Que voilà un sujet sur lequel les algorithmes et fact-checkers en tous genres peuvent s’en donner à cœur joie! La doxa officielle est qu’il n’y a pas de risques et que le bénéfice “est”, au sens biblique du terme. Tout désaccord avec ceci fait de vous un infidèle complotiste anti-vax juste bon à jeter en pâture à Raphaël Enthoven ou à Laurent Alexandre sur un plateau télé. Et même si le “vaccin” ne marche pas, même s’il n’est même pas vraiment un vaccin, dixit Delfraissy, il reste le Graal de la secte covido-fasciste et, surtout, l’instrument de sa politique ségrégationniste agricole à base de QR code. Meuuuh!
Cette introduction pamphlétaire faite, que peut-on dire de sérieux sur le sujet?
Le Covid, premier effet secondaire de la vaccination anti-Covid?
On peut commencer par le Covid-19 lui-même. Qui ne connait pas des vaccinés, et surtout des récemment “boostés”, qui développent rapidement une positivité souvent symptomatique? La position officielle est qu’il s’agit là de l’effet de retard: il faut quinze jours pour que le booster fasse effet, ce qui laisse le temps à une infection. Sans doute.
Malheureusement le booster, et là même la doxa (sauf Véran le Fou, qui persiste à dire que le vaccin protège à 85% de l’infection) le reconnait: le vaccin ne protège pas de l’infection ni de la contamination. Donc cet effet de booster covid, s’il est avéré, pourrait être lié au vaccin lui-même, via au moins deux facteurs:
- Le phénomène des anticorps facilitants, notamment proposé par Didier Raoult et Jean-Marc Sabatier, également connu sous le terme ADE (antibody-dependent enhancement), “est causé lorsque certains anticorps, acquis via une précédente infection ou un vaccin, se transforment en alliés du virus et augmentent sa capacité infectieuse et sa virulence.” (1).
- Une hypersensibilité associée au vaccin, comparable à une allergie. le Dr Scott Halstead, qui réfute l’hypothèse ADE, a publié une étude sur la question de l’hypersensibilité vaccinale (2), qu’il considère comme un réel problème dans le développement des vaccins.
Quoi qu’il en soit, le développement de formes symptomatiques de Covid en lien avec la vaccination semble un fait avéré, et à considérer comme un effet secondaire que l’on ne peut pas négliger. Certes, les vaccinolâtres argumenteront que cela protège néanmoins des formes graves, ce qui est vrai pour les gens à risques de formes graves (20-25% de la population, désormais bien identifiée), mais pas pour les autres – ce d’autant que Omicron est moins agressif que ses prédécesseurs Delta, Alpha, etc…
Une question balayée sous le tapis.
Où, alors, se situe le bénéfice pour les 75-80% de la population non à risque de formes graves, surtout via Omicron, mais qui risquent une forme symptomatique du Covid du fait de la vaccination? Quid, aussi, du risque d’affaiblir les systèmes immunitaires de ces gens par la vaccination à répétition, non prévue au départ, comme le souligne l’OMS lui-même (3)? Et comment peut-on accepter de faire prendre ce risque à des enfants, à moins de relever d’une forme de psychopathie avancée (4)?
Pour la junte covido-fasciste, tout ceci est évidemment balayé par l’intérêt politique de la division, et sans doute par les gains financiers que certains “responsables” réalisent via un quelconque système de rétrocommissions. Une telle bêtise, une telle ardeur dans l’erreur destructrice ne peut en effet s’expliquer, à mon avis, sans le recours à la corruption pure et dure, une manière de faire parfaitement Macron-Pfizer-compatible (5).
Une interrogation venue d’ailleurs.
Un article surprenant fut publié par la presse taiwanaise en octobre 2021, en pleine campagne de vaccination::
Le 7 octobre, le nombre de décès après vaccination à Taïwan a atteint 852, tandis que le nombre de décès après le diagnostic du COVID-19 était de 844. Pour la première fois, le nombre de décès après la vaccination a dépassé le nombre de décès confirmés.
https://medicaltrend.org/2021/10/10/taiwan-death-from-covid-19-vaccination-exceeds-death-from-covid-19/
En Israël, au même moment, on lisait ceci:
Le Dr Steve Ohana a conclu que ses conclusions devraient “inciter de toute urgence à faire une pause dans la campagne de vaccination, jusqu’à ce que les raisons de la surmortalité des jeunes observée dans les pays pratiquant la vaccination de masse soient clarifiées”.
https://coronanews123.wordpress.com/2021/10/20/israeli-mathematician-says-vaccination-causing-surge-in-child-deaths/
Je n’ai pas les moyens de vérifier ces données, mais le fait que ces publications existent devrait inciter à la prudence et à l’examen rationnel des faits.
Une première action en justice contre Pfizer?
Chez nous, tout lien causal entre vaccination et décès est tabou, et même entre vaccination et effets secondaires graves vu que la réponse sera toujours “c’est moins grave qu’une forme grave de Covid”. Une assertion ignoble vu le faible risque de formes graves face au risque inconnu des injections à répétition, mais nous avons désormais un premier cas qui pourrait passer en justice, celui d’un jeune garçon sans problèmes particuliers, rendu quasiment aveugle quelques jours après sa vaccination.
Son avocat, Eric Lanzarone, attaque Pfizer et dénonce notamment la clause d’irresponsabilité imposée par Pfizer à l’Etat:
Invité de France bleu Provence ce mardi matin, l’avocat Eric Lanzarone explique que “Pfizer a imposé cette clause d’irresponsabilité à l’Etat. Par cette clause, Pfizer n’assure aucune garantie minimale d’efficacité et nocivité. Pfizer dit en substance : je serai irresponsable”.
En cas d’effets secondaires graves liés à la vaccination, qui indemnisera les patients ? Selon l’avocat, “tous les patients qui seraient victimes de cette vaccination seront indemnisés mais au regard de cette clause, c’est l’Etat et non Pfizer qui les indemnisera” poursuit l’avocat qui a d’ailleurs déposé un recours devant le tribunal administratif de Paris. Normalement, c’est l’Oniam (Office national d’indemnisation des accidents médicaux), “mais avec cette clause, cela a peu de chances d’aboutir”.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-avocat-marseillais-attaque-pfizer-1643035306
Une telle clause, signée entre la belle Ursula et le riche Albert, mais comment donc?
Textos échangés avec le PDG de Pfizer : les petits secrets d’Ursula von der Leyen
La Commission européenne a refusé de dévoiler des échanges par SMS entre sa présidente Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, qui ont eu lieu à l’époque des négociations du contrat pour l’achat de doses de vaccin.
https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/textos-echanges-avec-le-pdg-de-pfizer-les-petits-secrets-d-ursula-von-der-leyen_2167051.html
Corruption à tous les étages, une triste réalité à laquelle il semble impossible d’échapper. Mais restons sur nos effets secondaires.
Pourquoi vacciner les enfants?
Fin décembre apparaissait, dans Science Direct, un article intitulé “Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre le Covid-19?”, portant sur la période janvier – juin 2021 aux USA, dont je vous propose comme d’habitude la traduction intégrale de l’abstract:
Cet article examine les questions liées aux inoculations COVID-19 pour les enfants. La majorité des décès officiels attribués au COVID-19 par habitant surviennent chez les personnes âgées présentant des comorbidités élevées, et les décès attribués au COVID-19 par habitant sont négligeables chez les enfants.
La plupart des décès normalisés après inoculation surviennent également chez les personnes âgées présentant des comorbidités élevées, tandis que les décès normalisés après inoculation sont faibles, mais non négligeables, chez les enfants. Les essais cliniques pour ces inoculations étaient de très courte durée (quelques mois), leurs échantillons n’étaient pas représentatifs de la population totale et, pour les adolescents/enfants, leur pouvoir prédictif était faible en raison de leur petite taille.
En outre, les essais cliniques ne portaient pas sur les modifications des biomarqueurs qui pourraient servir d’indicateurs d’alerte précoce d’une prédisposition élevée à des maladies graves. Plus important encore, les essais cliniques n’ont pas abordé les effets à long terme qui, s’ils étaient graves, seraient supportés par les enfants/adolescents pendant des décennies.
Une nouvelle analyse coûts-bénéfices du meilleur scénario a montré, de manière très prudente, que le nombre de décès attribuables à chaque inoculation est cinq fois supérieur à celui des décès attribuables au COVID-19 dans la population la plus vulnérable des 65 ans et plus. Le risque de décès dû au COVID-19 diminue radicalement avec l’âge, et les effets à plus long terme des inoculations sur les groupes d’âge inférieurs augmenteront leur rapport risques-bénéfices, peut-être de manière substantielle.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S221475002100161X#!
Ceci rejoint cette autres étude, portant sur les USA et sur l’Europe, citée dans l’article sur les abus criminels de la vaccination Covid (6) et dont je recite ici la conclusion:
La comparaison de nos VFR stratifiés par âge avec les taux de létalité des infections à coronavirus (IFR) stratifiés par âge publiés suggère que les risques des vaccins COVID et des rappels l’emportent sur les avantages chez les enfants, les jeunes adultes et les adultes plus âgés présentant un faible risque professionnel ou une exposition antérieure au coronavirus. Nous discutons des implications pour les politiques de santé publique liées aux rappels, aux obligations vaccinales des écoles et des lieux de travail, et de l’urgente nécessité d’identifier, de développer et de diffuser des diagnostics et des traitements pour les lésions vaccinales qui affectent la vie.
https://www.researchgate.net/publication/355581860_COVID_vaccination_and_age-stratified_all-cause_mortality_risk
De la science médicale à la théologie vaccinale.
Bien sûr, la théologie vaccinale qui tient lieu de politique de santé publique ne peut reconnaître le moindre doute. Elle rejoue, sous une forme caricaturale mais catastrophique pour beaucoup d’entre nous – et notamment nos enfants – cette tradition scolastique (merci Modeste) cherchant à justifier Dieu par la raison. En l’occurrence, ils tentent de justifier leur croyance (ou leurs intérêts, plus probablement) en faisant appel à la “science”, mais une science qui n’est rien d’autre qu’un vulgaire scientisme nourri par le devoir d’obéissance au Chef, quoi qu’il en coûte – la définition de la méthode fasciste, et du Macronisme.
Un sujet déjà abordé sur ce blog, par exemple ici, en avril 2021:
Du marketing pharmaceutique à la gestion de l’épidémie covidienne, la mise en avant des blouses blanches vise à impressionner et à éviter le débat politique en laissant croire à une forme de vérité scientifique supérieure. C’est sans doute recevable là où, par exemple, les lois de la gravité ou de l’électromagnétisme s’imposent de par leur vérité expérimentale face aux croyances, aussi politisées soient-elles, mais même en ce cas il n’est généralement pas question d’enfermer les religieux ni les croyants en la Terre plate sous prétexte qu’ils refusent la réalité scientifique.
Incarcérer des populations entières sous prétexte de vérité covidienne, par contre, semble devenu parfaitement acceptable, alors même que la « science » supposée justifier de telles mesures relève surtout du scientisme, c’est-à-dire le dogmatisme déguisé en théorie scientifique.
https://zerhubarbeblog.net/2021/04/30/scientisme-covidien-marchepied-totalitaire/
Russell et la théière interplanétaire.
Face à ce scientisme répété par les politiques, les membres du “Conseil scientifique” et les médias aux ordres, il est très difficile de prouver le lien de causalité entre un évènement grave et la vaccination. La posture de l’establishment est celle critiquée, à l’époque, par le philosophe Bertrand Russell avec sa métaphore de la théière interplanétaire:
« De nombreuses personnes orthodoxes parlent comme si c’était le travail des sceptiques de réfuter les dogmes plutôt qu’à ceux qui les soutiennent de les prouver. Ceci est bien évidemment une erreur. Si je suggérais qu’entre la Terre et Mars se trouve une théière de porcelaine en orbite elliptique autour du Soleil, personne ne serait capable de prouver le contraire pour peu que j’aie pris la précaution de préciser que la théière est trop petite pour être détectée par nos plus puissants télescopes. Mais si j’affirmais que, comme ma proposition ne peut être réfutée, il n’est pas tolérable pour la raison humaine d’en douter, on me considérerait aussitôt comme un illuminé. Cependant, si l’existence de cette théière était décrite dans des livres anciens, enseignée comme une vérité sacrée tous les dimanches et inculquée aux enfants à l’école, alors toute hésitation à croire en son existence deviendrait un signe d’excentricité et vaudrait au sceptique les soins d’un psychiatre à une époque éclairée, ou de l’Inquisiteur en des temps plus anciens. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9i%C3%A8re_de_Russell
Petit vent de panique au sein du clergé covidiste?
Ces temps anciens sont apparemment de retour, et selon la religion covidiste ce n’est pas aux fabricants de vaccins de prouver l’innocuité de leurs produits, déclarés “sans risque” par la bulle du pape Pfizer et son clergé, mais à nous de prouver le contraire.
Si, encore, les blouses blanches qui pratiquent l’offrande, sinon le sacrifice, au sein des cabinets et vaccinodrômes étaient laïques, on pourrait sans doute compter sur eux pour nourrir la contre-expertise. Malheureusement ils font partie du clergé, à quelques exceptions près.
A 900 euros par jour et avec l’ARS et l’ordre des médecins corrompus sur le dos, au diable la théière de Russell: il n’y a pas de risques, et dans le cas contraire il suffit de ne pas le dire. Répétez après moi: “il n’y a pas de risques…”.
Il y a littéralement, au sein des organismes de pharmacovigilance, des centaines de milliers de remontées sur une forme de corrélation entre vaccination et effets secondaires plus ou moins graves. Prouver l’inexistence d’une causalité entre effets graves / décès et la vaccination devrait être du ressort des fabricants et des organismes de santé publique.
Surtout, lorsqu’il s’agit de vacciner massivement une population dont l’immense majorité n’est pas à risque de formes graves, avec un produit qui n’est pas un vaccin mais une thérapie génique (ou un vaccin-médicament, selon Delfraissy) avec un effet réel étroit sur une population précise.
Tout vient à qui sait attendre, et on sent déjà un petit vent de panique chez les scientifiques, ou réputés tels, ayant jusqu’ici poussé à la charrette mais montrant désormais quelques infidélités avec le dogme:
Didier Raoult, l’Ogre de Marseille opposé de longue date au grand n’importe quoi macroniste, n’y va pas par quatre chemins dans cette interview sur Sputnik (vite, des sels pour les ségrégationnistes qui liraient ceci!):
Les régimes covido-fascistes savent, sans doute, que s’ils n’arrivent pas à éliminer le groupe témoin des non vaccinés et que des problèmes non dissimulables ressortent d’ici quelques mois ou années au sein de la population vaccinée, et surtout des plus jeunes, les choses pourraient mal tourner.
En France, pays phare en termes de corruption institutionnelle, Véran le Fou a récemment décidé de réduire le délai de validité du pass vaccinal, suite à une guérison, de six à quatre mois (7). Comme ça, sans raison autre qu’augmenter la pression sur les non vaccinés, et en finir avec ce fichu groupe témoin. Ce qui n’arrivera pas.
Il a également décidé que la volonté d’un seul parent suffisait désormais pour valider la vaccination des enfants dès 5 ans, une insulte de plus à l’Etat de droit et à la cohérence familiale.:
Ailleurs, comme en Allemagne, la poussée covido-fasciste (menée là comme ici par les partis dits de gouvernement, centre-gauche comme centre-droite) se heurte à un reste de bon sens (8). Au Canada, les routiers ont amorcé une véritable révolution populaire à l’encontre de la politique covido-fasciste de Trudeau, qui est parti se planquer au fond des bois. Un mouvement qui semble vouloir s’étendre aux USA et en Europe.
Nous sommes en guerre.
De manière générale, faire le ratio d’un bénéfice proche de zéro et d’un risque mal connu ou inconnu (les effets secondaires, surtout à moyen et long terme, en plus des effets connus type myocardites réputées “pas graves” par le clergé), donne quelque chose proche de zéro dans le meilleur des cas, et largement négatif dans le pire.
J’ignore si nos “dirigeants” et leurs cercles dits “scientifiques” sont sous hypnose, sont incompétents à un niveau jusqu’ici inexploré, sont corrompus jusqu’à l’os, ou savent quelque chose que nous ne savons pas, mais ne pas prendre en compte la réalité d’un bénéfice-risque nul ou négatif sur l’ensemble d’une population devra un jour se payer.
Je présume qu’ils le savent, mais dans leur immense arrogance estiment qu’ils peuvent s’en sortir en allant jusqu’au bout. Donc oui Mr Macron, nous sommes en guerre, mais contre vous.
Liens et sources:
(1) https://zerhubarbeblog.net/2021/11/20/sars-cov-2-ade-et-3eme-dose-un-melange-explosif/
(2) https://link.springer.com/article/10.1007/s40259-021-00495-6
(4) https://zerhubarbeblog.net/2021/12/07/de-lepsteinisation-des-esprits/
(5) https://zerhubarbeblog.net/2021/12/29/vaccination-covid-le-grand-marche-de-la-corruption/
(6) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/19/les-abus-criminels-de-la-vaccination-covid/
(7) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/29/appel-aux-vaccines-et-aux-vaccinees-de-france/
Portail des remontées de pharmacovigilance, Europe:
La vaccination des enfants n’est justifié en aucun cas. Il ne peut y avoir de bénéfice pour des personnes à excessivement faible risque de cas grave. 3 moins de 20 ans pour lesquels on a attribué la mort au Covid depuis mars 2020. Combien de myocardites en revanche ? Le meilleur ami du fils d’une de mes connaissances s’est effondré pendant un match de foot ce WE : arrêt cardiaque. Il a été mis dans le coma (18 ans), et les médecins ne peuvent se prononcer sur les séquelles.
Entièrement d’accord sur votre conclusion, et j’ajoute que, selon ce que l’on m’a dit à la dernière manif : il est du devoir de résister à des gouvernements et lois illégitimes.
justifiée
Et l’affaire des SMS d’Ursula est également révélatrice de cette corruption. D’autant plus que c’est une récidiviste en effacement de SMS. Peu de réactions de la part de la presse ou des politiques. Peu d’information non plus quant à ce qui s’est passé au Canada.
Pour les ségrégationnistes, ce qui se passe au Canada ne concerne que la frange extrême-droite, un mouvement marginal. On se rassure comme on peut.
Sur les SMS d’Ursula à Albert: https://youtu.be/PgRbvikAK3E
a Suède continue d’avancer à contre-courant dans sa lutte contre la pandémie. A rebours de nombreux voisins européens, le pays scandinave a choisi de ne pas recommander la vaccination des 5-11 ans contre le Covid-19, ont annoncé ce jeudi les autorités sanitaires.
“Les vaccins sont sûrs, ce sont de très bons vaccins, mais nous nous concentrons sur les bénéfices médicaux de l’enfant individuellement et nous n’estimons pas que les bénéfices soient suffisamment grands pour recommander la vaccination de tout le groupe”, a déclaré à l’AFP Britta Björklund, chargée du dossier à l’Autorité de santé publique suédoise.
https://www.tf1info.fr/international/covid-19-la-suede-ecarte-la-vaccination-generale-des-5-11-ans-2208433.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1643351444&fbclid=IwAR2jeIAlz7GDBDth5lhTR_G8duTOVg5JKIQUIMkdv-7CAk2z5tKr8O7FQ6M#xtor=CS5-111
LES EFFETS INDÉSIRABLES COMMENCENT A SORTIR DANS LA PRESSE MAINSTREAM (Ici: Medscape)
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Réflexions d’un dermatologue sur les effets secondaires des vaccins Covid-19 à moyen et long terme
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BRUXELLES, 27/01 – « Dans ma pratique de dermatologue, je constate depuis 2021 beaucoup plus d’herpès zoster par mois qu’auparavant. Dans certains cas, ceux-ci s’avèrent plutôt résistants aux traitements et entraînent des complications, » écrit Marc Boone, dermatologue (MD) et docteur en sciences médicales. Le professeur Boone analyse également l’impact du variant omicron en termes de contaminations et d’hospitalisations chez les personnes vaccinées et non vaccinées.
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D’après les rapports hebdomadaires de Sciensano sur la pandémie de Covid-191, il est clair que tant que le variant delta était dominant, les vaccins systémiques (IgG) réduisaient considérablement la charge des unités de soins intensifs.
Malheureusement, ce ne sont pas des vaccins muqueux (IgA) et le risque de contamination reste donc réel. Le virus peut continuer à circuler avec le risque de voir des mutations conduisant à un nouveau ‘variant préoccupant’ tel que le variant omicron. Depuis le début de l’année, la part que représente omicron dépasse largement les 90%.
Depuis octobre 2021, au début de la quatrième vague, la réduction relative du risque d’infection (RRR) par la vaccination complète sans booster (VSB) est en baisse dans les trois catégories d’âge (12-17 ans, 18-64 et 65+). Avec l’arrivée d’omicron, la RRR par la VSB évolue de façon défavorable. Avec le variant delta, la RRR par la VSB était encore de 48% pour les 18-65 ans et était même négative pour les +65 ans (-15,4%).1 (rapport hebdomadaire du 11/11/2021).
Au tournant de l’année, cette valeur était tombée à 25% pour les 18-65 ans. Pour les personnes de plus de 65 ans, la RRR par la VSB était alors de 10%. Cela signifie que dans le groupe des 65+, les personnes entièrement vaccinées sans booster et les personnes non vaccinées évoluaient vers un risque d’infection comparable. Une campagne de booster pour ce groupe s’avérait nécessaire.
Malheureusement, en présence d’omicron, la dose de rappel ne peut pas élever la RRR à des valeurs de 85% comme lors de la dominance du variant delta.1 (Rapport hebdomadaire 21/01/2022)
Être infecté par le virus est une chose, tomber gravement malade en est une autre. À partir de l’évolution du nombre de patients Covid-19 hospitalisés – avec ou sans problèmes de santé préexistants – entre début novembre 2021 (rapport hebdomadaire 11/11/2021) et fin janvier 2022 (rapport hebdomadaire 21/01/2022), on peut observer ce qui suit : (1) Il y a un doublement du pourcentage (de 25% à 50%) des personnes hospitalisées sans problème de santé préexistant ; et (2) un quasi-doublement du pourcentage (de 25% à 46%) des patients hospitalisés vaccinés. 1
Le feu vert vient d’être donné pour administrer une quatrième dose aux personnes immunodéprimées, car le vaccin s’est révélé insuffisant chez celles-ci.
Impact de la vaccination répétée avec des vaccins à ARNm sur le système immunitaire
Y a-t-il quelque chose qui ne va pas dans le système immunitaire des personnes vaccinées ? Quel est l’impact de la vaccination répétée avec des vaccins à ARNm sur le système immunitaire ?
L’élévation systémique de l’IL-15 est associée à une réponse immunitaire efficace aux vaccins à ARNm.2 L’IL-15 est une cytokine homéostatique qui coordonne, entre autres, le développement, la fonction et la survie des cellules tueuses naturelles (natural killer cells, NK) et des cellules T CD8.3
Une étude récente sur l’efficacité du vaccin contre le virus de l’immunodéficience simienne chez les macaques rhésus a montré que la réponse IL-15 jouait également un rôle déterminant à ce niveau. L’induction coordonnée et durable du système immunitaire inné et acquis par le vaccin est largement déterminée par l’IL-15.4
Cependant, l’étude a également montré qu’une réponse IL-15 robuste induite de novo par le vaccin est essentielle pour obtenir une efficacité élevée. Chez les animaux de laboratoire pour lesquels la production d’IL-15 était déjà élevée au départ, le vaccin a à peine fonctionné. Il y a là matière à réflexion si l’on veut vacciner contre le SRAS-Cov-2 des personnes ayant une production initiale élevée d’IL-15. Une production excessive d’IL-15 peut entraîner une réponse immunitaire déréglée typique d’un certain nombre de maladies auto-immunes et de pathologies inflammatoires chroniques.5-9 En outre, il a été démontré qu’une infection antérieure par le Covid-19 avant la vaccination entraînait une augmentation considérable de l’IL-15.2
Pour obtenir une réponse immunitaire efficace, il est donc essentiel d’équilibrer les voies (pathways) d’induction et de contre-régulation de l’IL-15. La réponse immunitaire est plus efficace à mesure que les voies de l’IL-15 sont au repos avant la vaccination.4 Cependant, la stimulation chronique des cellules NK et T CD8 par l’IL-15 peut entraîner l’induction de récepteurs inhibiteurs du point de contrôle immunitaire tels que les PD-1 (point de contrôle immunitaire programmed cell death 1). Cela conduit à des changements métaboliques dans ces cellules, avec pour conséquence une reprogrammation épigénétique. Ces cellules s’épuisent et ne peuvent plus remplir leurs fonctions comme prévu.10-12
Les agents pathogènes développent toujours un mécanisme pour échapper au système immunitaire de l’hôte. Les herpèsvirus humains y parviennent en utilisant cette voie PD-1/ PD-L1 (programmed cell death ligand ; PD-L1). Plus l’expression de PD-L1 est élevée, plus la déficience immunitaire est forte.13-15 Une recherche sur pubmed, combinant les termes de recherche ‘herpès zoster’, ‘covid-19′ et ‘vaccin’ révèle 89 publications au moment de la rédaction de cet article d’opinion. Parmi celles-ci, 20 sont des articles de synthèse.
Dans l’un d’entre eux16, on peut lire que le Vaccine Adverse Event Reporting System recense 1.000 cas signalés d’herpes zoster induit par un vaccin à ARNm. Dans ma propre pratique de dermatologue, je constate depuis 2021 beaucoup plus d’herpès zoster par mois qu’auparavant. Dans certains cas, ceux-ci sont plutôt résistants aux traitements et entraînent des complications.
Je soupçonne que cet effet secondaire soit sous-signalé, car les symptômes ne sont généralement pas si graves et peuvent être contrôlés assez facilement avec des médicaments antiviraux classiques. Cependant, cette affection indique un problème sous-jacent. Une telle pathologie est une manifestation clinique de l’expression accrue de la voie PD-1/PD-L1 avec une diminution de la surveillance immunitaire contre les infections virales mais aussi les cellules cancéreuses.12 En particulier dans la redoutable kératite herpétique, PD-1/PD-L1 joue un rôle important.17
« Il reste beaucoup de travail scientifique à effectuer avant que l’on puisse procéder en toute sécurité à une vaccination obligatoire. »
Supposons que vous deveniez aveugle à cause d’un herpès zoster ophtalmique difficile à contrôler après une vaccination obligatoire, qui sera responsable si les choses tournent mal, et qui compensera les dommages subis ? À l’âge de 20 ans, j’ai failli perdre mon œil droit à cause d’un herpes zoster ophtalmique fulminant. Vous comprendrez donc certainement ma grande préoccupation.
Conclusion
La vaccination répétée peut perturber gravement l’équilibre de l’IL-15 chez certaines personnes. Cela peut entraîner des conséquences graves pour l’individu vacciné.5-17
Les effets secondaires à moyen et long terme des vaccins Covid-19 ne sont pas encore connus. Un an après le début de la vaccination à l’échelle mondiale, ceux-ci commenceront à devenir de plus en plus apparents. Selon moi, il est essentiel d’être conscient de ces effets secondaires. La politique de vaccination doit être adaptée sur la base des connaissances acquises. Il pourrait s’agir d’évaluer le degré de déplétion des cellules mononuclées du sang périphérique, de tenter de corriger les taux accrus d’IL-15 associés à la maladie sous-jacente avant la vaccination, de rechercher et de mettre à disposition des doses différentes de vaccin en fonction de la maladie sous-jacente, de déterminer des intervalles de temps sûrs entre deux doses, etc. Il reste encore beaucoup de travail scientifique à effectuer avant que la vaccination obligatoire puisse être mise en œuvre en toute sécurité.
A propos
Marc Boone est dermatologue (MD) et docteur en sciences médicales (PhD). Il assume l’entière responsabilité de cet article d’opinion indépendamment de l’institution universitaire à laquelle il est affilié.
Références
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Jones D, Como CN, Jing L, Blackmon A, Neff CP, Krueger O, et al. (2019) Varicella zoster virus productively infects human peripheral blood mononuclear cells to modulate expression of immunoinhibitory proteins and blocking PD-L1 enhances virus-specific CD8+ T cell effector function. PLoS Pathog 15(3): e1007650.
Milica Vukmanovic-Stejic, Daisy Sandhu, Judith A. Seidel. The Characterization of Varicella Zoster Virus Specific T Cells In Skin and Blood During Ageing. J Invest Dermatol. 2015; 135 (7): 1752-1762.
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Il semblerait que cet article ait été supprimé de Medscape. Je ne l’ai pas trouvé.
Trouvé sur mediquality, via duckduckgo (google censure).
Based on passive surveillance reporting in the US, the risk of myocarditis after receiving mRNA-based COVID-19 vaccines was increased across multiple age and sex strata and was highest after the second vaccination dose in adolescent males and young men.
https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2788346
Jusqu’à maintenant, les effets secondaires graves post-vaccination Covid étaient une lubie délirante venant d’une poignée haineuse d’antivax pour Olivier Véran. Hier, Me Delphine Provence, avocate en droit public et en droit de la santé, a plaidé la cause de sa cliente devant le Conseil d’Etat. Cette dernière, ancienne avocate devenue étudiante en médecine, a subi des troubles importants à la suite de sa 2e injection. Elle demande la suspension en urgence de l’obligation de la 3e dose de vaccination face à un ministre de la santé en pleine dissonance cognitive.
https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/02/08/olivier-veran-reconnait-enfin-lexistence-deffets-secondaires-graves-lies-a-la-vaccination/
https://rumble.com/vusgdv-effets-secondaires-la-face-cache-des-vaccins.html
Ce 25 janvier, un article paru dans le JAMA (Journal of the American Medical Association) se penche sur les cas de myocardite suite vaccination ARNm Covid, aux USA, entre décembre 2020 et août 2021.
Je vous cite l’abstract traduit ci-dessous, mais en résumé: l’incidence de myocardites dans les classes d’âge entre 12 et 30 ans, mais surtout pour les jeunes hommes autour de 18 ans, est a minima supérieure à la normale d’un facteur de 84.
Un chiffre certainement sous-estimé du fait que peu de cas sont apportés au système VAERS (de l’ordre de 20% des cas réels), pour au moins trois raisons: refus des médecins de le faire, difficulté à le faire si on est pas compétant en matière médicale, et le niveau de preuve demandé pour considérer un évènement comme “vraie” myocardite.
La véritable incidence de myocardites post-vaccination (ici, Pfizer et Moderna) est sans doute, en réalité, de plusieurs centaines de fois l’incidence normale.
On se doute bien que les autorités sanitaires, ici, s’en foutent royalement, l’objectif étant de plaire à l’électorat macroniste et assimilé (les hypocondriaques fascisants), les enfants et les jeunes n’étant pour eux que chair à piquouse.
Abstract:
“Résultats Parmi les 192 405 448 personnes ayant reçu un total de 354 100 845 vaccins COVID-19 à base d’ARNm pendant la période d’étude, 1991 cas de myocardite ont été signalés au VAERS et 1626 d’entre eux correspondaient à la définition de cas de myocardite. Parmi les personnes atteintes de myocardite, l’âge médian était de 21 ans (IQR, 16-31 ans) et le délai médian d’apparition des symptômes était de 2 jours (IQR, 1-3 jours).
Les hommes représentaient 82 % des cas de myocardite pour lesquels le sexe était déclaré. Les taux bruts de déclaration des cas de myocardite dans les 7 jours suivant la vaccination par COVID-19 ont dépassé les taux attendus de myocardite dans plusieurs strates d’âge et de sexe.
Les taux de myocardite étaient les plus élevés après la deuxième dose de vaccination chez les adolescents de sexe masculin âgés de 12 à 15 ans (70,7 par million de doses du vaccin BNT162b2), chez les adolescents de sexe masculin âgés de 16 à 17 ans (105,9 par million de doses du vaccin BNT162b2) et chez les jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans (52,4 et 56,3 par million de doses du vaccin BNT162b2 et du vaccin mRNA-1273, respectivement).
On a recensé 826 cas de myocardite chez les personnes âgées de moins de 30 ans pour lesquelles on disposait d’informations cliniques détaillées ; parmi ces cas, 792 sur 809 (98 %) présentaient des taux élevés de troponine, 569 sur 794 (72 %) des résultats anormaux à l’électrocardiogramme et 223 sur 312 (72 %) des résultats anormaux à l’imagerie par résonance magnétique cardiaque.
Environ 96 % des personnes (784/813) ont été hospitalisées et 87 % (577/661) d’entre elles ont vu leurs symptômes disparaître à la sortie de l’hôpital. Le traitement le plus courant était les anti-inflammatoires non stéroïdiens (589/676 ; 87 %).
Conclusions et pertinence D’après les rapports de surveillance passive aux États-Unis, le risque de myocardite après l’administration de vaccins COVID-19 à base d’ARNm était accru dans plusieurs strates d’âge et de sexe et était plus élevé après la deuxième dose de vaccination chez les adolescents et les jeunes hommes. Ce risque doit être considéré dans le contexte des avantages de la vaccination COVID-19.”
https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2788346
https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/effets-indesirables-des-vaccins-la-saisine-de-l-opecst-n-est-pas-une-reponse
[…] (11) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/31/vaccination-covid-19-quel-rapport-benefice-risque/ […]
Alors que l’ARN des « vaccins » Covid-19 et la protéine Spike vaccinale (potentiellement délétère) peuvent persister plusieurs mois dans l’organisme, on envisage un boost tous les trois mois. Serait-il temps de procéder aux études… préalables ?
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-19-spike-arn-et-vaccins-et-si-lancait-les-etudes-prealables
https://covidrationnel.be/2022/02/18/pharmacovigilance-et-balance-benefices-risques/
[…] (6) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/31/vaccination-covid-19-quel-rapport-benefice-risque/ […]
[…] (7) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/31/vaccination-covid-19-quel-rapport-benefice-risque/ […]
[…] Gates, mais le narratif reste qu’il a “sauvé des vies” (évitant ainsi toute analyse bénéfice-risque) et que ses effets secondaires, pour peu qu’ils existent, (ce que beaucoup nient encore), […]