Le procès de Eichmann avait conduit Hannah Arendt à proposer la banalité du mal comme conséquence de la non pensée. Une hypothèse aujourd’hui peu satisfaisante.
Masques à l’école au temps des assassins.
La politique de l’enfant sacrifié sur l’autel de l’angoisse irrationnelle des adultes illustre, à un degré qui nous semblait inimaginable voici seulement quelques mois, la vitesse à laquelle une société peut sombrer dans l’absurde totalitaire.
France-Police veut la peau de Benjamin Griveaux!
France-Police dédouane les policiers responsables de violences en invoquant le conditionnement et les choix de l’exécutif.
La banalité du mal, revisitée
En 1963, la sortie du livre d’Hannah Arendt Eichmann à Jérusalem. Rapport sur la banalité du mal a installé dans la pensée conteporaine la notion – sujette à débat dans les milieux philosophiques cependant – que le “mal” pouvait n’être rien de plus que l’exécution par des bureaucrates – dans le cas d’Eichmann, mais la notion […]