A Plougoumelen dans le Morbihan, face au désastre d’une fermeture forcée par décision arbitraire de psychopathes préfectoraux, Ghislaine, la gérante du restaurant Le Kenyah, s’est donné la mort.
A Liège, en Belgique, c’est une jeune barbière, Alysson, qui s’éteint dans la violence d’une dictature sanitaire jubilatoire.
Pourtant les restaurants, les coiffeurs, la plupart des petits commerces, sinon tous, qui respectent les mesures barrières, ne posent aucun risque démontrable de contagion.
La décision de les exténuer, de les mener vers l’extinction, ne relève pas d’une question sanitaire mais d’une idéologie technocratique qui honnit ce qui n’est pas de son sein, ce qui n’est pas toujours contrôlable, pas toujours servile, pas toujours corrompu.
Une caste qui pisse sur les petits et suce les grands, qui se dégage systématiquement de toute responsabilité mais ne tolère aucune contestation de son autorité.
Une caste protégée par des milices armées trahissant quotidiennement les peuples qui les paient, et par des kapos institutionnels uniquement motivés par la bonne note que leur remettra, s’ils se couchent bien, le Chef adoré.
Une caste-X.
Ces deux jeunes femmes pétillantes, désormais mortes, ne sont que les premiers embruns de la vague qui vient, mais dont les dictatures sanitaires se fichent car, elles ne rentrent pas dans la statistique Covid.
La statistique Covid, la seule qui compte, la seule sur laquelle ils et elles comptent pour améliorer leurs propres comptes ainsi que ceux de leurs clients et bienfaiteurs: Amazon, Pfizer, etc…
Il y a, près de chez moi, un lieu-dit nommé les Pendaines, là où autrefois l’on pendait les bandits et les traîtres. Je ne désespère pas que l’endroit reprenne du service.
De la fermeture des commerces. https://www.contrepoints.org/2020/11/19/384722-labandon-des-commercants-et-ses-consequences