Vu sur Nexus: L’imposture scientifique VIH=SIDA décryptée

Le magasine d’information scientifique alternative Nexus n’y va pas de main morte pour son édition de mars-avril 2012, avec la publication d’un dossier conséquent sur ce qu’on appelle souvent “l’hypothèse dissidente” de la cause du Sida.

J’ai souvent abordé ce sujet sur ce blog et il est très encourageant, pour faire monter ce débat au-delà d’un groupe d’initiés et le positionner clairement dans le champ du grand public, qu’un magasine plutôt généraliste tel Nexus aborde un sujet qui est  un sujet politique, industriel et financier tout autant que scientifique. Certes celle-ci n’est pas la première initiative visant à faire connaitre ce débat troublant, on peut noter entre autres le documentaire de 2009 House of Numbers et le livre “les 10 plus gros mensonges sur le Sida” co-écrit en 2005 par le Dr Etienne de Harven et le journaliste Jean-Claude Roussez.  sans parler d’innombrables articles de blogs, sites, reportages et livres dont le premier fut, sans doute, “Inventing the AIDS virus” publié en 1996 par le Prof Peter Duesberg, lui-même devenu le “père fondateur” de cette “dissidence” et souvent mentionné dans ce dossier Nexus, que je recommande vivement.

Néanmoins il en faudra sans doute bien plus avant que cette affaire n’éclate au grand jour et, telle un Watergate faisant s’effondrer un empire politico-pharmaco-financier basé sur l’hypothèse VIH=Sida, fasse en même temps s’effondrer la confiance d’une grande partie de la population envers les procédés “scientifiques” soumis à des contraintes de rentabilité commerciale ou récupérés par des intérêts politiciens. A côté de ceci, le Médiator et les prothèses PIP c’est de la petite bière.

 

 

A propos Vincent Verschoore

Animateur de Ze Rhubarbe Blog depuis 2008.

3 réponses

  1. André P.

    Bonjour Vincent,

    En réponse entre autres à l’article du Journal of anatomy and Embriology dont vous avez parlé sur ce blog, le recteur de l’Université de Florence a été alerté anonymement au sujet des activités d’enseignement et de recherche du Professeur Marco Ruggiero. Une pétition de soutien est en ligne ici :
    http://www.change.org/petitions/the-rector-of-the-university-of-firenze-in-italy-protect-defend-and-support-marco-ruggiero-s-view-and-work-on-aids?utm_medium=facebook&utm_source=share_petition&utm_term=share_with_facebook_friends
    Et on trouve des informations en anglais ici : http://truthbarrier.com/2012/03/19/ruggiero-files-criminal-suit-against-anonymous-accusers/
    Et ici : http://www.rethinkingaids.com/Content/QA/tabid/204/Default.aspx

    Espérons que l’Université de Florence fera preuve d’autant de sagesse que Berkeley l’a fait à l’égard de P. Duesberg en 2010… Personnellement, je suis profondément attristé de cette nouvelle démonstration de dogmatisme et d’intolérance en matière de liberté scientifique. La revue Nature a relayé l’information sur cette affaire, disons, pour le moins sans grande neutralité. Pour le fond, c’est vraiment la question des moyens mis en oeuvre pour entretenir le “consensus scientifique” qui est posée…

  2. Beata A.

    Merci pour cet article Vincent. Un jour,mon mari après avoir fait une angine difficille avec quelques complications et une bonne dose d’antibiotiques divers est revenu catastrophé avec differents analyses, dont une de séroposivité. Les dr Harven et Peter Duesberg nous ont été d’un grand secours. Mon médecin était clair, il n’aurait jamais pris ces produits “antiviraux” si toxiques, prescrits à l’hôpital. Nous faisons souvent l’amour et il n’y a aucune transmission du supposé vih. Tout va bien, sauf que ce probleme dramatique pose nombreuses questions, par ex. qu’est devenu le savoir médical. D’ailleurs, j’étais dans un centre où des patients diabetiques arrêtent l’insuline en suivant une cure de 6 semaines, comme quoi ce n’est pas trop compliqué la diabette.

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