Vaccins ARNm Pfizer et Moderna, le crime du siècle?

Les fabricants de “vaccins” à base d’ARN messager contre le Covid-19, Pfizer/BioNTech et Moderna, ont fait fortune en 2021. La technologie ARNm est supportée par une propagande quasi-mondiale, et promet de s’attaquer à de nombreuses autres maladies comme le cancer (1) et le Sida (2). En toute logique, l’envolée de leurs cours de bourse, commencée en 2020 avec l’annonce des “vaccins” Covid, ne devrait pas subir de revers aujourd’hui vu les immenses profits à l’horizon. Sauf que ce n’est pas le cas. Peut-on expliquer ceci sur la seule base d’un manque d’efficacité flagrant face à Omicron?

Vu des ségrégationnistes.

Si l’on écoute les nombreux et puissants VRP de Big Pharma tel que Véran le Fou, l’inefficacité des vaccins n’est pas une raison pour ne pas vacciner car, selon eux, le risque étant de zéro, tout bénéfice même marginal est bon à prendre. Le terme “bénéfice” étant ici à prendre, probablement, au sens financier du terme, un flux constant allant du trésor public vers les poches de Big Pharma avec au passage, on s’en doute, quelques petites rétrocommissions à l’attention des plus valeureux serviteurs de la Cause.

Un discours d’arracheur de dents qui peine de plus en plus à convaincre. Rien qu’en Europe, de nombreuses voix s’élèvent contre la poursuite de la vaccination générale, pour ne la maintenir que pour les gens dits à risques (3). Le Danemark a officiellement arrêté (4). Partout ou presque (et sauf ici), les covido-fascistes reculent sur le pass vaccinal.

Exemple en Suisse:

La vaccination de masse se tarit en Suisse. Le variant Omicron et les nombreuses contaminations qu’il a induites y sont pour beaucoup. Pourtant, «il est encore trop tôt pour arrêter d’appeler la population à se faire vacciner», a souligné vendredi, le Directeur général de la Santé, Adrien Bron, à Genève. Même si «à terme, la vaccination deviendra sans doute une question qui se traitera de façon individuelle entre un patient et son médecin».

Pour le Dr Alessandro Diana, vaccinologue et expert à Infovac, les études scientifiques démontrent qu’un changement de paradigme est pourtant nécessaire. «Les données du Centers for Disease Control and Prevention(CDC) sont claires: l’immunité naturelle contre SARS-CoV-2 confère une excellente protection contre les hospitalisations et les décès!» écrivait-il vendredi  dans sa newsletter. Dès lors, «un discours unique pour la vaccination n’a plus lieu d’être». Il prône une approche au cas par cas. Il nous explique pourquoi.

https://www.20min.ch/fr/story/stop-au-vaccin-a-tout-prix-il-faut-changer-dapproche-791903207211?fbclid=IwAR2qe2eSe48M0yfeah8Q465iPeGltZbV6BVudXEI5DQAMIbZEHseTmd8cls

Pour le moment, car même si Omicron nous “libère” pour l’été, de nombreux serviteurs de l’angoisse covidienne préviennent d’un retour de variant à l’automne, et il semblerait que les commandes de stocks vaccinaux soient déjà passées. L’Union Européenne veut imposer le passeport vaccinal jusqu’en juin 2023, la belle Ursula garantissant ainsi un beau chiffre d’affaires à son grand ami Albert, patron de Pfizer (5).

Une affaire de collusion.

Pour certains observateurs cependant, la chute des cours de ces sociétés a une cause bien plus profonde: la collusion entre opérateurs et agences de contrôle, et on peut même faire un parallèle avec la chute d’Enron, en 2001.

Souvenez-vous: Enron était une entreprise américaine dans l’énergie ayant poursuivi une diversification massive. Son chiffre d’affaires est passé de 10 milliards de dollars en 1995 à 100 milliards en 2000. Sa capitalisation a suivi une pente ascendante vertigineuse, la société étant encensée par les banques et agences de notation comme “the best of the best“.

Enron était dirigée par Jeffrey Skilling, un ancien de … McKinsey. Il démissionnait pour “convenances personnelles” en août 2001, provocant un premier décrochage boursier. Enron annoncait sa première perte en octobre, ce qui déclencha une enquête du gendarme des marchés américains, la SEC.

Le pot-aux-roses fut découvert, c’est-à-dire un système de tricherie comptable cachant les immenses pertes réelles de la société. Enron tomba en faillite en décembre 2001, laissant sur le carreau 28 000 employés dont beaucoup y laissèrent également leurs capitaux de retraite.

Enron a pu prospérer et enrichir ses actionnaires, un temps, en combinant la confiance des autorités de marchés et des agences de notation avec une fraude massive. Ceci nécessitait un certain degré de corruption et, dans le cas d’Enron, la société comptable chargée de valider les comptes, Andersen, faisait partie de l’opération. Elle fut démantelée en 2002, dans le sillage du scandale Enron.

De Enron à Pfizer / Moderna.

Le parallèle entre ceci et la situation avec Pfizer / Moderna est fait par, notamment, un investisseur professionnel américain, un ancien de Blackrock connu pour ses prédictions réalistes à l’époque de la bulle dotcom puis de la crise financière de 2008, Edward Dowd.

Pour Dowd, à en croire ses interviews dans le journal californien The Desert Review (6) ou sur une chaine alternative australienne (7), le parallèle est le suivant: la collusion entre le tiers de confiance et des opérateurs frauduleux ayant monté une opération visant à l’enrichissement de certains. Dans le cas d’Enron, la collusion existait avec Andersen et, de là, avec les agences de notations qui ne mettaient pas en doute le reporting de ce membre des Big Five a priori inoxydable.

Dans le cas actuel, c’est la FDA qui jouerait le rôle du tiers de confiance corrompu. La FDA, la sacro-sainte agence américaine du médicament, est en effet censée garantir l’innocuité et le fonctionnement correct des médicaments et vaccins qu’elle autorise à la vente.

C’est le tiers de confiance mais, comme nous le savons déjà, un tiers qui est financé à 50% par l’industrie pharmaceutique (comme les agences comptables sont financées par leurs clients), et certains évènements troublants sont d’ores et déjà associés au programme Covid, par exemple:

  • La démission surprise, en août 2021, de deux cadres de la FDA, Marion Gruber et Philip Krause, très impliqués dans l’autorisation de mise sur le marché des vaccins ARNm (8).
  • La profonde reluctance de la FDA à publier les données remises par Pfizer dans le cadre de cette autorisation (9).
  • Le travail de la biostatisticienne Christine Cotton sur les données publiées par Pfizer:

Dans son explication de la chute des cours de bourse de Pfizer et Moderna, Dowd intègre donc une possible collusion entre ces sociétés et la FDA ayant permis de faire passer des produits qui, en temps et conditions normales, n’auraient pas pu avoir d’autorisation.

Pourquoi? A cause d’un risque non maitrisé ayant pour effet potentiel une surmortalité importante dans la population vaccinée, et c’est ce qui pourrait être en train de se passer.

USA, l’analyse de Edward Dowd.

Dowd analyse les cours de bourse et les projections des grandes sociétés funéraires et des assurances, aux USA , qui montrent toutes une tendance haussière massive:

M. Dowd prévoit une avalanche de poursuites judiciaires à mesure que le secteur des assurances continue de découvrir les légions de décès de plus en plus nombreux dus aux complications des vaccins à ARNm COVID-19.

M. Dowd s’est associé à un analyste du secteur de l’assurance et a étudié les demandes de remboursement des assurances-vie. Ils ont découvert que depuis que OneAmerica a choqué le monde en annonçant une augmentation de 40 % des décès non liés au COVID chez les jeunes employés de la classe ouvrière, de nombreuses autres compagnies d’assurance dans le monde ont constaté la même chose – des augmentations massives des décès non liés au COVID. Et les preuves désignent inéluctablement les vaccins comme la cause.

Pendant ce temps, les actions des entreprises de pompes funèbres ont surperformé le S&P. “Les entreprises de pompes funèbres sont des valeurs de croissance. Elles ont connu une excellente année 2021 par rapport à 2020, et elles ont surperformé le S&P 500. Le groupe de pairs des actions de sociétés de pompes funèbres a augmenté de plus de 40 %, tandis que le S&P a augmenté de 26 % – et elles ont commencé à accélérer en termes de prix en 2021, pendant le déploiement des vaccins – Il n’est pas nécessaire d’être un spécialiste des fusées pour relier les points ici.”

D’autres compagnies d’assurance ont déclaré des chiffres de décès identiques ou pires que ceux de OneAmerica. Par exemple, “Unum Insurance est en hausse de 36%, Lincoln National plus 57%, Prudential plus 41%, Reinsurance Group of America plus 21%, Hartford plus 32%, Met Life plus 24%, et Aegon – qui est un assureur néerlandais – a vu dans sa branche américaine plus 57% au 4ème trimestre – au 3ème trimestre ils ont vu une augmentation de 258% des demandes de décès.”

“Ils ont augmenté les attentes (de mortalité) de 300 000 pour 2022 par rapport à 2021 en raison de COVID plus ‘COVID indirect’, dont je pense que nous savons ce que c’est le code pour…. Ils (Aegon) ont conclu un accord de réassurance de 1,4 milliard de dollars avec Wilton Reinsurance… Ils réassuraient des polices individuelles d’un montant nominal élevé, de 1 à 10 millions… (Donc) je pense qu’il y a une situation d’information asymétrique dans le secteur de l’assurance, où certaines personnes ont compris ce qui se passait. Ils se déchargent de leur risque – ils ne vont pas dire de quoi il s’agit car ils ne veulent pas que cette information soit divulguée alors qu’ils se déchargent du risque.”

https://www.thedesertreview.com/opinion/columnists/pfizer-moderna-investors-run-for-the-exits/article_f33832ce-9347-11ec-830c-6fe60d1a126b.html?fbclid=IwAR1XTZ6kykMm7KZcRk07P2GQk8UxFLy4F1869PqzL7rdFH8GKnos31MqvwI

L’explication de la chute boursière de Pfizer et de Moderna serait donc, surtout, le fait de projections catastrophiques en termes d’augmentation du nombres de décès. Des décès essentiellement “non Covid” vu que Omicron tue très peu, et personne en dessous de 60 ans hors comorbidités. Or, selon Dowd, les personnes assurées par les sociétés mentionnées sont des gens en activité, pas des retraités ou des gens malades.

Une information que semble confirmer le site du American Institute for Economic Research, qui dit ceci:

Le PDG de la compagnie d’assurance OneAmerica a récemment révélé que la mortalité dans le groupe d’âge 18-64 ans était 40 % plus élevée au cours des 3e et 4e trimestres de 2021 que pendant les niveaux pré-pandémiques. À titre de référence, le PDG a indiqué qu’une augmentation de 10 % aurait été un événement sur 200 ans. En outre, la plupart des décès n’ont pas été attribués au Covid.

….

Il y a un intervalle très intéressant de la semaine 10 (7 mars) 2021 à la semaine 24 (13 juin) 2021. Les décès dans le groupe d’âge 85+ sont MOINS élevés que la moyenne pendant cet intervalle. Le nombre total de décès pour les semaines 10-24 était en moyenne de 248 536 pendant la période 2015-2019, mais il était de 242 372 pendant la période 2021. Pour le groupe d’âge 25-44 ans, le total des décès pour les semaines 10-24 était en moyenne de 38 955 au cours de 2015-2019, mais était de 54 789 (40,6 % plus élevé) au cours de 2021. Les décès quotidiens dus au Covid (moyenne mobile sur 7 jours) aux États-Unis étaient en baisse, passant de 1 689 le 7 mars 2021 à 387 le 13 juin 2021. Cette période correspond à la phase de déclin de l’épidémie hivernale qui a atteint un pic autour du 18 janvier 2021 et un nadir autour du 8 juillet 2021, avant la poussée du Delta. Il n’est pas plausible d’attribuer à Covid les décès supérieurs à la moyenne dans la tranche d’âge 25-44 ans au cours de cette période. Qu’est-ce qui est responsable de ces décès ?

https://www.aier.org/article/all-cause-mortality-in-the-united-states-during-2021/

Allemagne, un éveil collectif?

Dans la foulée de la lettre ouverte de scientifiques allemands à leur autorité de santé, dans le Berliner Zeitung, demandant un accès à toutes les données techniques du vaccin Moderna et prévenant d’un possible risque important pour la population allemande (10), d’autres commencent à poser de graves questions:

En Allemagne, mathématiciens, médecins et statisticiens se sont penchés sur la question de la surmortalité en 2021, par rapport aux années précédentes. Analysant les statistiques officielles, ils observent une corrélation entre les courbes de surmortalité et celles des campagnes de vaccination, et concluent donc, sans surprise, à la responsabilité des injections. Dans le même temps, la presse allemande s’est elle aussi sérieusement intéressée aux effets secondaires des vaccins.

Selon le professeur Riessinger, au cours de l’année 2020, qu’il nomme « celle de l’étrange pandémie », aucune surmortalité n’est observée, si l’on se base sur les chiffres officiels. En revanche, une surmortalité surgit en 2021, représentant entre 1,7 et 1,8 % de plus que la mortalité observée entre 2016 et 2020, soit entre 17 000 et 18 000 décès supplémentaires. La majorité de ces décès concernent des personnes entre 35 et 75 ans, alors que l’âge moyen de décès pour cause de Covid-19 est au-dessus de 75 ans.

C’est essentiellement au second semestre 2021 que l’on observe d’importantes variations. Une période corrélée avec le lancement de la campagne généralisée de vaccination. 

De son côté, le Dr Sonja Reitz, médecin généraliste et psychothérapeute à Hambourg, publie le 30 décembre 2021 une lettre ouverte au Chancelier et aux autorités allemandes, les sommant d’interrompre sur le champ le programme de vaccination. Elle aussi s’appuie sur les statistiques officielles, dont elle déduit une surmortalité pour le moins inquiétante, et conclut à une surmortalité de 28 % par rapport à 2020 pour les deux premières semaines de décembre 2021.

https://www.francesoir.fr/societe-sante/surmortalite-allemagne-vaccins?s=09

Un risque vaccinal mal évalué.

L’hypothèse de Dowd est que cette surmortalité excessive est associée à la vaccination. Des millions d’américains ont été vaccinés de force du fait des “vaccine mandates“, imposés par Biden pour les fonctionnaires, ainsi que par de nombreuses entreprises. Ce lien causal reste à confirmer en termes scientifiques, mais pour Dowd la confirmation se situe dans le cours de bourse des sociétés pharmaceutiques et des opérations de réassurance: certains savent qu’il y a un problème.

L’ex-trader Anice Lajnef disait sur Sud Radio, ce 18 février, que “les procès pourraient mener à la faillite de Pfizer et Moderna”. Rien que cela.

Les appels à la prudence face à la vaccination ARNm ne datent pas d’aujourd’hui: Le Dr Robert Malone, l’un des inventeurs de la technologie ARNm même s’il n’a rien à voir avec le développement des vaccins actuels, publiait en décembre 2021 une mise en garde sévère contre la vaccination des enfants (11).

Le Dr Luc Montagnier, récemment décédé, était encore plus alarmiste, mais hors ces personnalités contestées par l’establishment, de nombreux spécialistes “mainstream”, tels que Eric Caumes, Laurent Toubiana, Michaël Peyromaure, Alice Desbiolles, Gérald Kierzek et bien d’autres s’opposent à la vaccination non ciblée, et notamment à celle des enfants.

Des études publiées dans des revues scientifiques mettent également en garde contre le rapport bénéfice-risque négatif pour les populations non à risque, notamment les enfants (12). Il est clair que les effets indésirables sont largement sous déclarés au sein des systèmes de pharmacovigilance, d’abord du fait que les médecins ont tout intérêt à ne rien déclarer, et que c’est compliqué à faire pour le citoyen lambda.

Antithèse.

Même si la concurrence est rude, Il est difficile d’admettre qu’une telle information n’ait pas fait le tour des médias. Alors, info ou intox?

Prenons par exemple la déclaration, faite fin janvier lors d’une audition au Sénat américain dite “Second opinion” (13) menée par le sénateur Ron Johnson, comme quoi l’armée US voyait un pic énorme (+300%) de fausses couches, cancers et problèmes neurologiques en 2021. La réponse officielle est qu’il s’agit là d’une erreur dans la base de données médicales, en cours de correction (14). Info ou intox?

En regardant les tableaux de surmortalité 2020-2021 de l’OECD, toutes causes confondues (15), on voit bien qu’il y a des pics de surmortalité, certaines semaines, dans tous les pays mais que c’est bien plus important aux USA. Pourquoi? Un lien avec les problèmes sanitaires spécifiques de ce pays, notamment l’obésité, le diabète, les opiacées?

Il est évident que Edward Dowd, tout comme votre serviteur, est un critique de la gestion covido-fasciste de la crise avec ses incarcérations de masse, son coût économique et social, ses absurdités débilo-hystériques, sa pseudoscience et son usage de la vaccination comme arme politique de contrôle et de ségrégation sociale.

Il est, j’imagine, du côté des signataires de la déclaration de Great Barrington préconisant, depuis le début, une protection ciblée des gens à risques, afin d’éviter les effets nettement plus désastreux des confinements à répétition (16). L’AIER cité ci-dessus fait partie du même “camp”.

Si l’énormité du scénario décrit ici n’a pas d’écho retentissant, c’est soit que la chape de plomb est encore plus lourde que ce que nous ne pensions, soit nous omettons quelque chose d’important.

Du Covid à la société de contrôle.

Dowd, en spécialiste financier qu’il est, voit la question de la gestion Covid comme un sous-ensemble d’un problème bien plus vaste, celui de l’effondrement économique qui vient. Il est loin d’être le seul à en voir les signes, notamment l’excès de masse monétaire après bientôt douze années de planche à billets permettant de cacher une fragilité économique bien réelle.

L’inflation aujourd’hui galopante, la hausse des taux des dettes publiques, et la folie des régimes vat-en-guerre cherchant à occuper l’espace politique, sont les signes d’une dégradation en marche.

Pour lui comme pour d’autres, le Covid aurait offert une opportunité aux régimes faisant face à ce crash imminent, et notamment les économies occidentales vivant essentiellement à crédit, pour instaurer une société de contrôle (17) dont la “légitimité” sanitaire serait transférable à toute autre cause: écologique, sécuritaire, économique…

Je partage cet avis, et il suffit de regarder la Chine pour comprendre à quel point il ne relève d’aucune forme de science-fiction. Reste que l’urgence, à court terme, est un moratoire sur la vaccination Covid, le temps de tirer au clair cette affaire de surmortalité et de lien, ou non, avec ladite vaccination.

Liens et sources:

(1) https://www.polytechnique-insights.com/dossiers/sante-et-biotech/au-dela-du-covid-les-medicales-des-vaccins-arnm/un-vaccin-arn-contre-le-cancer/

(2) https://www.topsante.com/medecine/maladies-infectieuses/vih-sida/sida-vaccin-arn-messager-647429

(3) https://www.20min.ch/fr/story/stop-au-vaccin-a-tout-prix-il-faut-changer-dapproche-791903207211?fbclid=IwAR1D2MlZmUKdMA1LqOqfkNQE8J80HW7rNk8ACKqfk6zUwK54aRyhpN8M3Jk

(4) https://www.midilibre.fr/2022/02/12/pourquoi-le-danemark-va-renoncer-a-la-vaccination-contre-le-covid-a-partir-du-printemps-10106339.php

(5) https://zerhubarbeblog.net/2021/12/29/vaccination-covid-le-grand-marche-de-la-corruption/

(6) https://www.thedesertreview.com/opinion/columnists/pfizer-moderna-investors-run-for-the-exits/article_f33832ce-9347-11ec-830c-6fe60d1a126b.html?fbclid=IwAR1XTZ6kykMm7KZcRk07P2GQk8UxFLy4F1869PqzL7rdFH8GKnos31MqvwI

(7) https://rumble.com/vv28ai-edward-dowd-former-blackrock-portfolio-manager-pfizer-and-fda-fraud-financi.html

(8) https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-08-31/two-fda-vaccine-officials-to-step-down-after-covid-clearances

(9) https://www.lebigdata.fr/covid-19-donnes-pfizer-fda

(10) https://zerhubarbeblog.net/2022/02/20/vaccination-covid-ravin-droit-devant/

(11) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/04/robert-malone-la-vax-covid-et-la-psychose-de-masse/

(12) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/31/vaccination-covid-19-quel-rapport-benefice-risque/

(13) https://rumble.com/vt62y6-covid-19-a-second-opinion.html

(14) https://www.politifact.com/factchecks/2022/jan/31/instagram-posts/numbers-were-based-faulty-data-military-spokespers/

(15) https://stats.oecd.org/index.aspx?queryid=104676

(16) https://zerhubarbeblog.net/2021/04/30/scientisme-covidien-marchepied-totalitaire/

(17) https://zerhubarbeblog.net/2021/04/14/la-societe-de-controle-un-etat-dexception-permanent/

A propos Vincent Verschoore

Animateur de Ze Rhubarbe Blog depuis 2008.

20 réponses

  1. Patrick

    Cher monsieur, je n’ai pas les mots suffisamment forts pour vous remercier de la qualité de vos articles, la pertinence de vos analyses et bien sûr votre grand courage. Lire vos mots et ceux des rares résistants permet à des milliers de personnes de ne pas devenir fous, écrasés par cette période où l’hystérie et la corruption marketing se sont déchaînés de façon inédite en nous touchant pour la première fois dans nos chairs de façon quasi obligée.
    En plus de la surmortalité causée par la vaccination à outrance, il faut ajouter tous les blessés plus ou moins grave et ceux à venir malheureusement très probablement.
    Avec ma grande considération, je vous souhaite une bonne continuation.
    PS : vos photos sont très belles, ça aussi il faut continuer !

  2. Le but de cet article est d’évoquer les mécanismes biologiques pouvant expliquer la toxicité des vaccins qui utilisent des technologies génétiques à base d’ARNm et d’ADN, basées sur la fabrication par l’organisme humain d‘une réplique proche de la protéine spike du SARS-CoV2. Une fois cette protéine produite, elle induit une réaction immunitaire qui permet l’élaboration d’anticorps contre le virus SARS-CoV2, responsable de la pathologie du COVID.
    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pourquoi-la-proteine-spike-est-toxique-dans-le-covid-19-et-aussi-dans-les-vaccins

  3. https://qg.media/2022/03/21/tribune-le-senat-a-t-il-peur-de-connaitre-les-consequences-de-la-vaccination-massive-de-la-population/?s=04
    Pourquoi une telle obstruction sur les effets secondaires des vaccins contre le Covid? Dans une tribune, plus de 600 universitaires, chercheurs, professionnels de la santé et du droit interpellent le Sénat afin d’obtenir une commission d’enquête. Ils demandent à ce que les sénateurs acceptent enfin de faire procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal des personnes. Un sujet d’importance alors même que certains évoquent déjà une possible vaccination obligatoire après la présidentielle, notamment en cas de réélection d’Emmanuel Macron

  4. Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Depuis l’été 2021, le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?
    https://www.francesoir.fr/societe-sante/surmortalite-en-europe-chez-les-jeunes-depuis-cet-ete

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