Face à la dictature sanitaire, la désobéissance civile ne suffit pas même là où elle est possible. Pour un début de résistance civile ce 1er mai?
Le 1er mai, remettons le diable à sa place.
Le diable, c’est la peur qui génère la haine de l’autre. La longue expérience de Charles Rojzman en thérapie sociale offre quelques pistes pour remettre le diable à sa juste place.
Les questions révolutionnaires de Juan Branco.
Juan Branco pose les bases d’une possible révolution sans effondrement de l’Etat.