Un éléphant se promène tranquillement dans le magasin de porcelaine du sanitairement correct, et ce depuis 2021, et cela continue en 2022. Il commence à se voir, fracassant petit à petit le mur de silence dressé autour de lui par des autorités le plus souvent ineptes et corrompues, passant ici sa trompe au-dessus des écrans de fumée des champs de bataille, agitant là une oreille en marge de la foultitude de sujets soudainement bien plus pressants, vu que pour l’industrie de la “santé” seuls les décès Covid sont rentables (1). Cet éléphant a un nom, il se nomme “Surmortalité anormale.”
La surmortalité anormale, c’est la surmortalité constatée hors des causes connues de surmortalité, en l’occurrence le Covid. En effet, depuis 2020 existe une surmortalité directement associée au Covid (à distinguer de celles associée aux personnes décédées “avec”, mais pas “à cause” du Covid, distinction assez nébuleuse ici mais faite de manière plus stricte dans certains pays, notamment le Royaume Uni). Cette surmortalité “Covid” est donc soustraite du taux de mortalité générale constaté, et si ce qu’il reste dépasse le taux attendu, on parle de surmortalité anormale.
Les alertes américaines.
Les organismes statistiques des différents pays sont censés faire émerger et se pencher sur ce type d’anomalie, mais ils ne sont pas la seule source: les assurances qui vendent des assurances-vie sont parfaitement au courant de toute surmortalité suspecte car cela leur coûte. Et c’est bien du marché assuranciel américain que les premiers signaux sont apparus:
M. Dowd prévoit une avalanche de poursuites judiciaires à mesure que le secteur des assurances continue de découvrir les légions de décès de plus en plus nombreux dus aux complications des vaccins à ARNm COVID-19.
M. Dowd s’est associé à un analyste du secteur de l’assurance et a étudié les demandes de remboursement des assurances-vie. Ils ont découvert que depuis que OneAmerica a choqué le monde en annonçant une augmentation de 40 % des décès non liés au COVID chez les jeunes employés de la classe ouvrière, de nombreuses autres compagnies d’assurance dans le monde ont constaté la même chose – des augmentations massives des décès non liés au COVID. Et les preuves désignent inéluctablement les vaccins comme la cause.
https://zerhubarbeblog.net/2022/02/24/vaccins-arnm-pfizer-et-moderna-le-crime-du-siecle/
Cette tendance semble se confirmer, d’autres firmes faisant état d’une situation anormale qui touche notamment la tranche des gens en activité (18-50 ans):
Les données de l’INSEE.
En France, le problème est présumé inexistant, mais il suffit de lire le rapport de l’INSEE pour voir que, si les chiffres sont loin de la hausse de 40% rapportée par les Américains, elle n’est pas négligeable non plus:
Du 1er janvier au 13 juin 2022, 306 524 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 24 juin 2022, soit 6,5 % de plus qu’en 2019 (+ 18 623 décès). Ce nombre est toutefois encore provisoire et sera révisé à la hausse dans les prochaines semaines.
Ainsi, sur la période allant du 1ᵉʳ janvier au 23 mai, le nombre de décès, qui était de 273 505 lors de la diffusion du 3 juin, est revu à la hausse pour s’établir à 275 355 à la date du 24 juin, soit une révision de + 0,7 %. La hausse du nombre de décès par rapport à la même période en 2019, qui était estimée à + 6,8 %, est révisée à + 7,6 %.
Entre le 1er janvier et le 13 juin 2022, les décès toutes causes confondues sont moins nombreux qu’à la même période en 2021 (– 6 685, soit – 2,1 %) et proches de ceux de 2020 (– 1 353, soit – 0,4 %). Si, sur la période janvier-février, les décès en 2022 sont proches des décès en 2021 (– 0,4 %), ils sont nettement supérieurs à ceux de janvier-février 2020 (+ 13,6 %), en raison d’une grippe saisonnière ayant entraîné peu de décès début 2020 ; en comparaison avec janvier-février 2019, les décès en 2022 sont plus élevés de 6,3 %. En revanche, sur la période mars-avril, les décès de 2022 sont inférieurs à ceux de 2021 (– 2,6 %) et très nettement inférieurs à ceux de 2020 (– 13,1 %), en raison de la 1ère vague de la Covid-19 ; en comparaison avec 2019, sur la période mars-avril, les décès de 2022 sont supérieurs de 10,0 %. Selon les données provisoires du 24 juin, sur la période allant du 1er mai au 13 juin, le nombre de décès en 2022 est inférieur à celui de 2021 (- 4,4 %) et légèrement supérieur à celui de 2020 (+ 1,2 %) ou de 2019 (+ 1,4 %). Pour suivre l’évolution de la mortalité en 2022, comme pour le suivi de la mortalité en 2021, l’Insee fait le choix de privilégier la comparaison avec l’année 2019, année sans épidémie Covid-19 (conférer le commentaire relatif à la période du 1ᵉʳ janvier au 31 mai 2021).
https://www.insee.fr/fr/statistiques/6206305?sommaire=4487854
L’INSEE a parfaitement raison de privilégier la comparaison avec 2019, la dernière année “normale”. Une hausse de 7,6% n’est pas anodine, la variation d’une année “normale” à l’autre étant faible, et fonction de l’évolution des tranches d’âge. Pour 2022, cette énorme hausse est d’autant plus mystérieuse que nous avons connu, en 2020 surtout, un “effet moisson”, c’est-à-dire une surmortalité des plus fragiles (qui arrive à peu près une fois tous les trois ans en temps normal), ici du fait du Covid. On devrait donc plutôt voir moins de décès en 2022 qu’en 2019, toutes choses par ailleurs comparables.
Le Royaume-Uni, une étude de cas.
C’est au Royaume-Uni que nous semblons avoir les meilleurs données. L’ONS (Office of National Statistics) fait depuis le début un bon boulot de suivi, et surtout nous avons un spécialiste reconnu qui donne quotidiennement ses analyses dans le domaine de la santé, et notamment sur le Covid.
Déjà présenté dans d’autres billets, le Pr John Campbell est un spécialiste de santé publique à la retraite, et animateur d’une chaîne YT à succès (2,38 millions d’abonnés, essentiellement britanniques et américains). Il est parfaitement “mainstream”, pro-vax de la première heure mais, en même temps, non affilié à des intérêts commerciaux ou politiques, et il n’a pas hésité à faire une vidéo très critique sur les soi-disant “essais cliniques” de Pfizer pour la vax Covid. Il milite depuis le début pour que les gens fassent le plein de vitamine D et de zinc, et reconnait que la vax Covid ne devrait concerner que les gens à risque.
Campbell sortait hier une vidéo intitulée Non Covid excess deaths (Surmortalité hors Covid) où il analyse les chiffres de l’ONS qui attestent d’une surmortalité, en 2022, de l’ordre de 15%. Ce qui est énorme:
Ce constat fait, et ayant bien fait savoir qu’il était loin d’être le seul à s’en inquiéter, il liste un certain nombre de causes possibles allant des “effets secondaires” des confinements, avec les traumas psychologiques et les dénis de soins qui en furent l’apanage, jusqu’à la baisse de la qualité de vie actuelle des Britanniques, en proie à une situation économique effectivement très dure après le triple choc du Brexit, du Covid et de la forte inflation actuelle. Un tiers des Britanniques ont moins de 600 livres en épargne (2).
Il refuse de faire l’impasse sur la vaccination Covid en tant que cause possible car, comme il le rappelle, il est démontré que certaines personnes sont mortes des effets directs de ces vaccins, et que les problèmes type myocardites et AVC, avec lien possible avec la vaccination, ne sont pas un mythe. Dans le même registre, il suspecte un possible effet des “nouveaux médicaments Covid”, qu’il ne nomme pas mais on a bien compris qu’il fait référence au Remdesivir et au Paxlovid.
Médicaments “Covid” et risque relatif des vaccins ARNm.
Le Paxlovid (le seul médicament légal en France contre le Covid), est vendu par Pfizer et intègre une forte proportion de Ritonavir, un médicament initialement dédié au VIH, assez violent et perclus d’effets secondaires (3).
Le Remdesivir, pour sa part, relève d’une grosse arnaque commerciale et le Lancet lui-même publiait récemment une étude dévastatrice:
Un exemple très parlant est celui du médicament « anticovid » Remdesivir, placé par Gilead dès le début (fin 2020) comme une espèce de remède miracle, vendu 2 500 euros la dose (!), et acheté pour 500 000 patients via l’UE alors même que l’efficacité du produit était plus que douteuse, et ses effets secondaires mal cernés.
Un tout récent article du Lancet enfonce le clou sur l’inefficacité et, surtout, sur la dangerosité du Remdesivir. On y lit que les patients non ventilés sous respirateur, se retrouvaient plus souvent sous respirateur ou morts que les patients du groupe de contrôle.
https://zerhubarbeblog.net/2022/06/27/covid-19-fabrique-de-la-technopanique-par-la-tarification-a-lacte/
Une autre caractéristique de cette anomalie, au RU du moins, et le fait que près d’un tiers des décès ont lieu au domicile privé, contre 12% à l’hôpital et 10% dans les maisons de retraite. Il s’agit donc plutôt de décès soudains.
Il est parfaitement conscient que le politique n’a pas du tout envie de suivre les pistes des médicaments et de la vaccination Covid, mais il est hors de question de ne pas les investiguer au même titre que les autres. D’autant que les questions sur ces vaccins ne manquent pas, et ce blog a déjà présenté les travaux de la chercheuse danoise Christine Stabell-Benn sur le risque relatif des vaccins ARNm:
En résumé, il semble apparaître un effet bénéfique sur la mortalité générale des populations vaccinées contre le Covid-19 par adénovirus, donc hors effet direct sur le Covid, et un effet négatif sur celle des populations vaccinées par ARNm, en tout cas sur base de cette étude dont l’échantillon est clairement trop faible pour en tirer une conclusion définitive.
https://zerhubarbeblog.net/2022/05/05/pr-christine-stabell-benn-et-le-risque-relatif-des-vaccins-arnm/
Remarquable article publié dans le Figaro ce 8 juillet, et repris en intégralité (et en accès libre) par Tribune Juive, sur la politique sanitaire face au Covid.
Il montre comment les arguments avancés depuis le début, en mars 2020, par les opposants à la dictature sanitaire, sont finalement validés et de facto acceptés par le régime politique actuel, un régime toujours en équilibre entre le désir des “mandarins” de jouer sur la peur et la désinformation, et un exécutif devenu conscient de la très mince épaisseur de glace sur laquelle il patine.
L’article pointe l’erreur dramatique (et à mon sens, criminelle) des confinements, des restrictions de liberté, des masques obligatoires n’importe où, tout comme les tests et la vaccination de masse avec des produits aussi merdiques et, surtout, la faute majeure du passe sanitaire / vaccinal, outrage qui restera encore longtemps au débit d’un système par ailleurs corrompu jusqu’à l’os.
Il mentionne le coût économique, social, sanitaire et politique de cette suite ininterrompue d’erreurs (erreurs relevant d’une volonté de nuire et de profiter d’une situation par de nombreux hauts fonctionnaires, ministres, “experts” à la solde de Big Pharma et autres lobbyistes). Une catastrophe dont les conséquences sont loin d’être terminées.
Certes, les psychopathes et les raclures En Marche et assimilées s’accrochent toujours à leurs outils de coercition “au cas où”, tel un enfant gâté refusant de rendre la fronde avec laquelle il vient de fracasser les vitres de sa maison. Avec la débandade de la politique russophobe et le retour de bâton du “quoi qu’il en coûte” menant à de probables soulèvements à l’automne, il leur faut garder de quoi alimenter la répression par leurs milices armées.
Bref, un article dans un média mainstream qui récapitule ce que nous disons (nous, les opposants à la dictature sanitaire et militants pour une réelle politique covid, argumentant notre position de manière rationnelle et documentée depuis le tout début malgré les insultes et l’arrogance imbécile des incarcérationnistes, des toxicovidés et des ségrégationnistes, Macron en tête). Ca fait plaisir.
https://www.tribunejuive.info/2022/07/09/judith-waintraub-et-charles-jaigu-recrudescence-des-contaminations-faut-il-avoir-encore-peur-du-covid/
Trois paragraphes cités depuis l’article en lien:
« Tous vaccinés, tous protégés » rabâchent en boucle les autorités sanitaires sur nos écrans télé depuis près de deux ans. Ajoutant : « On peut discuter de tout, sauf des chiffres ! »
Les chiffres, justement, parlons-en. Ceux, très officiels, de la très officielle Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).
Que disent-ils ? Dans son ‘’suivi des effets indésirables des vaccins Covid-19’’ effectué par les Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) entre le 24 mai 2022 et le 16 juin 2022, l’ANSM constate que 729 900 injections ont été réalisées en France. Elle rappelle que ce sont plus de 145 178 000 injections qui ont été réalisées depuis le début de la vaccination dont 112 211 700 avec Pfizer, 23 709 100 avec Moderna, 7 859 600 avec AstraZeneca, 1 087 600 avec Janssen et 22 300 avec Novavax.
Du 24 mai au 16 juin 2022, sur trois semaines, 4 103 nouveaux cas d’effets indésirables ont été rapportés pour l’ensemble des vaccins (sur un total de 169 557 cas depuis le début de la vaccination) dont 20% de cas graves sur la période et 24% depuis le début de la vaccination.”
Les provax nous diront que 4 103 effets indésirables sur 729 900 injections, c’est seulement 0,56%, dont 20% de cas graves soit 0,12% du total. Donc on s’en fout.
Sauf que l’on ne s’en fout pas, mais pas du tout. D’abord, un test comparatif avec un autre vaccin courant, celui de la grippe: il y a 1% d’effets secondaires peu graves, et 1 cas sur 450 000 d’effets secondaires graves, soit 0,0002%. On est pas du tout dans le même ordre de grandeur, les effets secondaires graves de la vax covid étant 500 à 1000 fois plus fréquents pour un même nombre d’injections.
Ensuite, la gravité: le vax covid donne des effets cardiaques et neurologiques qui touchent surtout les plus jeunes, avec un nombre conséquent de morts par arrêt cardiaque.
Enfin, le rapport au bénéfice: pour la vaste majorité de la population (les moins de 65 ans, les moins de 75 ans sans comorbidités) le bénéfice vaccinal est à peu près de zéro, pour un risque important. C’est donc éthiquement inacceptable, et cela n’existe que du fait de la profonde corruption du système, qui favorise les bénéfices financiers des puissants labos au détriment de la santé publique.
https://infodujour.fr/sante/58874-vaccins-confirmation-des-effets-secondaires-graves
https://cogiito.com/societe/10-000-personnes-par-jour-sont-tuees-par-les-vaccins-covid-dans-le-monde-un-nombre-de-victimes-probablement-plus-importants-que-lholocauste/?amp=1
Même sujet. https://h16free.com/2022/08/31/71884-cette-etrange-et-recente-surmortalite
Analyse données européennes dans France Soir. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/que-disent-les-donnees-de-mortalite-d-euromomo
https://ec.europa.eu/eurostat/en/web/products-eurostat-news/-/ddn-20220916-1
Evidence from the USA and multiple international vaccine safety monitoring systems support a small but increased risk of myocarditis after mRNA COVID-19 vaccination.
https://www.thelancet.com/journals/lanchi/article/PIIS2352-4642(22)00244-9/fulltext#tbl2
“Safe and effective, a second opinion”, un nouveau documentaire britannique sur les mensonges de la vax covid.
https://youtu.be/dIVZ5ssWB-o
https://community.covidvaccineinjuries.com/compilation-peer-reviewed-medical-papers-of-covid-vaccine-injuries/
Surmortalité des bébés en Ecosse.
https://www.bbc.com/news/uk-scotland-63097142
https://www.francesoir.fr/opinions-entretien/jean-marc-sabatier-oxyde-graphene-vaccins-anomalies-sanguines-nanoparticules-lipidiques#.YzfjwVQ2Tlc.facebook
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/que-disent-les-donnees-de-mortalite-d-euromomo
Les classes d’âge 0-14 ans et 15-44 ans présentent une plus forte augmentation de la mortalité que les autres tranches d’âge pour l’année 2022 par rapport aux années précédentes.
Pour ces deux tranches d’âge, l’année 2022 semble la plus critique, alors que presque toute la population est vaccinée et que les variants sont dits beaucoup moins délétères que la souche originale. Ces tranches d’âge sont d’intérêt capital pour la reproduction de notre espèce, notamment dans un pays ayant fait le choix d’un modèle de retraite par répartition (les jeunes contribuent pour payer les retraites).
Eu égard à cette augmentation de la mortalité, la politique vaccinale comme unique méthode de traitement, ne devrait-elle pas sérieusement être reconsidérée ? A minima, un audit devrait se tenir.