vous se terre dans le plus confortable anonymat. Même les médecins de plateaux télévisés sont, à ce titre, plus loyaux que vous. Or, le jour où une démocratie digne de ce nom aura recommencé à exister en France, vous aurez, comme tous les complices de la mascarade quasi-littérale que nous subissons depuis deux ans, à répondre de vos prises de position en matière de santé publique : et ce, non seulement sur le plan de la médecine physique et mentale, mais aussi sur le plan politique, économique, social.
Voilà, je vous laisse sur ces menues considérations. Veuillez en tout cas ne surtout pas recevoir, en aucune façon, l’expression de mes salutations distinguées, ni celle de ma sympathie, pas plus que de mes cordialités.
Possible toxicité des vaccins ARNm: enquête auprès de thanatopracteurs.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/toxicite-des-vaccins-arn-contre-la-covid-19-investigation-thanatopracteurs
Vu dans le Berliner Zeitung: un groupe de scientifiques allemands demande à BioNtech (partenaire de Pfizer dans la fabrication du vaccin-médicament surtout efficace en matière de pognon) des informations sur la constitution de ce produit. Sans grand succès.
Voici un extrait de leur demande auprès des autorités de santé:
“Cependant, nous avons de sérieuses inquiétudes quant à la qualité et à la sécurité du nouveau vaccin Comirnaty de BioNTech. Secouer le médicament après la dilution prescrite est déjà déconseillé et une facilité d’utilisation après dilution d’un maximum de six heures est donnée. À notre avis, cela indique une formulation mal développée du médicament. Les médecins nous ont dit que l’aspiration, qui reflète l’endroit où l’injection se produit dans le corps (veine, lymphatique, tissu adipeux), était déconseillée.
Nous avons envoyé deux lettres à BioNTech avec des questions qui, en tant que chimistes, nous paraissent évidentes. Les deux lettres n’ont pas reçu de réponse directe, nous n’avons trouvé qu’une courte réponse à la première lettre dans le Berliner Zeitung, ce qui, cependant, a encore accru notre inquiétude. Par contre, nous avons reçu de nombreux messages de personnes signalant des effets secondaires importants de la vaccination.
Étant donné que vous, en tant qu’autorité de contrôle, avez à nouveau accordé une approbation conditionnelle au vaccin Corona de BioNTech, nous souhaitons vous informer de notre très grande inquiétude quant au fait que ce nouveau type de vaccin ne soit PAS bénéfique pour la santé de la population en Allemagne. Ceci s’applique d’autant plus dans le cas où une obligation limitée ou générale de vaccination est mise en œuvre en Allemagne.”
Ach! Moi, quand je lis des scientifiques allemands parfaitement mainstream dire que “nous souhaitons vous informer de notre très grande inquiétude quant au fait que ce nouveau type de vaccin ne soit PAS bénéfique pour la santé de la population en Allemagne”, je me dis que, peut-être, tous les signaux d’avertissement que les infâmes complotistes d’extrême-droite antivax terre-platistes et antisémites dans mon genre relayons depuis plus d’un an (en plus du reste), finiront par trouver un relai, certes trop tard, auprès des médias grand public.
Je note également la remarque sur l’aspiration, qui est déconseillée. L’aspiration consiste à vérifier, lors de la piqûre, que l’on n’est pas dans une veine, en aspirant légèrement avant injection. Si du sang apparaît, la procédure normale serait de piquer ailleurs car un produit intramusculaire ne doit pas aller directement dans le sang.
Le Danemark est, à ma connaissance, le seul pays à avoir fait le lien entre injections dans le sang et myocardites, et dans ce pays l’aspiration est apparemment devenue obligatoire.
Pourquoi n’est-ce pas le cas ailleurs, vaste mystère qu’il faudra bien un jour éclaircir car la causalité est assez évidente: l’ARN messager injecté oblige les cellules à créer de la protéine Spike, un véritable poison, afin d’activer le système immunitaire qui vient ensuite détruire cette protéine.
Sauf que si ceci se passe directement dans le sang, c’est au niveau des organes vitaux, notamment le cœur, que se déroule l’opération, et la présence de Spike dans le cœur ou les organes est un vrai danger (lien en commentaire).
De là à rêver à l’ouverture d’enquêtes officielles sur la réalité de ce qui se cache sous l’incroyable propagande que les “autorités” déroulent à l’encontre des populations, et au prix d’un siphonnage en règle des fonds publics, il n’y a qu’un pas que la secte covido-fasciste va évidemment tout faire pour ne pas franchir.
https://www.berliner-zeitung.de/gesundheit-oekologie/qualitaet-des-impfstoffs-chemiker-stellen-fragen-an-das-paul-ehrlich-institut-li.212298?fbclid=IwAR1J2LRJDpby40Ssu-LezNM_aCny3oY4uzxAfPVyozYM6q4AIBIhSrOlxCI
votre blog est la pure vérité qui se passe sous l’iceberg caché à échelle planétaire. Bravo !! enfin un blog qui ne fais pas des coller copier par rapport à d’autres sur le principe du “gober les mouches les moutons continuer d’être un mouton docile”…