A nouveau censuré et banni de Facebook pendant quelques jours pour avoir, cette fois, publié une étude scientifique tout à fait officielle parue en octobre 2022 dans “Vaccines”, sans explication ni possibilité de faire appel (mais vous comprendrez plus bas en quoi cette publication contrevient aux intérêts du Grand Capital Corrupteur dont fait partie Meta/Facebook), c’est avec un léger sentiment de dégoût face à l’emprise sociopathe de Montagne de Sucre que je suis retourné voir, dans le cadre d’une projection privée à la galerie locale “Les mains libres”, le documentaire “The Social Dilemna” réalisé par Netflix en 2020 (1).
Aller voir un film décrivant et critiquant la manipulation des réseaux sociaux par les grandes plateformes (Facebook, Google, Twitter, Instagram, etc..), mais réalisé par une plateforme utilisant les mêmes outils pour développer son propre marché (Netflix), implique une certaine mise en abîme. En effet, la critique porte essentiellement sur l’opportunisme de Big Tech qui, partant d’un principe relativement idéaliste (relier les gens, etc…), mais confronté à la nécessité de gagner de l’argent, a compris que l’analyse des comportements de ses utilisateurs pouvait tout à fait se vendre aux annonceurs.
Le capitalisme de surveillance.
Non seulement cela, mais Big Tech a surtout compris qu’elle pouvait fortement influer sur ces comportements via une programmation algorithmique sophistiquée (et aujourd’hui via l’IA), bien décrite dans The Social Dilemna, donc rendre ces comportements prévisibles, ce qui est le graal de tout annonceur publicitaire et du Grand Capital en général.
Un Grand Capital dont les serviteurs occupent aujourd’hui la vaste majorité des hauts échelons du pouvoir politique (de Biden à Zelensky en passant par Macron, Sunak et von der Leyen), et qui emploient des spécialistes de la manipulation genre McKinsey à travers des stratégies portant le gentil nom de “nudging”.
Tout cela, en réalité, sort du même tonneau et fut brillamment décrit par Shoshana Zuboff (interrogée dans The Social Dilemna) dans son livre “Le capitalisme de surveillance“, dont ce blog fit un compte-rendu en janvier 2020:
Le capitalisme de surveillance a pour objectif de nous enfermer toutes et tous dans des bulles de certitudes permettant de prédire nos comportements avec la plus grande précision – précision qui fait la valeur marchande des données ainsi revendues aux annonceurs et exploitants en tous genres, commerciaux, institutionnels ou idéologiques, les vrais clients des GAFAM.
https://zerhubarbeblog.net/2020/01/20/nsa-gafam-et-le-capitalisme-de-surveillance/
Au service de la corruption.
Le Grand Capital est dit corrupteur car il relève aujourd’hui du capitalisme de connivence (décrit en 2008 par l’économiste américain James Galbraith sous le titre de “l’Etat prédateur” (2)), un système de domination politique et économique où le Grand Capital nomme les élites politiques et technocratiques, et leur garantit leurs privilèges contre leur collaboration à la prédation effectuée à l’encontre, le plus souvent, des intérêts nationaux et des populations.
On le voit en France avec par exemple le scandale des autoroutes (3), avec l’affaire Alstom (4), avec la vaccination Covid (5), avec la guerre en Ukraine, bref avec quasiment toutes les actions d’un régime aux mains de psychopathes corrompus ayant à sa botte l’ensemble des contre-pouvoirs instaurés dans la période précédente (médias, Conseils d’Etat ou Constitutionnel, Justice…) où existait encore une distinction assez forte entre monde politique, haute fonction publique, et grand capital. De même, la fameuse séparation des pouvoirs entre exécutif, législatif et judiciaire chère à Montesquieu n’est plus, malgré un grand théâtre d’apparences et un os jeté ici où là.
L’incompétence, la servilité et l’unique préoccupation personnelle des pratiquants de la voie de la gamelle qui contrôlent les hautes sphères de l’Etat français (mais le phénomène est mondial) sont d’ailleurs bien décrites dans cette interview d’un fin connaisseur du milieu, Paul-Antoine Martin:
Le cas de la censure de Vaccines.
La promotion massive de la thérapie génique expérimentale dite “vaccination Covid par ARNm” par les Gafam (et l’actuelle commission du Congrès américain suite à la publication des Twitter Files permet de mesurer l’ampleur du désastre), promotion au profit de Big Pharma et d’une vision “agricole” de l’humanité inhérente à l’univers mental des psychopathes au pouvoir (et largement décrite par, entre autres, Ivan Illich (6) et Giorgio Agamben (7)), n’est guère compatible avec les descriptions des dommages causés par ladite thérapie.
Certes, aujourd’hui l’inefficacité flagrante de ces produits est plus ou moins reconnue par leurs promoteurs genre Bill Gates, mais le narratif reste qu’il a “sauvé des vies” (évitant ainsi toute analyse bénéfice-risque) et que ses effets secondaires, pour peu qu’ils existent, (ce que beaucoup nient encore), sont marginaux et le plus souvent sans gravité. L’hypothèse que la vaccination ARNm conduise en elle-même à la mort du sujet reste donc tabou et censurable sans merci.
C’est pourtant l’hypothèse retenue par cette étude allemande, publiée dans Vaccines en octobre 2022, qui dit en gros ceci (traduction de l’abstract ci-dessous avec lien vers l’étude): Un homme âgé souffrant de Parkinson, non covidé, meurt trois semaines après sa troisième dose. Une autopsie montre des dégâts au cœur et au cerveau associés à la protéine Spike du vaccin (et non du Sars, vu l’absence de protéine nucléocapsidique).
Le rapport actuel présente le cas d’un homme de 76 ans atteint de la maladie de Parkinson (MP) qui est décédé trois semaines après avoir reçu sa troisième vaccination COVID-19. Le patient a été vacciné pour la première fois en mai 2021 avec le vaccin à vecteur ChAdOx1 nCov-19, suivi de deux doses du vaccin à ARNm BNT162b2 en juillet et décembre 2021. La famille du défunt a demandé une autopsie en raison de signes cliniques ambigus avant le décès. La MP a été confirmée par les examens post-mortem. En outre, des signes de pneumonie par aspiration et d’artériosclérose systémique étaient évidents. Cependant, les analyses histopathologiques du cerveau ont révélé des résultats insoupçonnés, notamment une vascularite aiguë (à prédominance lymphocytaire) ainsi qu’une encéphalite nécrosante multifocale d’étiologie inconnue avec une inflammation prononcée comprenant une réaction gliale et lymphocytaire. Au niveau du cœur, des signes de cardiomyopathie chronique ainsi qu’une myocardite et une vascularite lympho-histiocytaire aiguë légère étaient présents. Bien qu’il n’y ait pas eu d’antécédents de COVID-19 chez ce patient, une immunohistochimie pour les antigènes du SRAS-CoV-2 (protéines du pic et de la nucléocapside) a été réalisée. Étonnamment, seule la protéine spike, mais pas la protéine nucléocapsidique, a pu être détectée dans les foyers d’inflammation du cerveau et du cœur, en particulier dans les cellules endothéliales des petits vaisseaux sanguins. Comme aucune protéine nucléocapsidique n’a pu être détectée, la présence de la protéine spike doit être attribuée à la vaccination plutôt qu’à une infection virale. Ces résultats corroborent les rapports précédents d’encéphalite et de myocardite causées par les vaccins génétiques COVID-19.
https://www.mdpi.com/2076-393X/10/10/1651
Qu’une autre étude démontre éventuellement que les conclusions de celle-ci sont fausses, c’est bien sûr possible. C’est le principe scientifique. Mais qu’elle soit tout bonnement censurée par Facebook illustre le problème fondamental de ces plateformes, qui tentent d’imposer un narratif favorable aux intérêts financiers de leurs véritables clients, les sociétés et institutions qui payent pour la manipulation (donc la prédictibilité) de nos pensées, croyances et comportements. Ou, pire encore, un narratif qui pourrait déplaire aux Etats qui gardent la possibilité d’imposer une réglementation à ces plateformes.
Partir ou rester.
C’est l’éternelle question. Il y a aujourd’hui, très clairement, une dynamique d’éloignement de ces réseaux, y compris chez les 20-30 ans (8), la génération qui construit l’avenir commun. Néanmoins, les RS restent des vecteurs centraux de “l’information”, notamment chez ceux et celles qui ont abandonné les médias de masse et la télévision, espérant trouver sur Internet des sources plus diversifiées et moins impactées par les intérêts commerciaux et politiques des médias “mainstream”.
En ce sens, Facebook reste un outil majeur, permettant à des inconnus d’agréger un lectorat de plusieurs centaines ou milliers de personnes, et de partager une contre-information malgré les gros efforts de shadow-banning et de censure directe qui sont mis en place.
En effet, Facebook est tiraillé entre deux contraintes a priori opposées: d’une part imposer un narratif général compatible avec l’idéologie de ses principaux clients (les grands annonceurs et ceux qui ont le pouvoir de réglementation, cad les Etats), mais d’autre part les récits “complotistes” (selon les tenants du narratif officiel) sont aussi un vecteur majeur de manipulation du comportement, ce qui fait les affaires de nombreux annonceurs. Tout tuer serait défavorable à la rentabilité financière de la chose.
C’est donc une analyse bénéfice-risque permanente. Nourrir la bête, mais rester en son sein pour la combattre le plus efficacement possible. Une bonne stratégie ou pas, l’avenir nous le dira peut-être.
Liens et sources:
(1) https://en.wikipedia.org/wiki/The_Social_Dilemma
(2) https://www.seuil.com/ouvrage/l-etat-predateur-james-k-galbraith/9782020998000
(3)
Malgré le ton distant, l’autorité paraît stupéfaite par les résultats qu’elle publie. Car ils sont hors norme. Touchées comme tous les autres secteurs de l’économie par la crise sanitaire en 2020, les sociétés autoroutières ont effacé les séquelles de cet arrêt dès l’année suivante. En 2021, elles ont réalisé dans leur ensemble un chiffre d’affaires de 10,3 milliards d’euros, retrouvant leur niveau de 2019.
Mais la suite est encore plus étonnante : ces concessionnaires réalisent des bénéfices exorbitants . En 2021, celles-ci ont enregistré 3,9 milliards d’euros de profits, en hausse de 49 % par rapport à 2020 , année qui n’a pas beaucoup de signification compte tenu de la pandémie, mais en hausse aussi de 11 % par rapport à 2019. La marge nette de ces sociétés s’élève à 36,8 %. Des marges dignes du luxe, qui à elles seules désignent une situation de rente.
https://www.mediapart.fr/journal/economie-et-social/010223/privatisation-des-autoroutes-un-fiasco-55-milliards-d-euros?xtor=CS3-5
(5) https://zerhubarbeblog.net/2023/01/30/vaccination-arnm-et-odeur-de-sapin/
(6) https://zerhubarbeblog.net/2020/09/18/ivan-illich-et-la-fin-de-lhumain-singulier/
(7) https://zerhubarbeblog.net/2021/04/14/la-societe-de-controle-un-etat-dexception-permanent/
Oops ! Et bien la censure bat son plein sur Meta ou facebook, il faut pas grand chose, mais il semble que les modérateurs soient en partie à l’étranger (maghreb ?) Et ne comprennent pas toujours les “subtilités” de la langue française, mais bon, il se perd des vaccins par milliers, et ils ont bien l’intention d’en faire la pub encore cette année, donc pas de critiques !! Dire la vérité de nos jours, c’est être un quasi délinquant ..
“En même temps” ..le truc de notre cher Roy de Francie ..Macron : “On va donner des armes a l’Ukraine, etc…Mais sans l’écraser” !!
IL a encore raté une occasion de se taire, comment la France, sans armes, peut elle ECRASER la Russie cet immense territoire ??
La ministre russe réponds : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/moscou-d%C3%A9nonce-les-propos-du-pr%C3%A9sident-fran%C3%A7ais-sur-la-russie/ar-AA17GxoB?ocid=msedgntp&cvid=ac4b01cab5c14d8892462b018a94d596 Macron ridicule le pays, ses habitants, tant il est orgueilleux petit coq gaulois perché sur ces ergots…
[…] ← Facebook, censure et sociopathie. […]
#Société #sociopathie Selon les sources, il y aurait de l’ordre de un sociopathe ou psychopathe pour trente personnes, avec une plus forte densité dans les sphères les plus élevées des hiérarchies. C’est ce que nous disait le vénérable journal Forbes en 2019 dans un article intitulé “Les cadres supérieurs sont plus probablement des psychopathes” (lien en com).
Sociopathes et psychopathes se caractérisent par une absence d’empathie, les seconds étant une forme extrême des premiers: absence totale d’empathie, self-control poussé, capacité illimitée au mensonge, manipulation systématique afin de maximiser son pouvoir et/ou sa richesse. Les délinquants / criminels sont souvent des psychopathes, aussi appelés pervers narcissiques, mais ils rôdent partout dans les corridors du pouvoir politique et économique.
Le sociopathe maitrise mal certaines émotions, peut devenir facilement violent s’il est contrarié, ne comprend pas les conséquences de ses actions ni les émotions d’autrui, voyant toute faiblesse apparente comme une faille à exploiter. C’est le politicien professionnel / haut fonctionnaire / cadre supérieur typique, mais on le (ou la) retrouve partout.
Pour illustrer, je dirais que Olivier Véran et Emmanuel Macron sont des exemples parfaits de sociopathes, le second tirant fort vers la psychopathie / perversion narcissique. Le psychopathe typique serait généralement né ainsi, alors que le sociopathe se développerait en réaction à des traumatismes, une réaction de défense face à des mauvais traitements (volontaires ou non) subis pendant l’enfance.
Le monde actuel est géré, en majorité, par des sociopathes. On l’a vu de très près avec le Covid et le traitement agricole infligé aux populations, on le voit aujourd’hui avec les euro-atlantistes qui applaudissent aux centaines de soldats ukrainiens qui meurent chaque jour, au nom d’une idéologie moralisatrice et manipulatrice typique du pervers narcissique.
Un article de 2018 dans Psychology Today se terminait ainsi:
“Après 30 ans d’expérience en tant que professionnel de la résolution des conflits dans de nombreux contextes, je pense que les narcissiques et les sociopathes constituent un problème de santé publique croissant. Les réactions que j’obtiens de professionnels du monde entier sont que ces deux personnalités semblent être en augmentation et la cause de nombreux problèmes conjugaux, professionnels et criminels.” (lien en com)
Tout ceci pour dire que le sentiment que nous avons (“nous”, cad ceux et celles qui n’applaudissent pas) de vivre sous la férule de gens débiles, méchants et corrompus ne vient pas de nulle part: Biden, von der Leyen ou Macron, camés se tordant de rire avec Zelensky (autre psychopathe notoire) au doux bruit de la caisse enregistreuse pendant que coulent les rivières de sang “pour sauver la démocratie”, sont des monstres issus de la logique de pouvoir qui sélectionne les pires dès lors qu’il ne sert plus l’intérêt général. On le constate très bien, par exemple, dans la police/gendarmerie depuis la mise en œuvre de la politique du chiffre, ou dans le système de santé depuis la mise en place de la tarification à l’acte.
Il faut juste arriver à intégrer cette difficile réalité afin d’y faire face.
https://www.forbes.com/sites/stephaniesarkis/2019/10/27/senior-executives-are-more-likely-to-be-psychopaths/
https://www.psychologytoday.com/us/blog/5-types-people-who-can-ruin-your-life/201804/are-narcissists-and-sociopaths-increasing