Les abus criminels de la vaccination Covid.

John Nichols, journaliste américain reconnu travaillant notamment pour The Nation, auteur de plusieurs livres sur les médias et la démocratie, vient de publier un ouvrage intitulé Coronavirus Criminals and Pandemic Profiteers, directement traduisible en “Criminels du Coronavirus et profiteurs de la pandémie”. Il y décrit comment les cercles proches du pouvoir US, au début sous Donald Trump puis sous Joe Biden, ainsi que les grands prédateurs comme Amazon et Pfizer, se sont goinfrés sur le dos de l’Etat et ont participé à une gestion contre-productive de la pandémie aux USA. Mauvaise gestion dont il estime le coût en vies autour de 300 000 morts “inutiles”, soit de l’ordre de 40% du total à ce jour.

On peut retrouver John Nichols interviewé sur Democracy Now! ici, mais laissons de côté les aspects spécifiques à la politique intérieure US. Nous sommes tous confrontés à la même problématique des grandes entreprises, et de leurs alliés au sein des cercles de pouvoir et des administrations, qui profitent massivement d’une situation où les normes habituelles de contrôle sont enterrées sous moult “états d’urgence”, et où le processus démocratique se voit mis de côté au nom de “l’efficience” car, bien sûr, nous sommes en guerre. Et qui dit guerre dit crimes de guerre.

Voyons ici quelques chefs d’inculpation associés à ces crimes de guerre, et à la vaccination Covid en particulier.

Le cas français.

La France, de par son régime présidentiel et son centralisme administratif hautement perméable à la corruption (1), est un exemple quasi caricatural de la manière dont un régime peut utiliser un choc, ici la pandémie, pour se transformer en quasi-dictature au service de ses propres intérêts et de ceux de ses amis / clients / futurs employeurs etc…

L’état d’urgence, éternellement reconductible selon des critères jamais clairement définis, est bien évidemment la première étape. Ensuite, la conduite secrète, ici au sein du “Conseil de défense”, qui permet d’imposer tout et n’importe quoi sans que les raisons réelles menant à ces décisions ne puissent être connues du public.

Une conduite “légitimée” par un “Conseil scientifique” que le régime nomme de lui-même, sans consultation avec le milieu scientifique, et peuplé de gens confits de conflits d’intérêts qui avaliseront à peu près n’importe quelle décision de l’autorité supérieure, même si on y trouve quelques bémols en lisant entre les lignes de leurs rapports (2).

L’exemple McKinsey.

Le parapluie est aussi constitué de cabinets de “conseil”, en l’occurrence le cabinet McKinsey, dont l’un des cadres supérieurs est le propre fils de la plus haute instance légale du pays, le Conseil constitutionnel, dont le boulot théorique est d’éviter les dérives anticonstitutionnelles du régime. On voit bien à quel point c’est raté, et même le journal Libération s’était posé la question mais pour lui, circulez il n’y a rien à voir (3).

Reste que McKinsey est actuellement sur la sellette face à un comité sénatorial chargé d’éclaircir le rôle du cabinet, depuis sa participation à l’élection de Macron jusqu’à la gestion de la politique vaccinale – au profit, pour le coup, de son autre grand client, Pfizer.

Qu’ont-ils fait dans le cadre de la campagne de vaccination, payés des millions chaque mois? A quoi ont servi les 500 000 euros payés par Macron pour organiser un “séminaire de réflexion sur le métier d’enseignant”? A quoi correspondait la prestation, pour 920 000 euros, pour la Caisse nationale d’assurance vieillesse?

Le bla-bla obséquieux et jargonisant servant de réponse aux cadres de McKinsey sort tout droit du manuel du parfait petit consultant. Un vrai sketch:

Vaccination Covid, les questions qui fâchent.

N’étant pas juriste ne ne sais pas ce qui, dans le vaste éventail de la corruption orchestrée en Macronie, relèverait du crime et ce qui relèverait “seulement” du lobbying et du clientélisme “traditionnel”. L’Histoire le dira peut-être un jour, mais ce qui nous concerne surtout dans cet article est le possible aspect criminel de la vaccination Covid elle-même.

Outre les aspects évidents de corruption et de domination du marché, et John Nichols insiste sur la politique de maximisation des profits de Pfizer & Cie menée sans égards aux besoins de toute une partie de la population mondiale n’ayant pas les moyens de payer ses vaccins, se posent au moins deux questions essentielles:

  • La question du décalage entre le discours marketing autour du vaccin et la réalité de terrain en termes d’efficacité, ce qui relèverait de la communication mensongère et mènerait à la mise en œuvre de politiques au final contre-productives pour les populations, mais hautement rentables pour les fabricants et leurs représentants au sein des cercles de pouvoir.
  • La question des effets secondaires, donc de la qualité des études cliniques, de la transparence, et de la réalité sur le terrain en termes de dommages pour la population.

Le mensonge vaccinal originel et son débunking.

Souvenez-vous de ces annonces de fin 2020 / début 2021: pour les quatre vaccins autorisés en Europe, des efficacité de plus de 95% et zéro risque. Par efficacité, pour un vaccin, on entend sa capacité à protéger de la contamination et de la transmission. C’est ce qui fut vendu au public, et c’est le narratif que les VRP de Big Pharma, genre Olivier Véran, modifient au fil du temps pour en arriver, aujourd’hui, à une communication qui reconnait qu’en effet cela protège “peu” mais, heureusement, ça protège quand même des formes graves… à condition d’en reprendre une dose tous les trois mois.

Ah, ce doux bruit de caisse enregistreuse…

Dans ces conditions on comprend que, pour une partie conséquente de la population se considérant peu à risque de formes graves, et a fortiori les enfants, ce genre de pseudo-vaccin n’a pas d’utilité. Il aura alors fallu la mise en place d’une véritable oppression, via le pass sanitaire puis le pass vaccinal, pour tenter de maintenir à flot les objectifs de vente de Pfizer & Cie.

Une oppression balayant sur son passage tous les contre-pouvoirs, et servant un agenda politique cherchant à cliver la population française entre le “camp du bien”, représenté par les “élites” et les clients LREM / LR et PS qui se partagent l’abreuvoir de la corruption, et le “camp des sous-citoyens” soi-disant sous bannière des “extrémistes” de gauche comme de droite. Une manipulation électoraliste grossière, mais dans laquelle cette partie de la population sous hypnose collective (3) marche au pas de l’oie.

L’aspect criminel de ce covido-fascisme est clair: obligation vaccinale de fait, sous la menace de relégation sociale ou d’impossibilité de travailler, de se faire soigner ou de voyager. Obligation de fait de se faire administrer une thérapie génique essentiellement inutile dont le risque réel, à long terme, reste inconnu. Ceci va notamment à l’encontre du fameux Code de Nuremberg, établi en 1947 suite aux exactions que l’on sait par les modèles des dirigeants actuels, et qui débute ainsi:

Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir: qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.

https://www.erasme.ulb.ac.be/fr/enseignement-recherche/comite-d-ethique/consensus-ethiques/le-code-de-nuremberg-1947

Cette réalité est démontrée par des études recevables, par exemple cette toute récente publication dans le Lancet, intitulée “Transmission du Sars-CoV-2 au sein d’une population vaccinée”, dont je vous propose cette traduction de l’abstract:

Les études sur l’efficacité des vaccins ont démontré de manière concluante l’avantage des vaccins COVID-19 dans la réduction de la maladie individuelle symptomatique et grave, entraînant une diminution des hospitalisations et des admissions en unité de soins intensifs.

Cependant, l’impact de la vaccination sur la transmissibilité du SARS-CoV-2 doit être élucidé. Une étude de cohorte prospective menée au Royaume-Uni par Anika Singanayagam et ses collègues concernant la transmission communautaire du SARS-CoV-2 chez les personnes vaccinées et non vaccinées fournit des informations importantes qui doivent être prises en compte dans la réévaluation des politiques de vaccination.

Cette étude a montré que l’impact de la vaccination sur la transmission communautaire des variants circulants du SRAS-CoV-2 semble ne pas être significativement différent de l’impact chez les personnes non vaccinées. La justification scientifique de la vaccination obligatoire aux Etats-Unis repose sur le principe que la vaccination empêche la transmission à d’autres personnes, ce qui entraîne une “pandémie de personnes non vaccinées”.

Pourtant, la démonstration d’infections par le COVID-19 chez des travailleurs de la santé (TS) entièrement vaccinés en Israël, qui peuvent à leur tour transmettre cette infection à leurs patients,5 exige une réévaluation des politiques de vaccination obligatoire conduisant au licenciement des TS non vaccinés aux Etats-Unis.

En effet, il existe de plus en plus de preuves que les titres viraux maximaux dans les voies aériennes supérieures des poumons et le virus cultivable sont similaires chez les personnes vaccinées et non vaccinées. Une enquête récente menée par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC, ndt) sur une épidémie de COVID-19 dans une prison du Texas a montré la présence égale du virus infectieux dans le nasopharynx des personnes vaccinées et non vaccinées.

De même, des chercheurs californiens n’ont observé aucune différence majeure entre les personnes vaccinées et non vaccinées en termes de charge virale du SARS-CoV-2 dans le nasopharynx, même chez les personnes présentant une infection asymptomatique avérée.

Ainsi, les données actuelles suggèrent que les politiques actuelles de vaccination obligatoire devraient être reconsidérées et que le statut vaccinal ne devrait pas remplacer les pratiques d’atténuation telles que le port du masque, la distance physique et les enquêtes de recherche des contacts, même au sein des populations hautement vaccinées.

https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(21)00768-4/fulltext?fbclid=IwAR37K-V0q2aXxxo-LnKAMJ8zYHNFA8p2pI1TPrKR2eFPTvG4AT_oGXusKvY

On peut également écouter cette récente vidéo par l’Ogre de Marseille, sur les vaccins face à Omicron:

Nous sommes donc face à une oppression servant un régime de corruption, où un narratif mensonger légitime une politique de ségrégation dont l’inutilité “sanitaire” est patente, mais qui sert des intérêts politiques et commerciaux aux frais de l’ensemble de la société.

Le trou noir des effets secondaires graves.

L’affaire Ventavia, du nom de ce sous-traitant de l’étude Pfizer dont une responsable a dénoncé certains manquements graves (5), fait partie des nombreux indices d’un problème que l’industrie pharmaceutique et ses bénéficiaires (régimes politiques, institutions de “santé” et médias) cherche à tout prix à cacher.

On y ajoutera les démissions inattendues au sein de la FDA, l’agence US qui autorise les médicaments, de la part de cadres qui savent, sans doute, que la fraude est avérée et qu’il faut quitter le navire tant qu’il est encore temps (6). On aura aussi noté la grande résistance de la FDA à publier, malgré une obligation judiciaire, les documents ayant mené à la décision d’autorisation de mise sur le marché du vaccin Pfizer (7).

Sur le terrain, et notamment sur le terrain de sport, on ne compte plus les athlètes souffrant d’essoufflement anormal pendant des semaines suite à la vaccination, et les vidéos d’effondrements souvent mortels font le tour du web. Dans quelle mesure ces cas sont-ils en lien causal avec la vaccination, that is the question mais prétendre d’office, comme le font les vaccinolâtres, qu’il n’y a pas de lien, n’est bien sûr pas crédible.

Ce blog a déjà examiné une cause possible de ces effets cardiaques: l’injection vaccinale passant par le sang (8). La majorité des pays ne pratiquent pas la méthode de l’aspiration (on aspire dans la seringue afin de s’assurer de ne pas être dans une veine, avant d’injecter). Le Danemark, qui impose désormais cette méthode, a fortement réduit ses taux de myocardites en comparaison avec les pays comparables qui ne le font pas. Pourquoi ne le font-ils pas, mystère.

L’évaluation du phénomène des effets secondaires graves dépend de la remontée d’information via les systèmes de pharmacovigilance. Il est connu que seulement une partie de ces informations remontent, et dans le cas du Covid il est clair que la pression en faveur du tout-vaccin fait que la majorité des “soignants” qui injectent, préfèrent ne pas déclarer d’effets secondaires indésirables afin de ne pas devenir la cible de l’ARS ou de l’ordre des médecins.

Un bénéfice-risque vaccinal négatif!

La base de pharmacovigilance américaine VAERS est la plus suivie vu le nombre massif d’injections, et l’intégration des enfants dans le plan vaccinal dès l’âge de cinq ans. Une étude portant sur l’analyse du VAERS et de données européennes est actuellement publiée sur le site de pre-print Researchgate. Intitulée “Risque de mortalité par vaccination Covid, par groupe d’âge”, en voici la traduction de l’abstract (merci Deepl):

Des estimations précises des taux d’événements indésirables graves et de décès induits par le vaccin COVID sont essentielles pour les analyses du rapport risques-avantages de la vaccination et des rappels contre le coronavirus SARS-CoV-2 dans différents groupes d’âge. Cependant, les études de surveillance existantes ne sont pas conçues pour estimer de manière fiable les taux d’événements potentiellement mortels ou de décès induits par le vaccin (VFR, pour vaccine-induced fatality rate, ndt).

Dans cette étude, la variation régionale des taux de vaccination a été utilisée pour prédire la mortalité toutes causes confondues et les décès non liés à la vaccination au cours de périodes ultérieures en utilisant deux ensembles de données indépendants et accessibles au public provenant des États-Unis et d’Europe (résolutions au niveau du mois et de la semaine, respectivement).

La vaccination présente une corrélation négative avec la mortalité 6 à 20 semaines après l’injection, tandis que la vaccination permet de prédire la mortalité toutes causes confondues 0 à 5 semaines après l’injection dans presque tous les groupes d’âge et selon un schéma temporel lié à l’âge qui correspond au déploiement du vaccin aux États-Unis. Les résultats des pentes de régression ajustées (p<0,05 FDR corrigé) suggèrent un VFR moyen national américain de 0,04 % et un VFR plus élevé avec l’âge (VFR=0,004 % chez les 0-17 ans augmentant à 0,06 % chez les >75 ans), et 146K à 187K décès américains associés à la vaccination entre février et août 2021.

Notamment, la vaccination des adultes a augmenté la mortalité ultérieure des jeunes non vaccinés (<18 ans, États-Unis ; <15 ans, Europe). La comparaison de notre estimation avec le VFR rapporté par les CDC (0,002%) suggère que les décès VAERS sont sous-déclarés par un facteur de 20, ce qui est cohérent avec le biais de sous-évaluation VAERS connu.

La comparaison de nos VFR stratifiés par âge avec les taux de létalité des infections à coronavirus (IFR) stratifiés par âge publiés suggère que les risques des vaccins COVID et des rappels l’emportent sur les avantages chez les enfants, les jeunes adultes et les adultes plus âgés présentant un faible risque professionnel ou une exposition antérieure au coronavirus. Nous discutons des implications pour les politiques de santé publique liées aux rappels, aux obligations vaccinales des écoles et des lieux de travail, et de l’urgente nécessité d’identifier, de développer et de diffuser des diagnostics et des traitements pour les lésions vaccinales qui affectent la vie.

https://www.researchgate.net/publication/355581860_COVID_vaccination_and_age-stratified_all-cause_mortality_risk

La nécessité d’un procès des criminels vaccinolâtres.

Il était évident, dès le départ, qu’attribuer un bénéfice-risque positif à une vaccination de gens peu à risques, c’est-à-dire 80% de la population en Europe, un peu plus aux USA du fait d’un style de vie source de comorbidités type diabète / obésité, sans connaître les effets à moyen et long terme de ces vaccins, relève de la propagande, de la publicité mensongère au seul profit de Big Pharma et de ses bénéficiaires. Une propagande criminelle, du même ordre que celle des cigarettiers faisant la promo de la clope au son de “c’est bon et sans danger”.

Ce rapport bénéfice-risque, pour les gens non à risques, est donc négatif, ce qui n’est que logique. Si, encore, il s’agissait d’un vrai vaccin empêchant la contamination / transmission on pourrait relever le seuil d’acceptabilité du risque, mais ce n’est même pas le cas.

Au vu de tout ceci j’espère qu’un jour les avocats, ceux et celles qui aujourd’hui s’indigent et combattent la dictature sanitaire, auront les moyens de faire juger et incarcérer tous ces criminels qui abusent de leurs pouvoirs politiques et administratifs, imposent un risque inacceptable aux populations, et se gavent sur le dos des finances publiques.

Sources et liens:

(1) https://reporterre.net/La-macronie-royaume-des-conflits-d-interets

(2) https://zerhubarbeblog.net/2021/08/31/le-pass-de-deux-du-conseil-scientifique/

(3) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/06/du-covid-a-la-formation-psychotique-des-masses/

(4) https://www.liberation.fr/checknews/conseil-constitutionnel-et-pass-sanitaire-laurent-fabius-est-il-en-situation-de-conflit-dinterets-a-cause-de-son-fils-chez-mckinsey-20210808_ORZB5IZ3CNBNVPICGOXSHDIA4A/

(5) https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/covid-19-trois-questions-sur-la-mise-en-cause-d-un-sous-traitant-de-pfizer-lors-d-essais_2161700.html

(6) https://www.lefigaro.fr/sciences/vaccins-fronde-interne-et-transition-precipitee-chez-le-regulateur-americain-20210929

(7) https://www.lebigdata.fr/covid-19-donnes-pfizer-fda

(8) https://zerhubarbeblog.net/2021/12/20/thromboses-et-myocardites-une-aspiration-vaccinale/

A propos Vincent Verschoore

Animateur de Ze Rhubarbe Blog depuis 2008.

17 réponses

  1. Hazère-tyuillope

    Qui disait “La vérité c’ est le complotisme plus six mois” ? Je ne sais plus mais ça se vérifie tous les jours…. Malheureusement à en juger par ce que je vois autour de moi la “Vérité Officielle” reste la vérité pour 80 % des gens…

  2. chris

    votre blog est la pure vérité qui se passe sous l’iceberg caché à échelle planétaire. Bravo !! enfin un blog qui ne fais pas des coller copier par rapport à d’autres sur le principe du “gober les mouches les moutons continuer d’être un mouton docile”…

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